Dans le repaire de l'Ordre, vous trouvez par hasard, posé sur l'autel Ayléide un morceau de parchemin froissé et déchiré. L'écriture est grossière et semble avoir été tracée avec un morceau de charbon. Les phrases sont laconique, peut être par manque de temps ou de matériel pour écrire..
"Des semaines. Écrire pour souvenir. Aspirée par la faille. Aetherius. Renvoyée à Balamath. Autre époque. Prisonnière. Beaucoup questions... "
Toujours au même endroit sur l'autel Ayléide, un nouveau morceau de parchemin apparaît, aussi froissé et déchiré que le premier. Sa déchirure semble correspondre au message précédent. De plus petite taille, l'écriture est plus ramassée, traduisant un souci d'économie de support, mais toute aussi grossière ce qui ne facilite pas votre lecture. Une poudre noire a été utilisée pour tracer les lettres, sans doute encore à l'aide de charbon.
"Interrogatoire. Ils veulent savoir comment. Pas de réponse. Ils ne croient pas. Peur. Chantage. Faim. Soif..."
Il semblerait qu'a chacune de vos visites a l'autel Ayléide, vous ayez un nouveau fragment de ce qui se transforme en "journal", aussi déconstruit et irrégulier qu'il soit. Ce matin, vous trouvez une bande de parchemin déchiré dont le bord inférieur est net. Il s'agit peut-être du dernier morceau de papier dont Oriyel a disposé pour écrire, le dernier côté encore inutilisé qu'elle a tenté d'économiser jour après jour, ou semaine après semaine. Les messages n'étant pas datés, vous n'avez aucun moyen de savoir combien de temps s'est écoulé depuis le premier message.
"Vu Orc sauvé av Thor. Peur comprendre. Doit parler Orc. Savoir, quand, où. Aide."
A votre plus grand étonnement, vous trouvez cette fois un parchemin entier sur lequel est écrit un message à l encre. Les nombreuses pliures du parchemin laissent penser toutefois qu il a été plié au plus petit pour être dissimulé facilement.
"1E190... J ai peine à croire la date que je viens d écrire, mais c est celle que m'a donné l'Orc esclave. J ai eu bien du mal a l approcher...le faire venir jusqu'à ma cellule plus exactement. J ai dû utiliser le chantage a propos de son idylle avec sa maîtresse pour qu'il daigne m'écouter et m'aider. Il me fournit de quoi écrire. Mes geôliers sont des Ayléides si j en crois l époque.. Quand j ai été aspirée par la faille, j ai vu une grande lumière aveuglante, mon corps flottait, puis d un coup,tout a été brusque et je me suis retrouvée jetée au beau milieu de cette grande salle, devant une congrégation de mages qui ne s'attendaient pas à me voir apparaître sous leurs yeux... Quelqu'un arrive..j écrirais plus tard."
Guilde Role Play Narilata en recrutement.
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