Maintenances pour la semaine du 25 novembre :
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• PlayStation® : Mégaserveurs NA et EU pour maintenance : 27 novembre, 12h00 – 15h00 heure de Paris.

[Neutre] La IXème Légion Impériale. [RP strict/DarkFantasy]

  • Coqualier
    Coqualier
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    21/10/2017
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    "Le 21 Loredas de Soufflegivre, les tensions rechutèrent un peu, depuis le problème du combat à l'autel d'une des racines de l'Arbre-Rouge, les légionnaires pouvaient souffler tranquillement depuis quelques jours maintenant, bien que la pression restait palpable à cause de la surveillance constate et les patrouilles régulière pour empêcher l'Ordre du Serpent protecteur d'agir dans le nord de Champsrepos, bien que les rapport venant d'Eaudouce parlait de différent conflit avec des milices brétonnes empêchant des fantassins du Serpent de récupérer divers marchandises et souvent des enfants dans les fermes environnantes. Et en l'absence des éclaireurs recherchant le passage menant à la cache de Nez-Bleu, les impériaux avaient perdu une partie de leurs visions du champs de batailles pour retrouver le Ja'Khajiit, et toutes les informations possibles sur la conspiration. Mais ce fut une bien différente quête qui mena les camarades habituels de l'élite de la IXème Légion. Il ne s'agissait pas d'une de leurs affaires, mais d'aller poursuivre l'histoire du colporteur Khajiit ayant offert l'étrange médaillon à la femme d'écurie lors de l'affaire sinistre de la Dame des murmures. Un collier, à l'effigie du symbole du Tyran.

    Dans un déplacement sous la pluie, le jour était à l'une de ses habituelles tempêtes d'Hauteroche, quand le temps se fait morose et que le soleil reste caché derrière les nuages chargés. Trempés, supportant encore les gouttelettes par milliers glissants sur la région, ils eurent néanmoins achevés leur route vers le destination. Au nord des hauteurs du village de Hautepierre, se trouvait de vieilles ruines qui devait être initialement le dit village. Les ruines de la vieille-Hautepierre n'étaient pas bien grande, dévastés bien avant de devenir une endroit fait pour la vie en nombre, il n'en restait pas moins les carcasses des remparts de pierres et d'une ancienne tour ravagé. Un drapeau n'arrivant pas à flotté malgré les vents forts, qui fut constatés comme étant fait de chairs humaines raccommodés et couvertes de moisissures. Ce fut l'odeur qui fut marquante en premier lieu, l'odeur nauséabonde de déchets abandonnés de différentes natures. Organiques, et autres champignons odorants. Pour certains, ce fut une odieuse réminiscence de la première tour découverte quand le culte de Peryite avait été découvert et vaincu par les Impériaux en Havre-Tempête. Le Khajiit se retourna vers eux, un Suthay-Rath simple en tenue grise et marron, portant un grand bâton, et un collier de celui qu'il servait. Peryite.

    La conversation fut rapide, il était sujet d'accomplir un rituel spécifique pour récupérer un bâton qui aurait du être confié à un superviseur, mais l'échec lamentable avait convaincu le maître des bas-fond de l'Oblivion de faire disparaître l'artefact en envoyant l'un de ses serviteurs s'occupant de tels services. Ainsi, Le Colporteur, tel était le surnom du Khajiit, débuta. Des vapeurs s’insérant dans les sens des Impériaux, qui durent vivre l'étrange transe désagréable, et nauséeuse, jusqu'à ce qu'un simulacre du monde leurs vint. Ils étaient encore aux ruines, mais le ciel était visiblement devenu plus sombre, et striés de lueurs noires et vertes. La périphérie de leurs champs de visions, comme devenues floues et tremblantes. Mais surtout, les deux gargouilles de pierres étaient désormais faites de chairs couvertes de cloques et autres maladies de peaux bulbeuses, s'approchant des Impériaux, se préparant à livrer bataille. Victus, Marius, Vendimus, Electius, Skjoldr et Tyzérius affrontèrent les créatures, dont leurs têtes étaient semblables à des serpents sifflant, et des ailes dans leurs dos claquants sans pouvoir les soulevés à cause de leurs états. Reldan, cherchait un moyen de récupérer le Crâne de l'étourdit, tandis que Dra'Kalhen affrontait un périple très spécial en récupérant la Pomme propre.

    La Khajiit revint de son expérience ou des pommes moisies essayèrent de la mordre, quelque peu agitée et secouée. Reldan avait triompher d'une sorte d'énigme des plus beaux compliments à une orgueilleuse, et revint pour revenir un jet acide d'une des créatures : Celles ci avaient été maltraités, autant que les Légionnaires le furent, et même décapités, ce n'était qu'une fois que la tête fut broyés par les efforts des corps, qu'elles n'étaient plus rien d'autres que des tas de chairs vaincues. Mais le Colporteur n'usait que trop de ses effets pour maintenir les Impériaux et lui même dans cette phase de consciences, et tous étaient sur le point d'en subir les revers, affaiblit et toussant, jusqu'à ce que les deux reliques furent déposés, et que tout cessa d'un coup. La porte alors, pu s'ouvrir, dévoilant la récompense pour l'acharnement nécessaire à la réussite. Mais la déception fut à son apogée, en constant que le bâton avait déjà été volé. La tension grimpa d'un coup, mais le résultat fut le même : Le prophète qui avait pu s'enfuir l'année d'avant lors de la purge Impériale des forces de Peryite, était certainement coupable. Le Khajiit parti alors explorer de fond en comble Champsrepos, en priant qu'il ne soit pas trop tard pour réussir sa tête, et que les Impériaux n'aient pas à subir un quelconque problème de taille. Mais cela reste une autre histoire, dans toutes celles attendant les troupes de la IXème Légion."
  • Coqualier
    Coqualier
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    22/10/2017
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    "Le 22 Sundas de Soufflegivre, la troupe des éclaireurs de Gro-Brukan, arriva dans l'après midi en trouvant un campement au repos. Les troupes se remettant des derniers conflits, d'autant que l'on se racontait ici et là ce qu'il avait pu se passer aux ruines de la Vieille-Hautepierre et de l'état des troupes élites de la IXème Légion rentrant de missions. Sales, malades, fatigués et avec quelques blessures, définitivement, peu enviaient vraiment le sort de ceux suivant régulièrement les missions. Les dernières nouvelles n'étaient pas fameuses, et tous craignaient que les hostilités avec l'Ordre du Serpent n'éclate de nouveau par surprise. Mais ce fut les nouvelles concernant la cachette du petit Nez-Bleu qui furent annoncé, ainsi, ils avaient enfin découvert le fameux accès vers les prisons des traîtres Aldmeri complotant visiblement sur le dos de l'Ambassadeur Cirmo. L'urgence était total, si ils voulaient avoir un espoir de sauver le Ja'Khajiit de son mauvais traitement. Ainsi, deux troupes partirent rapidement vers la position. La troupe Kavedius en tant qu'arrière-garde, et la troupe Gloria de la Praetorian. Quittant le campement vers le nord, sous les regards des soldats, voyant les nouvelles têtes suivirent, et ceux qui méritaient de plus en plus le nom de héros pour les troupes Impériales en ses temps troubles, agissant avec acharnement contre la fatigue et les efforts d'autant de tâches à accomplir.

    Marchant vers le nord sur un sol boueux, le ton du ciel avait prit un aspect grisonnant, celui d'un ciel ayant été lasse de tant pleuré, avant de devenir gris et morose, accompagnant les brises fraîches faisant claqué les armures, et laissant les feuillages tourbillonné autours des troupes passant sous les arbres en quittant la route vers le sud. Après le chemin de pierre, la route fut désagréable, autant pour l'aller, et infernale pour le retour. Il s'agissait de hauteurs, descendant brusquement, et remontant aussi-tôt, trouvant difficilement des chemins stables, et pratiquement impossible de venir à cheval sans briser les deux pattes des bêtes. Ce fut après une rude avancée que les Impériaux purent enfin arriver jusqu'à la destination découverte par les éclaireurs. Un renfoncement dans la montagne, finissant en structure avec quelques grillages. Des mercenaires de passages furent interceptés et suffisamment effrayés pour laisser le messager captif libre et en vie, tandis que les deux gardes engagés furent éliminés par les agents Impériaux. S'assurant de la sécurité de tous après la découvertes de pierres installés sur des planches de bois pour créer un éboulement, sûrement suite à l'activation d'un piège, ils s'installèrent loin de tels préparations. Ce qui ne fut pas un mal, puisqu'elles furent déclenchés en ouvrant la trappe d'accès intérieur. Laissant l'escouade de Kavedius derrière pour déblayé et surveillé, pendant que les autres pénètrent à l'intérieur pour accomplir la mission.

    Tyzérias, Vendimus, Dra'Kalhen, Sei'Shakran, Marius, Gorash et Dereth formèrent le groupe qui pénètrent dans la cachette. Cela débuta fort, alors que l'agent Dereth fut éjecté contre le Légionnaire Orque sur un à sortilège. Plusieurs membres du Thalmor et fantassins elfiques attendaient, alertés par l'écroulement puissant devant de dehors. Un combat difficile s'engagea, alors que trois Légionnaires tombèrent dans un piège, les envoyant au sol après qu'un panneau de bois les aient fracassés dans l'escalier. Malgré tout, ils parvient à s'en sortir, laissant derrière eux le Fantassin Irelio après son interrogatoire, seulement inconscient, après avoir délivré des informations sur les abus des Altmer en cet endroit. Une affaire de plus en plus louche, ils évitèrent les pièges suivant, jusqu'à une grande porte, et la cage de Nez-Bleu. Piégeant un groupe d'Altmer venant voir ce qu'ils se passent, ils purent récupérer des informations et l'ouverture de la cage du jeune chaton rapidement escorté vers l’extérieur par deux Légionnaire. Ce fut une longue tâche que d'explorer soigneusement la cache abandonnée et couverture de moisissures et de lierres, mais passant outre la porte en bois ravagée par les deux guerriers massifs de la troupe présente, ils arpentèrent dans un couloir comme une grosse glissante, jusqu'à découvrir le cœur de cet endroit.

    Un endroit sentant mauvais l'urine et le sang, de nombreuses tables de tortures installés pour accueillir ceux qui eurent la malchance d'être déposés sur de tels bouts de bois avec de nombreuses échardes et clous dépassant. Deux Altmers, un Khajiit, un Bréton, et même un Légionnaire coloviens, tous mort après d'affreuses blessures et interrogatoires lent et douloureux. Il n'en restait qu'un en vie : L'agent Dremus, disparut à la dernière mission. Après une conversation avec « l'Inquisitrice » évoquant son dégoût pour l'ambassadeur Cirmo et son amour de la tranquillité et de la paix, un combat fut engagé. Les forces Impériales se dispersèrent en évitant le piège, une fosse à pique devant eux, ils eurent rapidement fait, bien que difficilement, de se débarrassé des Altmers de garde, l'Interrogatrice ayant eut le temps de prendre un passage secret, alors que le cristal sur le plafond éclata. Le dernier piège fut mit en place, et les Impériaux partirent en hâte pour ne pas être écrasés par les pierres chutant en même temps que la poussière. Après une rapide ruée, le long des galeries de la cachette perdue, ils furent sorti couverts de poussières, et haletant comme des bœufs, Dremus inconscient déposé en coin, retrouvant le passage déblayé et le petit Nez-Bleu jouant avec des Légionnaires. Aussi difficile soit-elle, la tâche fut accomplie, et le Ja'Khajiit suivit les Impériaux auprès de Dra'Kalhen s'occupant de lui. Mais les informations de Dremus étaient particulièrement obscure : Désormais, il était maintenant nécessaire de trouver un moyen de rencontrer l'Ambassadeur Cirmo, dont les complots faisaient en sorte qu'il se pense cible des Impériaux. Et ce, pour évité une guerre sur deux fronts au milieu du Champsrepos."
  • Coqualier
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    23/10/2017
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    "Le 23 Morndas de Soufflegivre, la matinée fut plutôt tranquille, bien que l'on vit la Praetorian être plutôt agité en tournoyant un peu partout dans le campement en se disputant avec le Conseillé Lenors sur un sujet qui semblait trop sensible pour que quiconque en aient consciences si ce n'est eux. Au final, l'histoire incompréhensible se tassa, et l'on entendit plus parler de leurs grognements de la journée. Toutefois, malgré ce qui débutait comme un jour de repos tranquille, s'acheva rapidement quand les Légionnaires de la Ferme des Burrins revinrent avec des informations gênantes. Visiblement, les troupes de l'Ordre du Serpent Protecteur se préparaient à faire mouvement dans le sud de leurs positions, vers l'intérieur d'une ruine abandonnée à l'orée de la Forêt de Kalvin. C'est alors dans le brouaha de la nouvelle tâche improvisée qu'une troupe d'interception Impériale fut monté. La Praetorian braillant ses ordres en ralliant les troupes, une trentaine de Légionnaires se préparèrent au départ, sous les cris des sergents Ikrain et Dracinius. Ainsi, sous le regard de ceux épargnés par la violence des combats à venir, la troupe de guerre se mit en marche en quittant le campement pour la longue route les attendant.

    Une heure et demi de marche fut nécessaire pour atteindre la position, sous les bourrasques du vent, et profitant des éclaircies à travers les lourds nuages sombres portant leurs pluies vers l'Est de là. Ce n'était pas la journée la plus froide de Soufflegivre, ni la plus joyeuse, mais le moral essayait de rester au plus haut sous les chants militaires des Impériaux marchant le long du pavé en passant à côté des voyageurs locaux, et passant à côté des Caravanes Khajiits qui saluèrent les soldats au passage, bien que l'un essaya déjà de leurs vendre quelques babioles, avant d'être reculé par Do'Sajji, le massif Cathay suivant Tyzérias. Ainsi, en profitant de cet exercice en plein air pour se ressourcer un peu, les troupes arrivèrent non loin des ruines pour observer celles ci. De l'activité assurée, au vu des éclats de lumières de torches permettant de voir au delà des feuillages épais, ainsi que des vagues silhouettes. Tandis que les troupes discutaient du plan d'assaut, les éclaireurs dirigés par le Sergent Ishtyh firent mouvement en avant. Découvrant d'étranges caisses et une caravane, ainsi que les pièges sur le flanc préparer par l'ordre du Serpent, elles ne purent revenir qu'au moment de la charge Impériale après avoir éliminés les sentinelles les bloquants. Ainsi débuta les hostilités dans les meilleures conditions.

    Les troupes de Dracinius luttaient aux portes dans une diversion brutale pendant que la Praetorian menait la première ligne sur les flancs des murs ravagés. Arrêtant la charge avant de tomber dans les pièges des pieux, les Légionnaires fondèrent alors sur l'ennemi étonné de l'échec de ce plan, sous couvert des archers Impériaux abattant les arrières gardes ennemies. Ce fut la fin de la période d'observation, et n'en sortait alors que le déchaînement des cris et des armes s’entre-choquantes. Les hurlements des blessés et des guerriers se joignirent en ce qui ressemblait maintenant à une véritable bataille. Tandis que les Éclaireurs tentaient d'empêcher la récupération des caisses contenant visiblement des enfants de bas-âges, et que les réserves de poisons adverses furent sabotés, la première ligne du Serpent s'écrasa finalement devant la force des Troupes d'élites de la IXème Légion, malgré leurs difficultés à se faire. Le conflit tourna à un amas d'objectifs importants, que tous durent portés à vif. Tandis que les sentinelles en armures massives furent écrasés, et que la cavaleries fut déjouée dans sa tentatives, les groupes se dispersèrent pour en finir avec ce conflit difficile contre des ennemis entraînés.

    Tyzérias, Vendimus, Reldan, Sheelva, Gorsha et Ishtyh furent en place pour empêché une sorte d'offrande d'être achevées après que les gardiens furent brisés au fond de la ruine. S'attaquant à quelques mages Brétons encapuchonnés, ils purent sauver le dernier enfant qui avait pu être rapporter jusqu'à la stèle, sans s'attendre à ce que Lysvina, Marius et Sei'Shakram avaient déjà pu observer dans les bois. Les trois autres étaient parti mettre en sécurité les deux caisses avec les enfants déjà récupérés par les éclaireurs, dont une hideuse créature avait essayer d'en faire l'acquisition avant de fuir. Quand l'illusion fut brisé, une Lamia fut face à Lysvina, et fut affrontée avec acharnement par les trois camarades. Tandis que les six autres luttaient contre ses deux sœurs à la stèle de l'offrande. Ce combat n'était pas attendu, pas prévu, impossible à croire, et pourtant au milieu de la bataille, s'y installa l'irréelle de créatures serpentines affreuses. Elles ne furent toutefois pas de taille à vaincre tout les Impériaux, malgré de sérieuses blessures pour plusieurs Légionnaires, et la bataille tourna en victoire. La Ruine fut vidé et les blessés rapatriés avec les enfants. Mais les questions restèrent très nombreuses dans les esprits de tous : Pourquoi, l'Ordre du Serpent protecteur en était-il arrivé là ? Quels secrets se cache derrière cette guerre ?"
  • Coqualier
    Coqualier
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    24/10/2017
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    "Le 24 Tirdas de Soufflegivre, les forces Impériales se remettaient douloureusement de l'escarmouche contre l'Ordre du Serpent dans la vieille ruine oubliée à l'orée de la Forêt de Kelvan. On voyait plusieurs Légionnaires alors, se traînant avec leurs nouvelles blessures, et deux pleurant leurs camarades tombés, dans l'ambiance d'après bataille, tandis qu'un aumônier d'Arkay vient à leurs rencontres pour qu'ils n'oublient pas vers où se dirigent l'esprit de leurs camarades tombés au combat. Le message de la Wyresse Delphia avait été rapporté aux officiers dirigeants, qui rediscutèrent encore de la nécessité d'une telle mission. Ce qui revient surtout à grogner contre les aides de camps en le rappelant que si le campement est ravagé par une forêt devenue folle, ce ne serait pas avec des catapultes qu'ils arrêteraient les ronces et les plantes si celles envahissaient les lieux. Toujours inconscients de la véritable nature du problème, les troupes furent réunies pour continuer leur engagement auprès de Delphia et de sa quête de comprendre quel mal dévore l'esprit gardien des bois du nord. L'Arbre-Rouge qu'elle semble chérir. Préparés, avec quelques nouvelles recrues, ils se mirent en ordre de marche pour partir en direction de la dite forêt. Peu heureux et trop conscient de la dangerosité de la tâche.

    Après la trentaine de minutes nécessaires pour atteindre l'orée de la forêt, ceux ci ne la trouvèrent pas aussi tranquille qu'avant. Ni aussi sombre que la première fois, ce n'était pas un lieux comme bourdonnant d'une vie rampante, ni même ayant un air tranquille et apaisant. A la place, il s'agissait là d'un passage que personne ne voulait vraiment entreprendre. Les nuages lourds chargés de pluies se traînaient lentement au dessus d'eux, comme prémisse aux futures averses qu'ils devront subir malgré les feuillages du Bois de la petite grenouille. Un nom ridicule, avait dit At-Kuzu, et pour autant elle ne paraissait pas aussi simplette comme foret censée tranquille. Les feuillages, n'avaient pas ce ton jaunâtre cause par l'automne qui balancerait les feuilles partout aux grès des vents. Mais à la place, tout avait un ton mort, gris pâle dégoûtant. S'engouffrant une dizaine de minutes à l'intérieur, les Impériaux découvrir un arbre étrange, dont la bulbe ne suggérait rien de bon. Tandis que Tyzérias et Dereth s'occupaient de trouver ce qu'il s'y trouvait, At-Kuzu et Marius durent faire face à un problème de taille : Le passage se refermait derrière eux, couverts de nombreux insectes, et autres lianes semblables à des serpents sifflants. Découvrant à la limite de leurs possibilités, l'étrange gemme bleuté sous la bulbe, les flammes montèrent après l'utilisation de Sels de feu. Et derrière le feu, la silhouette de la Dame de Clair-Massild, qui fut le signal pour s'enfuir. Rapidement.

    Pendant la course, les Impériaux comprirent que la gemme permettait de suivre une piste, luisant de plus en plus en s'approchant de la destination. Celle ci devenait de plus en plus étincelante, jusqu'à l'arriver dans un étrange bosquet à la lueur du soleil mourant. Delphia était là, inconsciente, sauvée par Dra'Kalhen et son collier retrouver sur la bête qu'elle avait retrouver plus loin. Celle ci réclama d'arrêter l'étrange spectre feuillue se tenant devant une sphère boisé, reluisant d'un rouge. Sans avoir besoin de l'affronter, la conversation fut claire – Dereth prit le temps de découvrir que le spectre avait été Hector Longdunez, mort dans une forêt au sud en voulant se venger des brigands du Culte de la Mère Aviaire. Son destin restait trouble, et soulevait de nombreuses questions. Tout cela, tandis que Lysvina, Marius, Tyzérius, et At-Kuzu affrontèrent des nouvelles sortes de spriggan couvertes du mucus acides essayant de massacrer des bûcherons. Seuls trois furent sauvés de leurs griffes, et ils eurent à subir la Dame qui arriva finalement. Mais prises de consciences que les Impériaux venaient de sauver plusieurs des arbres des étranges racines. Dans ce procédé incompréhensible, elle s'en alla, malgré la provocation suicidaire de Marius, sauvé par Dra'Kalhen, celle ci fini par disparaître dans les broussailles. Éreintés, tout n'était pas achevé. Quand ce qui avait fait subir ce triste sort à l'esprit de Hector, refusa de le laisser partir.

    L’écho d'une voix rauque traversa la terre, et les tympans des Impériaux, agités par l'intensité de cette voix provenant de partout et de nulles part. S'extirpant du sol, une sorte de plante ayant une gueule béante, arracha la terre pour s'attaquer à Hector qui ne cessait de se débattre dans un combat intérieur des plus âpre. Les Impériaux, épuisés, durent réagir ensembles pour affronter l'entité. Après un combat difficile, résultant de plusieurs blessures, la plante fut dévastée, retournant lentement dans la terre ramollie en laissant nombre des Impériaux par terre. Delphia avait achevé le rite, et l'esprit souriant, observant Tyzérias qui l'avait sauvé de son vivant, disparaissait finalement en regrettant son erreur l'ayant mené à son trépas malgré les efforts du Nordique. Bien heureuse d'avoir la « clé » servant à l'accès de l'Arbre-Rouge, Delphia remercia une nouvelle fois ceux qui s'étaient destinés à l'aider jusqu'à la fin de cette affaire, laissant les Impériaux à la chute d'eau qui avait servie de sanctuaire, lavant leurs armes et leurs tenues des sèves acides les ayant trop de fois brûlés. Avant de rentrer au campement, ne sachant toujours, quel était la cause d'une telle malédiction. Et ce qu'il faudrait sacrifier, pour délivrer les forêts de Champsrepos, d'un mal profond."
  • Coqualier
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    25/10/2017
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    "Le 25 Middas de Soufflegivre, les forces impériales se préparaient enfin aux journées de repos des fêtes du fin du mois arrivant enfin au plus grand plaisir des soldats ayant enfin des raisons de rire, boire, chanter et trinquer. Néanmoins, malgré tout les derniers efforts pour stabiliser les situations de divers façons depuis les surveillances étroites des actions du Serpent, jusqu'à la pacification de l'agitation à la caravane Khajiit, les problèmes ne cessent souvent d'arriver quand ils ont décidés qu'ils reviendraient sans laisser le temps de souffler. C'est ainsi qu'une patrouille Impériale revient en annonçant qu'ils ont vu des flammes dévorés d'une partie des Fermes de Karl, au sud de Hautepierre, mais qu'ils ne purent en savoir plus. Les fermiers locaux jetèrent des pierres aux cavaliers qui ne purent que se presser de se tourner pour partir rapidement en cavalant le plus vite possible. Afin de ne pas être embarqués dans un conflit contre des citoyens, ils firent volte face pour annoncer rapidement la nouvelle au campement de guerre Impériale. Celle ci fut accueillit avec des nombreux soupirs de fatigues, mais déterminés à comprendre ce qu'il se passe, une journée avant le départ en navire matinal vers le port d'Haltevoie, la Praetorian fit marche avec une troupe Impériale en direction des fermes de Karl.

    Marchant une heure durant sous une légère pluie, ce ne fut pas une route désagréable le long du pavé de la Route du nerveux qu'ils durent emprunter pour se diriger vers le dit problème qui aurait causé la destruction de deux bâtisses fermières. Le long de la route, il n'y avait pas d'enfant émerveillés venant s'installer devant les Impériaux pour les salués dans la route empruntée. Ils n'eut ni prière, ni encouragement, mais les locaux se contentèrent d'observer avec craintes la venue des troupes Impériales, comme si cela n'augurait rien de bon, ou bien qu'ils avaient été coupable de quelque chose de très mauvais. Ce n'est qu'en arrivant sur place, qu'ils virent l'étendu des dégâts des deux bâtisses en ruines. Une avait été complètement barricadée, comme si personne ne devait entrer, mais cela semblait daté de plusieurs semaines encore. Et la dernière, plus loin, se tenait bien, indemne. Ce qui était étonnant, restait l'envoyé de Daguefilante qui frappait de la botte un fermier à terre qui ne voulait pas lui répondre, si ce n'est des gémissements. Mais les Impériaux furent confrontés rapidement à pire, ayant faillit dégénérés. Quatre soldats de l'Ordre du Serpent protecteur se tenaient là, en train de sauver des villageois blessés et de s'occuper des blessures. Et malgré les escarmouches et les batailles récentes, il n'y eu pas de bain de sang, juste une conversation.

    Marius et Julianus s'occupèrent de fouiller une maison en ruine, complètement délabrée, et furent rejoint par Vendimus, Tyzérias et Lenors. Découvrant que la personne était visiblement un des assaillants ayant fait brûlé la ferme : Un brigand, du culte de la Mère Aviaire, engagé pour porter une tenue Impériale avec ses camarades. Sheelva quant à elle enquêta sur la maison barricadée, et réussie à l'infiltrer en brutalisant avec astuce la personne étrange s'y trouvant. Récupérant une enfant prise en otage, l'Altmer du Thalmor qui avait été presque assommé l'attaque à son tour, avant de s'enfuir. Gorash et Sei', quant à eux, suivirent la piste du pauvre Fermier tabassé après avoir fait cesser le tout, et convaincu rapidement les fermiers de leurs bonnes volontés, se mettant à courir pour suivre la dites pistes, et découvrir quel étrange personne avait bien pu voir s'enfuir ce pauvre Berthier qui lui avait été amicale, assez pour qu'il ne veuille donner sa route à un officier de Daguefilante trop menaçant pour ses nerfs. Tous suivirent les différentes pistes, tandis que lentement, la compréhension de ce qu'il s'était passé devint clair. Toutefois, le sang froid avait dès lors permit que le tout ne finisse pas en charnier, et beaucoup d'éléments imprévus eurent mit à mal les plans de la cabale désireuse de créer une grande discorde.

    Sheelva réussi à mettre la main sur l'Altmer, malgré une poursuite acharnée en l'ayant empêché de fuir à cheval. Découvrant que celui ci s'en servirait pour faire chanter l'Ordre du Serpent protecteur des environs de Hautepierre pour s'en servir dans leurs projets, ainsi que d'un relais de surveillance pour Cirmo ayant été invité à venir ici. Vendimus mena Julianus et Marius pour affronter les Faux Impériaux retranchés dans un campement plus loin, luttant à mort contre les brigands de la Mère Aviaire engagé pour ce travail sinistre, ayant été fournit par un certain « Vieux renard » inconnu. Gorash et Sei récupérèrent le fuyard ayant été pourchassé par trois des faux-impériaux, qui n'était autre que Dremus ayant prit peur pendant l'attaque. Le pauvre revint pour ouvrir avec sa clé, la trappe que Tyzérias et Lenors découvrirent dans la seule demeure entière. Tout s'acheva lentement, mais peut-être un peu trop tard – L'Ambassadeur Cirmo fut empoisonné par un scorpion, écrasé et récupéré par le Nordique. Rapidement, les anti-poisons furent administrer par le guérisseur, Lenors, avant de lentement préparer son évacuation pour lui sauver la vie. Julianus aussi, fut installé dans un chariot des paysans locaux qui dut être réquisitionné pour les transports des blessés. La fille sauvée par Sheelva rendue au Sergent du Serpent, il n'y eut aucune bataille. Simplement des interrogations, mais dans l'urgence, il fallait avant tout sauver Cirmo, et les Impériaux rentrèrent chez eux, laissant aux soldats de l'Ordre qui avaient, ici, comme un échos de l'honneur passé de l'Ordre avant l’ascension de Lark, prit sur eux de s'occuper des fermiers locaux avec bienveillance."
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    Coqualier
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    27/10/2017
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    "Le 27 Fredas de Soufflegivre, le navire impériale « Espoir » quitta au début d'après midi le port d'Haltevoie après les festivités du Défilé militaire. Cela marqua alors la fin définitive du chapitre évoquant la Bataille des Poignes de guerre, se tournant maintenant vers les nombreuses prochains conflits se jouant là où les forces de la IXème Légion progresseraient le long des terres qu'ils arpentent. Certains enivrés par les festivités et le repos, se laissèrent aller à la paix et la croyance que les prochains jours seraient de la sorte. Des journées entières dans la paix sur les flots à ne pas avoir autre chose à faire que se reposer, s'entraîner et se laisser aller à s'amuser un peu. Tandis que dans le campement militaire, les troupes de la IIIème Cohorte restaient sous pressions au front, eux étaient les privilégiés qui auraient le temps de se laisser aller à la joie de la tranquillité. Et pourtant. C'était dans l'après midi, tandis que tous s'affairaient à leurs affaires, et sous l'entente des efforts de l’entraînement de Marcus, le guetteur plissa les yeux. Se penchant légèrement, il entrevit la silhouette du navire approchant lentement dans la direction des Impériaux. Criant pour prévenir les siens, de la venue du bateau se ruant vers eux.

    La pression monta d'un coup, tandis que les Impériaux ignoraient si ils auraient un combat à mené ou une simple conversation. Conversant un instant, et décidant de ralentir simplement le rythme du voyage pour prendre pleinement conscience de qui approchait, le sang de tout le monde ne fit qu'un tour en voyant que le drapeau flottant au dessus du mât de l'embarcation de guerre était un serpent enroulé autours d'une épée. A ce moment de la journée, le navire n'était pas si loin de Champsrepos, mais il restait tout à fait étonnant qu'un navire de combat de l'Ordre du Serpent protecteur puisse les attendre pour essayer de les abattre. Ainsi, les plans et les stratégies furent mises en place. Des cris des officiers se mêlant à ceux s'occupant des différents points importants du navires. Les cordages, les armes de sièges, les troupes en mouvement. Tous se préparaient à une bataille navale, conscient qu'une chute serait plus aisée dans un tel environnement, et que personne ne pourrait les sauvés dans un tel cas. La stratégie fut mise en place, tous prenant leurs positions pour un combat naval risquant d'éclaté brutalement. Et de ne pas être coulé au passage.

    Marcus s'occupait de l'artillerie en compagnie d'Ishtyh, préparant ses sorts pour soutenir les traits projetés. Tyzérias se préparait à laisser tomber la plate forme d'abordage en compagnie de Do'Sajji brusquement, sa hache de guerre prête à en découdre avec violence. Tandis qu'Endhoril, Maitre-mage de la Guilde des mages, entraînés dans ce conflit, préparait les sortilèges de protections nécessaires pour les volées de flèches adverses. Les deux navires se firent face, par leurs flancs, sur la défensive, les traits Impériaux partirent en premier. L'effet en fut dévastateur, et percutèrent les armes de sièges adverses, et ce qui fut la pression de l'avant-bataille éclata en même temps que les sons montèrent des fracas du bois et des cordes détendues. Plusieurs salves furent échangés, et les protections d'Endhoril empêchèrent un massacre aux arcs. Jusqu'à ce que les harpons impériaux finirent de rapprocher les deux ponts après divers confrontations navales. La passerelle s'écrasant avec violence, sur le bois du navire abîmé, ainsi que sur un pauvre bougre trop lent pour s'éloigner. Et bien que les troupes du Serpent ne désiraient pas progresser, ils furent sous l'effet de la panique, contraint d'avancés quand leurs archers furent aveuglés et des effets magiques oppressants fit craqués le moral. La charge Brétonne se rua en avant.

    Des hurlements, des bruits d'armes, frappant contre les scutums Impériaux, dans des lourds sons des coups et des remues des équipements. L'arc de cercle Impérial empêcha la réussite d'une percée Brétonne, les forces du Serpent bloqués par le barrage des Légionnaires. La dame sur le navire, dirigeante de cette attaque, apparut étrangement derrière les troupes et s'attaque à Endhoril, lequel du lutter contre une Lamia dissimulée en compagnie de Roland Draconis. Ishtyh lutta pour empêcher les divers sabotages du navire, tandis que certains combattants du serpent bondissaient sur les flancs du navires, ainsi que leur dernier scorpion se tentait à agir. Mais sa grande réussite fut en empêchant l'empoisonnement des vivres en poursuivant celui qui aura réussi à s'infiltrer pendant la bataille. Sur le front de guerre, Tyzérias affronta le champion et limier de la demoiselle Lamia qui était occupée à avoir la gorge ouverte par la lame de Roland. Marcus, ralliant les troupes, se retrouva à la pointe de la bataille avec la Praetorian. Après des pertes, et bien des plaies et des efforts, la garde du Mage fut éjectée dans les flots par Tyzérias soutenu par les lames de Marcus. Et le Mage de guerre Bréton, s'écroula, le torse dévasté par la foudre abattue du sort de la Praetorian. Le navire, pillé par les troupes de réserves en récupérant les enfants dans les cales et les réserves, firent couler l'embarcation dévastée par quelques traits. Soulevant quelques interrogations, mais aussi la colère, d'avoir été poursuivit par leurs adversaires mortels actuels."
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    28/10/2017
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    "Le 28 Loredas de Soufflegivre, le navire Impérial Espoir continue son voyage vers le sud, en direction de la côte d'or. Bien qu'ayant perdu un peu de temps à cause de la bataille navale inattendue suite à l'assaut de l'Ordre du Serpent, les Impériaux durent prévoir une petite escale supplémentaire sur une côte de Martelfell avant de poursuivre en une nuit et une journée entière de route pour s'approcher le plus possible de leur destination finale. La côte d'Or, la Colovie, un bref passage dans l'essence même des terres épargnés par la guerre, tant chérie par la IXème Légion qui ne peut assister qu'impuissante devant les sacs des villages impériaux du cœur de l'Empire. Dans un petit débarcadère discrets, l'Espoir s'installa à quai pour débuté divers achats et ventes des cargaisons les plus inutiles récupérés sur le navire adverse, souvent pour acheter de quoi remplacer les victuailles perdues en nourrissant let enfants et en les habillant un peu plus pour l'automne froide. Tandis que certains s'affairaient à leurs trocs, une missive arriva entre les mains des Impériaux, leur indiquant qu'une sorte de guide spirituel du credo d'HoonDing. Intrigués par une telle proposition, quelques légionnaires suivirent Dereth du Penitus Sicarius, ainsi que Dra'Kalhen, en compagnie de la Praetorian Impériale.

    Attendant une bonne heure à la sortie du petit port perdu sur les côtes de Martelfell, le crépuscule tombant doucement en emportant la chaleur oppressante qui fut balayée lentement par les vents froids soulevant le sable en une légère brume. En même temps que naissaient les étoiles dans un ciel plus sombre, les silhouettes de trois Rougegardes ainsi que leurs chameaux apparurent aux Impériaux en attente. Après une courte conversation, s'occupant en enfilant des capes de voyage proposés par leurs guides, ils eurent pour informations qu'ils partaient à la rencontre d'un certains At-Nafsha s'occupant de faire travailler de nombreux jeunes et autres adeptes attachés au vieillard, les préceptes des routes de HoonDing, avec un aspect très spirituel et nomade. Parcourant le long désert froid en grimpant les dunes et contournant de larges parties pour ne pas tomber en se fendant les deux jambes. Ce fut seulement après deux longues heures de marches, sous-entendu les deux suivantes qu'ils auront à subir pour revenir au navire, que le but de cette route se dévoila à eux. Avant tout, ce n'était que de nombreuses lueurs signes d’activités, mais petit à petit, le sable changea pour laisser place aux herbes, et l'Oasis se dévoila à eux, avec ses nombreux cercles d'eaux potables, les tentes éparpillés non loin de caravanes installés dans des coins, des chameaux et des chevaux occupés à vivres leurs vies paisiblement. Abandonnant leurs guides, ils firent alors marche vers la tente de At-Nafsha.

    L'homme, un vieux Rougegarde ayant dépassé l'âge avancé, leva la tête. Des yeux platines, lui donnant des airs d'un aveugle, tout en laissant sentir le poids de son regard sur qui l'observe. Des cheveux blancs noués en tresses balancés dans son dos, avec attachés nombreux colifichets, autant que sur ses habits larges, et digne d'un nomade du désert. Il sourit, et une conversation s'engagea. Les mystères et les intrigues partagés dans ses propos mirent à l'épreuve les nerfs et les réflexions des Impériaux, et tous ne furent pas convaincu par sa méthode de pensée. Toutefois, une information fut plus importante que les autres – Ce n'était pas une vision ou une prophétie qu'il l'avait alerté de leur passage ici. Mais quelqu'un, qui ne prit pas la peine de présenté, suggérant qu'il y avait mieux à faire que de donner trop d'informations qui ne serviraient ni dans l'instant, si ce n'est à créer de la tension. Sa volontés, son envie, suivant les notes relayés par le mystérieux délateur, était de chercher dans ce qu'il nommait les « germes du mal » enfouie dans les psychés des Impériaux en ayant du subir trop de fois les effets néfastes des énergies ayant provoqués le désordre dans les forêts de Champsrepos. Préparant un bol de divers ingrédients, et le tendant aux Impériaux, plusieurs Légionnaires montèrent la garde, tandis que les trois camarades humèrent les effets des fumées projetés par la combustion. S’éveillant un instant après, mentalement ailleurs.

    L'eau leur arrivait aux mollets, sans qu'ils aient l'impression d'être mouillés. Installés dans une grande cuve d'eau très fine, avec une sorte de désert infinies autours d'eux. Des sortes de ronces autours du cercle, s'élevant comme un dôme, à l'identique des ronces des arbres morts Chacun des trois eurent livrés une étapes. Vendimus luttait contre une image spectrale de Reldan voulant achevé la Dame du clair-Massild, ne parvenant pas à trouver la volonté de frapper l'image de celui ci, jusqu'à ce que Dra'Kalhen lui poussa à le faire, projetant la foudre sur l'image, réussissant malgré le traumatisme. La Khajiit, elle, réussit son épreuve en première, en aidant à récupérer une perle après maints précautions, à l'aide tout simplement d'une image d'elle même, rendant la scène très curieuse et troublante pour celle qui devait se faire face. Quant à Dereth, il dut subir les atroces douleurs d'une mort fictive, quand l'Arbre de Mass le dévora à son approche, se sacrifiant finalement en ordonnant aux bûcherons de trancher les racines, et l'arbre fut ravagé avec lui à l'intérieur. Les trois se retrouvant, leurs esprits pour ou moins affectés par les rudes épreuves, découvrirent alors l'indice étrange se tramant dans la douleur des résidus de magies corrompues dans les forêts : L'image d'un coffre, installé dans une sorte d'étrange ruine ancienne, elfique, avec des racines quittant le plafond et rentrant un peu à l'intérieur. Avec les inscriptions gravés dessus. Adel'Delroy. Après les mystères de cet effet mental, les Impériaux rentrèrent sur le navire, épuisés psychiquement, mais avec la crainte que l'état des forêts n'aient pas une blessure bien plus profonde qu'ils n'avaient imaginé."
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    29/10/2017
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    "Le 29 Sundas de Soufflegivre, le navire de la IXème Légion achève sa route en s'installant sur les rives de la côte d'Or. Après un long voyage, rendu plus difficile par la confrontation avec le serpent, et plus intriguant avec la rencontre avec At-Nafsha, Bien que tous pensaient enfin pouvoir prendre un peu de repos, et profité de la Fête de l'Empereur arrivant bientôt, les espoirs s'envolèrent quand la Praetorian reçut un étrange message. Au beau milieu des flots, relâché par un oiseau étrange et ayant l'air malade, celui ci déposa un parchemin ainsi que le collier étrange qu'elle préféra que peut puisse voir, mais les rumeurs entres les Légionnaires et matelot parlèrent rapidement à la place de l'objet, évoquant un médaillon avec le symbole de Peryite en son centre. Les conversations n'eurent pas eut vraiment effet de requinquer le moral des troupes et des officiers présents, pensant enfin se reposer après avoir rejoint la Colovie. Ils étaient chez eux, ici, il ne s'agissait plus de diplomatie ou d'intrigues politiques. Il ne s'agissait plus de reconnaître la supériorité et la légitimité des peuples sur leurs terres, mais de se sentir enfin comme étant chez soit. Pourtant, au lieu d'être ravi de cet état de fait et des possibilités de repos et de découvertes avant le retour en Champsrepos, les trois troupes de Légionnaires – Gloria, Dracinius et Donovan firent marche vers Grild.

    Le petit village isolé sur la côte d'or ne semblait pas être des plus habités ni des plus glorieux. L'espoir de Grild, l'église qui avait été arrêté dans sa construction à cause des fonds transmit à la guerre il y à des années, n'était plus qu'une sorte de structure attendant d'être achevée, mais oubliée et servant aux enfants pour s'y amuser, aux pauvres vagabonds pour dormir, et aux prêtres pour y prier dans un endroit sensiblement semblables à ce qu'ils aimaient. Ce qui n'empêcha pas aux troupes de guerres Impériales de se sentir nerveux en approchant. Sans savoir ce qui pouvait les attendre, notamment avec de tels informations sur une potentielle malédiction. Après un instant de préparation, la troupe de la Praetorian marcha à l'intérieur pendant que les autres encerclaient Grild. L'endroit semblait vaguement vivant, de nombreuses personnes occupés à tousser et errer. L'entrée de l’Église semblait condamné pas d'étrange liane dont une liquidité grasse coulait doucement. Des personnes étaient attrapés et mises dans une masure où deux gardes impériaux empêchaient les autres passages, tandis que de nombreux fermiers s'employaient à scuplter d'étranges statues dans les champs non loin du moulin. Tandis que Skjoldr, Vendimus et Reldan discutaient avec l'ancien du village, Ishtyh, Tyzérias et Sei partirent vers les champs, alors que Marcus, Marius et Roland s’intéressèrent aux envoies de malade vers la maison isolée.

    Ce fut rapide, comme tournure d’événement, tandis que tous enquêtaient à leurs manières. Sei découvrit un étrange petit garçon derrière le moulin, qui lui fit une révélation comme si il était possédé, dans une scène d’effrois, alors que Tyzérias et Ishtyh mettaient la pression sur l'homme habillé de noir et de vert. Rejoint par Vendimus et Reldan, ils brûlèrent quelques herbes récupérés pendant l'inspection de ceux cité autours de l'église. Comme le première effet invoqué par le Khajiit dans la ruine de Vieille-Hautepierre, ils purent voir que les statuettes des gargouilles n'en étaient pas tant fait de pierres que ça. Et le combat fut livré avec acharnement, au moins, savaient-ils désormais que la décapitation seule était la solution pour les vaincre. Ce qui fut fait, au prix de grand effort, récupérant la première gemme. La seconde fut récupéré pendant ce qui sera cité plus tard comme « Le sombre combat de Grild » après que Marcus et ses pairs eurent jouer de l'autorité Impériales pour passer les gardes, et furent assaillit par des cultistes. Soufflant dans le cor de guerre, la troupe Donovan réagit et fonça à l'aide de leurs camarades, une bataille éclata, que Skjoldr fit un plaisir d'accompagner. Tous eurent leurs instants de combats intenses, le nordique luttant au cœur de la ligne, tandis que Marcus, Roland et Marius finirent par défaire le sorcier avant la fin de son rituel. La seconde gemme était acquise, bien que dans leurs états misérables, les citoyens infectés dans la masure furent achevés à l’initiation de Marius, qui lui vaudrait plus tard une quinzaine de coup de fouet.

    La bataille fut achevée, alors que les blessés et les citoyens étaient déjà traités, bien que la maladie était la crainte de tous, l'espoir se jouant sur le sort de purification de la Praetorian, qui ne pouvait alors pas gaspiller une goutte de magicka pour autre chose. Les ronces furent écartés de l'entrée de l'Eglise par l'effet des gemmes, et s'ouvra alors l'accès vers le rituel. Le Parle-Maux, prophète du culte de Peryite ayant voulu prendre vie en Haltevoie, y était accompagné de ses plus proches ritualistes. La Ligne Impériale fut formée de l'élite de la IXème Légion, épuisés et maltraités, ils eurent du mal à se préparer psychologiquement à l'affrontement. Tant leurs adversaires étaient difformes, transformés par les influences terribles du Bâton de la Bénédiction d'Hauteroche volé par le Parle-Maux. Les cultistes mutés et le Prophète transformé en une sorte d'abbération pullulante et plus grande qu'un Altmer, se ruèrent vers les Impériaux. C'est là qu'une bataille acharnée débuta. Après une trentaine de minutes, tout fut achevés, après des hurlements et des entre-aides pour survivre. Plusieurs Impériaux ayant reçu de sacrés coups, les laissant au sol, blessés. Après que le bâton fut renvoyé par Le Colporteur délivré par la chute du prophète. Tout semblait alors fini, malgré les tensions éclatant de la part de ceux ayant tant subit. Grild fut libérée de l’influence, et le sort de Purification de Vendimus engloba le plus de malades, mais la Guilde des mages de Coeur-Enclume fut prévenue au plus vite pour intervenir après leur passage. S'occupant de leurs dernières affaires, les forces Impériales put rentrer lentement vers le repos des quais. Une journée en arrivant en Cyrodiil, et les voilà déjà contraint de se battre avec acharnement."
    Edited by Coqualier on 30 octobre 2017 1:25
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    31/10/2017
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    "Le 31 Tirdas de Soufflegivre, il était temps pour les troupes de la IXème Légion de poursuivre ce combat débuté à Champsrepos qui les attendait depuis leur départ pour Haltevoie. Voilà bien des jours que les troupes élites ne purent intervenir, mais les rapports ne signalèrent rien de nouveau depuis le départ. L'Ordre du Serpent n'ayant fait que peu parler de lui, si ce n'est quelques rares escarmouches à la Ferme des Burrins pour les empêchés de poursuivre vers l'Est, mais la pression de la guerre restait toujours écrasante. Revenant des fêtes et des honneurs, les voiles du navire Espoir furent visible en début de soirée quand la grande embarcation de guerre arriva lentement vers les quais du port du vieux rêve. Le soulagement d'avoir enfin fini ce voyage traversait les esprits de nombreux des Légionnaires se hâtant de se préparer à sortir de là. Des jours de voyages en mer, et tout cela fut enfin achevé, pouvant enfin courir au sol et ne plus avoir à supporter les flots et les vagues les balôtant dans toutes les directions. Et alors qu'ils se préparaient à sortir, après quelques conversations pour se remémorer tout ce trajet, de la bataille navale, jusqu'au sauvetage de Grild. Pour admirer un instant plus tard, la Garde Brétonne en formation de défense, à l'autre bout du pont de débarquement.

    L’inquiétude, le trouble, la colère. Divers sentiments traversèrent les forces Impériales qui essayèrent rapidement de rallier les éléments les plus nerveux pour ne pas provoquer de conflit. Sortant du navire en laissant les Brétons à leur inspections, le sergent de la garde annonça que les Impériaux furent accusés par Dame Aleca de l'ambassade du Domaine Aldmeri comme responsable des récents enlèvement d'enfants sur la côte de Franchehorizon. Pendant que les cales étaient inspectés par la garde, les Impériaux ne pouvaient pas rester inactifs et se préparèrent à menés des groupes d'inspections. Dispersant leurs forces en plusieurs équipes d'inspections, tous eurent leurs rôles, et c'est dans le port du vieux rêve que se déroula la première mission depuis longtemps pour la Légion malgré la pression de la bataille à venir contre le Serpent. L'endroit était encore vivant, aux dernières lueurs du crépuscule, la fin des commerces petit à petit tentant de vendre leurs affaires journalières. Le brouhaha paisible des habitants vivants, et rendu nerveux par la présence des Légionnaires après les rumeurs de l'arrestation et du confinement en ville. Vendimus, Dereth et Dra'Kalhen firent marche vers l’entrepôt, Tyzérias, et Roland tentèrent d'empêcher des troubles dans les cales Impériales. Et finalement, Marius, Marcus, Amélia, Skjoldr et Wannasee partirent eux pour la taverne locale récupérer des informations.

    Les difficultés de Roland furent de se maîtrisé face à sa colère incrédule contre les provocations immatures d'un Garde particulier. Secouru par Skjoldr ayant achevé son enquête auprès d'un vieillard au coin du feu, ils eurent de nouveau pour mission d'aller en cale après une remontrance vis à vis de Draconis, et finirent par découvrir à l'intérieur, deux gardes ayant fait un léger trou dans la cale pour passer une caisse. Contenant visiblement un enfant. Skjoldr s'attaqua avec force aux gardes pour un interrogatoire musclé, tandis que Roland quitta la cale pour empêcher l'enfant d'être enlevé par la barque l'ayant apporté pour le faire passer par le petit trou creusé par les faux-gardes. Dra'Kalhen, Vendimus et Dereth déjouèrent le projet de coulé le navire avec une baliste lourde camouflée dans l’entrepôt. Après quelques manœuvres, ils eurent bien fait de prendre au piège les membres du Thalmor embusqué arrivant plus tard pour manier la baliste. Ne s'attendant pas finalement que tout un groupe embusqué ne leurs bondissent. Marius découvrit des informations quant aux derniers actes du Seigneur Lark, et cela permit de comprendre ce qu'il se déroula par la suite. Tandis que Wannassee s'introduisait dans les chambres du première étage de l'auberge, censés surveillés par un Rougegarde, Marcus et Amélia râlaient les Légionnaires de la Cohorte pour empêcher une dévastation, suite à l'apparition de soi-disant légionnaires d'une VIème cohorte se préparant à saccager le marcher en hurlant que la ville est censée revenir à l'Empire.

    Ils furent encerclés, et écrasés par les troupes Impériales. On combat n'aura même pas été nécessaire, et finalement, ils déposèrent les armes quand une forêt de glaives furent brandit de chaque côtés vers leurs gorges. Rassurant la population, les Impériaux firent cessé lentement les hostilités, qui disparurent totalement quand Marcus et Amélia vinrent au secours de Skjoldr encerclé avec l'un des faux-gardes ayant eut le poignet brisé, forcé de faire ses aveux devant tout le monde. Roland parvient à attraper finalement après une course poursuite difficile et un fracas dans une caisse pleine de poisson, et suite au tir d'Amélia dans la jambe de l'adversaire, récupérant avec Tyzérias l'enfant enlevé chouinant dans sa caisse. Après le ravage des Thalmor dans l’entrepôt, Vendimus fut retrouvé avec le Mestre local pour achevé les tensions et livré les mercenaires à l’autorité brétonnes, tandis que Dereth se livrait à l'interrogatoire du survivant Altmer. Dra'Kalhen et Wannassee libérèrent la petite Eleonore, fille du Mestre ayant provoqué tout ce désordre un disparaissant et évitant une erreur diplomatique. Alors que les membres de la cabale essayèrent de mettre la responsabilité sur un proche de Cirmo, celui ci fut épargné. Les Impériaux ayant mit de l'ordre dans le Port du vieux rêve après cette nouvelle tentative de les agents de l'inquisitrice Aleca. L'ambassadeur Cirmo toujours toutefois inconscient, les problèmes étaient loin d'être achevés."
    Edited by Coqualier on 1 novembre 2017 2:08
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    01/11/2017
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    "Le 1er Middas de Sombreciel, les troupes Impériales étaient en pleine organisation de masses depuis le retour des dirigeants de la Colovie à la Fête de l'Empereur. Des nombreux messagers quittèrent le campement Impérial pour apporter les missives et les notes envers les différents nobles et chefs des résistances cyrodiiliennes depuis l'organisation prévue. Les changements furent grandioses et des espoirs naquirent au creux des cœurs des forces Impériales pensant enfin trouver des solutions pour retrouver un peu de stabilité. Il n'y avait plus l'oublie et la peur de n'être plus que des pantins incapables ou perçu comme des monstres assoiffés de sangs. Mais désormais que le calme regagne lentement une Tamriel rougie par le sang coulant depuis le haut de la Tour d'Or-blanc au cœur d'une citée ravage, certains relèvent doucement la tête. Même si il n'y aura pas d'Empereur à acclamé, même si il n'y aura pas de réelle grande ampleur dans leurs actions, il était temps d'accomplir de nombreuses quêtes pour gratter par les ongles dans la boue, une place forte auprès des peuples de Tamriel. En Champsrepos, le campement Impérial attendait le début du crépuscule dans l'ordre de ses Légionnaires en position. Les hurlements des officiers mettant en place, s'accordant aux tambours de guerres et aux étendards levés. La IIIème Cohorte partait en guerre.

    Dans des pas lourds et puissant, qu'ils firent route le long du passage vers le nord, dans la direction de Camlorn. Les fermiers de la Ferme des Burrins les saluèrent en levant quelques fourches, certains réclamant que des Légionnaires « tuent l'un de ses salauds verts » de leurs parts, en laissant quelques prières envers les huit Divin, se laissant impressionné par l'étendu de la troupe en déplacement ordonné, suivit de la nouvelle cavalerie Impériale et de la catapulte. Le retour de la IXème Légion se fit en force, en Champsrepos, et ils eurent bien l'intention de libéré le nord de la contrée des agissements et des enlèvements de la part des forces du Serpent. Après une longue part, d'une heure et une trentaine de minutes, ils arrivèrent en ayant pour ordre d'accomplir le plan longuement préparé par les forces Impériales. Un crépuscule pluvieux, les bruits du tonnerres dans le nord résonnèrent en échos, dans les lueurs fugaces de la foudre lointaine. L'eau ruisselante le long des fières armures, se préparant à devoir subir les combats déchaînés pour la prise du campement nord. Après une courte conversation, les troupes furent misent en place pour une avancée sûre. En levant leurs scutums, dans une position défensive en tortue, la première compagnie fit marche pour se mettre en position. C'est dans les bruits tonitruants des flèches s'écrasant sur les scutums du front principale, que la bataille débuta.

    Le Front Ouest fut un massacre. Les Impériaux se ruèrent vers leurs positions en tombant dans de nombreux pièges laissés par les forces de l'Ordre du Serpent, en totale déroute, ils fuyèrent vers les arrières en abandonnant l'espoir d'encerclement total du campement ennemi. Au front de l'Est, les flèches enflammées et les jarres d'huiles furent projetés par la catapulte Impériale et les archers derrière les lignes des Légionnaires projetant plusieurs jets de pilums dans une discipline de fer. Ce sont des lignes d'aciers tenant l'impact, mais les Brétons virent leurs ressources et leurs campements de plus en plus brisés par les flammes, décidés à rendre gorges à qui avaient attaquer avec autant de témérité. Les Brétons furent acharnés à essayés de prendre place dans des hurlements de batailles cinglants. Mais derrière, le campement brûlait, malgré les efforts des mages pour contenir les protections, jusqu'à ce qu'Amelia brisa les nerfs du Sergent de ce front. Les mages changeants leurs sorts, abandonnant le campement à son sort pour envoyer une grande vague de froid sur les forces Impériales. Au front principale, la Praetorian mena les troupes en essayant de trouver un moyen de secourir le carnage de l'Ouest, tout en subissant les traits et les tirs d'une catapulte. Après avoir pu débuté un front sanglant, Elle, Marius et Reldan furent en premier ligne pour combattre les avancées du Sire Briton, Seigneur des Serpents du Nord de Champsrepos. Tandis que Skjoldr, Ashedius et Dra'Kalhen usèrent de leurs forces pour abattre la Lamia essayant de faire un carnage dans le dos des troupes Impériales, et vinrent au secours des troupes en fuite pour arrêté la cavalerie Brétonne. L'éclaireur Wannasee, quant à elle, agissait dans les hauteurs, essayant de trouver des cibles intéressantes.

    Petit à petit, des fissures furent apparente dans les rangs de la cohésion du Serpent. Ils eurent de nombreuses façons de se battre pour essayer de renverser les Impériaux, mais leurs plans finirent par submerger les troupes brétonnes. L'Ouest fut secourue, mais cela laissa une ouverture grandiose pour une fuite après que les troupes Impériales Marcus fit débordé les forces dans l'Est en supprimant toute férocité du Serpent quand son glaive trouva le torse du Sergent adverse après une charge de la cavalerie sur les résistants ayant percés la Ligne Impériale. Tout l'Est n'était plus qu'un ravage, Wannasee sur les hauteurs s'occupant de trouver des cibles pour ses flèches. Au front Central, l'ennemi fini par essayer de fuir après avoir vu Briton être blessé pendant le combat. Le campement du Serpent n'étant plus qu'un tas de boue, des cadavres des deux armées étalés au sol, des flèches plantés partout autours, mais marchaient les Légionnaires en frappant ceux qui ne se rendaient plus. La Cavalerie fit mouvement, en empêchant la fuite du Seigneur Briton par l'Ouest. Encerclé par les troupes du Praetorian, tandis qu'Ashedius empêchait quiconque de quitter le campement par un mur de glace, usant de sa Magicka, le dernier cercle d'honneur Bréton fut vaincu. Au milieu de la boue, et avant les clairons de la victoire et des responsables tournant dans toutes les directions pour ordonner les divers tâches aux troupes après les hurlements de gloires. L’exécution du Seigneur Malian Briton, traître et meurtrier de Hauteroche, se fit dans le protocole Impériale. Sa tête roula alors au sol, et levé sur un Pillum, signifiant la libération et la sécurité du Nord de Champsrepos."
    Edited by Coqualier on 2 novembre 2017 7:36
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    02/11/2017
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    "Le 2ème Turdas de Sombreciel, le champs de batailles du Serpent restait encore dans les mémoires, et les corps des blessés. La chute de Briton resta encore une histoire raconté entres les troupes Impériales, n'ayant pas vécu une telle brutalité, et les revers de tactiques, depuis le combat pour abattre les dernières défenses des Poignes de guerre. Les Vétérans parlent avec les recrues, racontant comme Roland Draconis et Arnornn Sand luttèrent contre Krayn, « celui qui gagne », à sa première et dernière défaite cinglante. L'attaque du camp de guerre du Serpent résonnait encore dans les cœurs et les esprits, certains arrivant à faire la part des choses et s'en tirant avec la gloire de la victoire. D'autres, surtout ceux du massacre dans l'Ouest, restèrent encore traumatisés du massacre déroulé pendant qu'ils fondèrent vers les pièges et les embuscades. Pendant que tout le monde profitait du repos, un rappel inquiétant apparut de l'absence des deux patrouilleurs Impériaux, et de nombreux conflits étranges en Hautepierre. Ce n'était pas des rapports de batailles ou quoi que ce soit de militaires, mais des cumuls de plus en plus de conflits familiaux ou de voisinage, simples et graves s'accumulant de plus en plus pour rendre la situation de plus en plus improbable et gênant. C'est ainsi que cela attira le regard de la Praetorian, malgré la fatigue de la bataille, ainsi que d'une troupe élite pour aller comprendre pourquoi un village ci proche semblait perdre les pédales.

    Après une heure et demi de route sur leurs chevaux respectifs, les impériaux firent marche en direction de Hautepierre, devant subir à la fin d'une longue route sous la pluie quotidienne d'automne, et les regards des fermiers furent portés sur les chevaucheurs fiers qui eurent achevés la route en direction de la ville. Des routes de pavés de pierres, jonchés des barrières de bois et des herbes dansantes aux grès des vents. Ce ne fut pas des plus agréables, pour une petite balade avant la nuit, mais cela était bien plus correct que ce dernier voyage vers la guerre contre le Serpent. Il ne s'agissait plus d'un combat acharner, mais tous pensèrent pouvoir aspirer à un peu de tranquillité en récupérant deux éclaireurs ivres morts et des histoires de troubles à réglé en remettant un peu de droiture de la milice locale. Arrivé après une avancée fatiguant, la troupe Impériale du subir la grande montée éreintante pour arriver en haut du surplomb de Hautepierre. Accueillit en haut par un Guet urbain, un homme bedonnant jouant de la ceinture, discutant avec un Rougegarde du nom de Sader, venu enquêter sur ce qu'il s'est passé. C'est ainsi que débuta l'intrigue de Hautepierre de ce jour si particulier. Sans savoir qu'ils avançaient vers l'une des pires nuits à subir moralement. Ce n'était plus un temps de guerre avec des objectifs clairs, mais les mensonges et les trahisons attendant les Impériaux toute la nuit.

    Dereth enquêta sur un homme installé de côté des murailles de l'abbaye. Celui ci lui faisait signe, avant d'essayer de poignarder l'agent Impérial. Un conflit débuta dans l'ombre, tandis que Vendimus, Wannassee, Sadar, Marius et Dra'Kalhen comprirent qu'il était vain de discuter avec le garde présent, et se déportèrent vers l'intérieur de l'abbaye en arrêtant les deux freluquets jouant avec un maillet de bois pour ouvrir la porte, qui fut déverrouillée par ceux ayant grimper au dessus de la muraille de pierre. L'intérieur de l'abbaye était aménagé pour accueillir un cercle d'épée, encerclant une sorte de pilier sombre d'un noir profond, comme aspirant toutes lumières pouvant l'approcher, irréelle et inquiétante. Dereth qui s'était débarrasser de son assaillant, enquêtait sur le pilier pendant que les autres faisaient tout pour rentrer dans le monastère. Au grand dépit de Dra'Kalhen, en cassant un vitrail. Marcus mena quelques Légionnaires vers la ville, pour découvrir ce qu'il pouvait bien se passer. Amélia fut envoyée calmer un couple, mais la claque sur l'homme qui l'insultait ne suffit qu'à le mettre en colère, et une étrange bagarre éclata. Burzak se déplaça vers le débit de boisson local pour récupérer des informations, avant d'être confronté à une demeure souillée et miteuse. En reprenant l'enfant qui lançait des pierres, dévoilant une information dangereuse, l'Orque fut encerclé par six citoyens. Et ce, en même temps que Ashedius se battait dans les ruelles sombres après une manœuvre habile pour se défaire du nombre.

    Après avoir vaincu, Ashedius poursuit sa quête de savoir en recherchant l'essence de ce mal. Arrivant lentement en direction de l'Abbaye, il brava l'adversité d'une dizaine d'étranges personnes en tenues sombres qui furent arrêtés par le mur de glace du Dunmer. Ainsi, fut-il assaillit par cinq des leurs, rapidement rejoint par Marcus dans une charge de cavalerie, suivit par Burzak qui venait de sauver l'un des éclaireurs manquants dans la demeure abandonnée. Tous se retrouvèrent, blessés après bien des épreuves, tandis qu'Amélia fut éprouvée par le sauvetage d'un enfant en sacrifice de sa main gauche pour épargner un bébé d'un coup de couteau. Quand elle quitta la demeure après avoir égorgé un Dunmer fou, elle assista à une ville meurtrie après avoir sombré à la folie. Des pleurs, des larmes, une malédiction s'était achevée. Celle qui fut vaincue à l'Abbaye, par les efforts des Impériaux luttant contre un étrange Prêtre doté d'une armure d'ébonite. L'homme était d'une constitution remarquable, et mit à rude épreuve ses opposants, malgré la chute de ses séides. Ce fut un véritable enfer, et la pression monta devant la crainte de Sader que le rituel puisse être achevé, mais celui ci fut retourné contre lui. Dereth le sacrifiant lui même contre l'autel de Boethia, achevant sa volonté de se venger de celui ayant volé bien trop d'objets en son nom sans son autorisation. La malédiction s'acheva, mais l’amertume d'avoir été la volonté du prince daedrique remonta dans le cœur de tous. Au prix de la survie des habitants de Hautepierre, fut la colère que ce Jour d'invocation livra bien des mensonges, des haines, et une dernière Trahison. Laissant deux compagnies impériales venir sécurisé les lieux et soutenir les citoyens, les troupes impériales rentrant chez eux. Épuisés moralement."
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    03/11/2017
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    "Le 3ème Fredas de Sombreciel. L'après-midi se faisait tranquille, alors qu'une partie de la IIIème Cohorte se trouvait encore en Hautepierre pour surveiller la ville en cas de problème ou de résurgence des cultistes de Boethia qui prirent sur eux de vouloir honorer le jour d'invocation d'une manière sanglante et traîtresse. Aucuns rapports ne parvinrent, et ce fut pour les officiers le début d'une journée banale à traiter les rapports et les problèmes de disciplines quotidiens. La fatigue sur les épaules, des derniers jours de conflits, cela n'empêcha pas de remarquer la missive de la Wyresse Delphia qui fut transporter aux premières lueurs de l'aube. Impossible de la confondre avec une autre, vu la qualité de la texture, et l'odeur de fleur gravé à même la matière, offrant une distraction agréable pour quelque chose qui allait apporter des problèmes bien moins tranquille. Mais comme renifler une lettre n'était pas l'action la plus utile pour en découvrir le contenu, et ils furent informés qu'il était donc temps de retrouver la Wyresse Delphia pour parler à cet entité nommé « l'Arbre-Rouge », aux cœurs du bois de la petite Grenouille. Une certaine inquiétude vint quant aux derniers événements concernant ce qu'il s'est passé dans les bois du nord. La Dame du Clair-Massild, effrayante et cruelle, puis l'énorme plante hurlante voulant dévorer l'esprit, tout ça restait des traumatismes qu'aucuns ne voulaient de nouveau subir.

    Les troupes Impériales se sont déplacés en direction du Bois de la petite Grenouille, ce ne fut pas l'une de ses routes désagréable, et il y avait même quelques éclaircies. Les terres étaient légèrement boueuses, refroidies par l'Hiver approchant lentement, écrasée par les bottes des légionnaires en petite groupe. Ce n'était pas une troupe de guerre en marche, mais des compagnons partant accomplir de nouveau une quête pour la sécurité des forêts de Champsrepos. Après un voyage court, d'une trentaine de minutes qui déboucha à l'orée du bois, celui ci sembla plutôt tranquille contrairement aux autres fois. Les environs ne furent pas aussi affreux que ce qu'ils purent voir jadis en affrontant des mystères et des intrigues bien plus sombre encore. Cette fois, ils furent accueillit par plus de calme, et de sérénité, comme si il ne s'agissait plus des terrains tortueux aux ronces inquiétantes. Il n'y avait plus les nombreuses bêtes, insectes grouillants ou virevoltant en bourdonnant. A la place, il y avait le bruit audible des nombreuses grenouilles se baladant en vivant leurs vies, et aucunes lueurs surnaturelles ne furent visible. Depuis la récupération de la Clé de l'Arbre-Rouge, le calme avait reprit place, et ils virent de nouveau la dite clé en retrouvant le campement de Delphia après une demi heure de marche dans la forêt. Qui leur fit face, en montrant l'immense mur de ronce et d'épine déclarant le début des épreuves.

    Courage, Malice, Adaptation. Il ne s'agissait pas de devoir affronter des armées ou des horreurs, mais d'acquérir ce que Delphia exprimait comme étant l'incarnation de la réussite des épreuves qui montrerait la bravoure et l'intellect de ceux venant se montrer à l'Arbre-Rouge après avoir acquit le mérite de lui faire face. Des trous apparaissant vers les racines de l'arbre, menant vers les différentes strates des épreuves. Vendimus, Lyzeros et Burzak eurent à subir l'épreuve de Courage. Un énorme Vargrison au centre d'une pièce immense et circulaire, qui fut déplacée par Vendimus et Burzak pour passer en dessous, vers le trou au centre de la pièce caché par l'énorme créature effrayante. Lyzeros, libéré d'une illusion, suivit les autres sans avoir réussi à affronter ses horreurs, et tous se retrouvèrent dans un grand couloir. Évitant le piège illusoire de la grande pierre devant les écrasés, en passant à travers. Ils tombèrent néanmoins dans le piège de la chute du sol, les trois se retrouvant à l'extérieur à côté de Delphia, sans douleur, s'étalant par terre les uns à côté des autres. Ayant échoué une épreuve. Dra'Kalhen et Marcus parvinrent à déjoué les pièges demandant de s'adapter à bien des manières pour trouver des solutions pour contourner des épreuves adroites, et Lenors en compagnie d'Amélia parvinrent à découvrir les mystères de l'épreuve de Malice. Deux des épreuves sur les trois furent accomplies, et les camarades se retrouvèrent en voyant les trois ayant échoués installés en les attendant, dépités et buvant quelques breuvages en les attendant.

    Les broussailles s'écartèrent en dévoilant un spectacle impressionnant, celui des couleurs vives d'une écorce rosé et d'un feuillage d'un rouge pure éclatant, les environs étaient constitués de nombreuses fleurs bleutés reluisantes sous l'éclat de lueurs solaires s'extirpant des nuages en ce bosquet enchanteur s'éloignant de tout ce qui se fait d'obscure et de simple. Loin des beautés communes des beaux jardins, des terrasses aménagés, et autres décors humains et splendeurs naturelles. Cela prenait un niveau au dessus, largement digne d'émerveillé les héros pouvant trouver ce genre de lieu, Vendimus eut peine à parler, alors que Dra'Kalhen et Lenors confiaient les deux Perles rouges des Mérites envers l'Arbre-Rouge. En échange, deux réponses furent accordés, pour sauver Champsrepos de la folie de ses forêts : l'Arbre de Mass, dans la forêt de Massïld. Il semblait responsable de tels actes malsains, provoqués par des ossements dans une vieille ruine. Laissant le choix aux Impériaux, de trouver une solution pour détruire l'arbre, ou pour le sauver, ayant de nombreuses conséquences terribles, pour les habitants du village de Bonpuit, ou des esprits des forêts locaux. Ils revinrent alors, après avoir survécus aux épreuves sans avoir été blessés pour une fois. Ils profitèrent d'une vue rare en la présence d'un tel arbre, mais ayant toujours les questions en tête, de se demander ce qu'ils pourraient bien faire pour protéger tout le monde."
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    04/11/2017
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    "Le 4 Loredas de Sombreciel, il était temps de s'occuper du début de la tâche primaire ayant porté l’intérêt de la Légion Impériale à venir jusqu'en Glénumbrie, et à se porter volontaire pour soutenir la stabilité de Champsrepos, en plus de la politique et de s'occuper de sauver des vies, ce qui permet souvent de rester de bonne humeur après des missions compliqués. Toutefois, ce n'était pas spécialement ce qui empêcherait les prochains objectifs de se multiplier sans cesse alors que les problèmes s'accumulent lentement. Alors que la guerre était toujours active dans le sud de Champsrepos, les réfugiés remontant vers le nord pour fuir les combats avec les miliciens de l'Alliance, il était cela dit temps de s'occuper de la promesse envers le Voldrunil, et la guilde des mages. La Bête des Marais, dont les Impériaux eurent entendu des rumeurs depuis les festivités de la chute de Krayn à Fier-croyant, en Havre-Tempête. Depuis lors, ils avaient apprit ce qui rodait réellement dans le marais nord de Metaye-la-vieille : Un faucheclan. Celui ci fut invoqué par un apprenti raté de Domark Domharil, frère du Conseillé Lenors, et patriarche de sa famille. Le Dunmer fut donc celui qui guida les Impériaux pour retrouver la bête, la capturer et récupérer la relique sur son dos qui avait servi à son invocation désastreuse. C'est ainsi qu'un mage Telvanni quitta le campement Impérial avec une petite troupe de guerre en direction du sud de Champsrepos.

    Quittant la Région, les Impériaux purent voir sur la route des caravanes et autres voyageurs fuyant les provocations de l'Ordre du Serpent. C'était l'une des scènes moroses, qui fit une cruelle réminiscence des va-nu-pieds errants sur les grandes routes de Cyrodiil suite à la destruction ou la prise de leurs foyers. Morose, cruel, et triste sont les mots les plus attribués, tandis que les chevaux des Impériaux passaient entres les quelques vagues de fuyards emportant leurs peu de possessions, les enfants hurlants et pleurant, les quintes de toux et les éternuements de ceux ayant subit la pluie sans un toit pour s'y couvrir. Que faire, pour autant de personnes, si ce n'est livrer bataille. Mais cela les préserveraient-ils de l'Hiver venant, et du froid des neiges qui remplaceront tôt ou tard les pluies habituelles de Hauteroche ? Finalement, ils quittèrent Champsrepos vers le sud, traversant les contrées vides, les routes dans les roches, et les plaines longues et ennuyeuses. Cinq heure de voyages furent nécessaires pour arriver aux marais environnant Metaye-la-Vieille, et c'est ainsi que débuta la tâche de trouver la bête tourmentant les lieux. Le résultat d'une invocation ratée résultant du danger des pratiques de la magie. Une caravane restait au sol, dévastée. A côté d'un cadavre d'un homme, à moitié dévoré en n'y laissant que peu de reste, si ce n'est le tronc, la tête et un bras. Après une vague inspection, dans une brume sinistre, Amélia cria après avoir aperçue une silhouette.

    Ainsi, les Impériaux se mirent directement en formation, en cercle. Essayant de découvrir d'où pouvait bien venir la silhouette, un brin de panique monta, alors que tous cherchaient désormais la bonne destination, et la piste de la créature. Celle ci semblait tournoyer autours d'eux, pendant que les loups sortirent des brumes, et fuyaient en oubliant clairement les Légionnaires en cercle qui observaient les environs avec inquiétude. Grâce à Amélia, les Impériaux virent la bête sortir des brumes rapidement, celle ci ayant pour objectif le reste du corps pour disparaître avec, mais fut reçu par les troupes en formation. Deux flèches touchant la créature daedrique, ainsi qu'une impulsion de la part de la Praetorian. Satisfait du résultat... Jusqu'à ce que la chose se relève, et fonce dans le tas. L'acharnement du combat fut sérieux, tandis que l'énorme Faucheclan se débattait à l'intérieur de la formation Impériale. Plusieurs flèches se ruèrent dessus, de Fusozay et Amélia en hauteur. Tandis que Dra'Kalhen et Marcus la prenaient de flanc pour la blessé, Demi-Lune, Vendimus, Lyzeros et Roland firent face à la bête daedrique qui ne cessait d'empêcher son immobilisation. Des coups furent échangés, avec une grande violence, mais le Faucheclan ne put supporter la pression des coups en coopératifs des troupes entraînés pour se battre ensemble, ainsi que les effets de l'Argentium.

    Alors que la bête s'écroulait, Domark récupéra l'artefact de son apprenti stupide en laissant soin aux combattants d'achever la créature pour la renvoyer dans les eaux sombres de l'Oblivion. S'occupant des blessés, au milieu de ce marais sinistre, et des dernières préoccupations en conversant avec la Wyresse Yelma qui vint à leur rencontre pour s'assurer que cela fut achevé, ce n'est qu'une fois celle ci disparue pour retourner vers son campement, que les événement s'emballèrent. Isolés, après la défaite de la Bête des Marais, la brume devint plus dense encore. Un froid mordant, et comme des caresses irréelles de mains spectrales glissant le long de leurs armures. Quelque chose de sinistre se tramait autours d'eux, et prit une autre tournure quand des vols de corbeaux ne cessèrent de voler autours d'eux, au dessus. Le cadavre à moité dévoré reprit conscience, grattant la terre en voulant les atteindre, et dévasté par le feu par Domark, mais au delà de la brume, une silhouette approchait. Celle d'un Bréton, dans les habits de la guilde des mages, tremblant et marchant vers eux. Il geint un instant, et s'écroula sur les genoux, couvert de plaies, tout en suppliant les Impériaux de fuir. Paniqués devant la scène, ils fuyaient vers leurs chevaux, les corbeaux rapprochèrent tournoyant dans toutes les directions, percutant des cuirasses, sonnant les Légionnaires. Sous le rire moqueur d'une vieille femme, ils fuirent rapidement vers Metaye-la-vieille en abandonnant le Marais. Sachant bien qu'ils devront y retourner, pour la tâche d'Endhoril : Abattre la Harfreuse, qui venait d'essayer de tous les massacrer. Galopant rapidement, disparaissant au loin, vers la ville portuaire en ayant avec eux le poids de la frayeur, et de la douleur."
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    05/11/2017
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    "Le 5 Sundas de Sombreciel, les forces Impériales s'éveillèrent paisiblement dans le nord. Champsrepos paraissait sûre, bien que la guerre restait en suspend dans l'attente des mouvements des uns et des autres. Reformer une force active prends du temps, autant que de soigner les plaies, et reprendre un peu de courage après la violence de la bataille pour le campement nord de l'Ordre du Serpent. Si le campement de guerre Impérial restait sous la surveillance du Centurion Menaro, l'un des vieux vétérans des premières heures du retour de la IXème Légion, la troupe de la Praetorian eux, s'éveillèrent à six heure de là. Metaye-la-vieille, une ville ayant eut fort à faire avec les problèmes de Loup-garou ayant envahit le nord de la ville. Les problèmes restent présent, différents, nombreux, mais les rumeurs de la mort de la Bête des marais étaient présente entres les conversations habituelles des marins et des pêcheurs locaux. Certains purent même réfléchir à de nouvelle expédition empruntant les lieux où des personnes furent victimes du Faucheclan qui ne resterait dans les mémoires, que comme une créature étrange et indéfinissable. Il ne s'agissait pas de retranscrire l'héroïsme Impériale contre une créature daedrique, mais cela finirait plus tard comme un conte de fée des combattants partant dans les Marais pour détruire un serpent géant, ou un « dragon » selon les plus fantaisistes – ou les plus ivres. Mais Endohril avait une tâche bien différente.

    Se préparant à l'entrée de la ville, après une journée de repos profitable à l'auberge locale, les Impériaux firent état de la tâche du Maitre-Mage qui leur était destinée depuis longtemps. En même temps que les rumeurs de la Bête des Marais faisaient échos, la Guilde des Mages gardait en crainte la survie d'un des intendants de la Guilde à Daguefilante, maudit par ce qu'il semblait être une Harfreuse dans une partie des marais au nord de Metaye-la-vieille. La crainte de retourner subir ce qu'ils avaient vécu hier soir. Endhoril fit clairement savoir qu'ils furent assaillit par la dite harfreuse à la chute de la Bête des marais, bien envieuse de se débarrasser de qui lui semblait dangereux. Surtout de Domark Domharil. C'est ainsi que, se préparant à l'évitable, ils s'échangèrent les colliers de protections de la Guilde des mages en s'installant sur les chevaux, écoutant les propos d'Endhoril concernant la tâche et la difficulté de s'attaquer à une harfreuse traquée par la Guilde depuis quelques temps maintenant. Toutefois, ils ne pouvaient empêcher l'inévitable éternellement, et une troupe de guerre quitta alors la ville et le repos tranquille, pour s'engouffrer dans les marais nord. Une nouvelle fois, pour affronter la boue et l'horreur. Trente minutes dans le marais, et les brumes s'élevèrent en glissant la luminosité vers une pénombre irréelle. La vision devenant de plus en plus restreinte. Ils arrivèrent de nouveau dans un lieu sombre, et inquiétant, où les grognements furent audibles dans les alentours, sans qu'aucunes silhouettes n'apparaissent. L'ironie, qu'un mois plus tôt, fut consacré à la Fête des Sorcières.

    Arrivés à destination, d'après le Maitre-Mage, Endhoril resta en arrière pendant l'inspection Impériale pour surveiller la sortie ainsi que les chevaux laissés à un arbre. Les œuvres magiques de l'Altmer permettant d'évité le pire. S'approchant un peu, et après avoir bousculer la brume par magie, ils virent une masure abandonnée plus loin. Encerclant lentement celle ci, la tension que ce soit l'habitat d'une Harfreuse monta lentement dans la crainte des Impériaux présent. Encerclant la dite maisonnée, et braillant à la sorcière de se rendre, Marcus, Dra'Kalhen et Amélia furent dérangés par des silhouettes étranges, qui ne laissèrent place qu'à des corps sur la gauche. Tandis qu'après un puissant sort de foudre, Roland, Vendimus, Corentius, Marius et Arnornn s'approchèrent de la masure en profitant de l'effet de la magie qui diminua l'intensité de la brume. Marius fut éjecté en arrière brutalement, s'écrasant au sol par terre et fut traîné par Corentius pour s'occuper de lui. Amélia inspectait par la fenêtre, n'y voyant étrangement que la noirceur d'une ténèbres insondable. Précisément là où Vendimus et Arnornn disparurent, en fonçant à l'intérieur, où les deux furent confrontés aux terribles illusions, à l'intérieur de la Citée Impériale, meurtrie par le passage de Havreglace, et devant déjoué les énigmes en même temps que Marius Sighur. Tandis que Marcus et Dra'Kahlen revinrent en ayant suivit les intrigues étranges des Corbeaux, ils virent les trois disparut revenir brusquement devant Corentius et Amélia qui se disputaient pour savoir si ils allaient rentrer les aider tout deux. Et alors que Vendimus ressorti en se demandant si elle avait réussi à défaire un maléfice, un rire sinistre fut audible, et en se retournant, elle, et tout les autres furent éjectés vers le sol.

    La harfreuse se tenait devant la masure, et horrible à voir. Son visage comme incarnation de la malchance, des boutons et des cloques déformant ses traits exécrables. Celle ci se moquait et insultait l'audace des Impériaux de se trouver ici. Une flèche fusa, la touchant à l'épaule, un instant avant que la Praetorian ne l'écrase au sol. Tous s'employèrent à la frapper, essayer différentes tactiques, souvent déjoués par les disparitions et apparitions de la créature. Loin du naturelle, la frayeur de la chose à peine définissable que par le mot « Femme horrible », s'amusant des forces de l'Empire, jusqu'à ce que l'étonnement ne la frappe. Autant que le glaive qui la blessa gravement en glissant à travers ses chairs. Disparaissant pour fuir, elle fut rattrapée par la foudre qui brisa son invisibilité, rejointe immédiatement par les forces Impériales. Décapitant finalement la chose affreuse, et se débarrassant de la tâche hardie. Tous, furent bousculés mentalement et physiquement. Reprenant leurs souffles, et profitant que la brume et le froid mordant disparaisse pour se détendre un peu. La tête fut récupérée, et conservée par le Maitre-Mage en vertu du rituel du Wyrd, alors que la bannière de la IXème Légion restait fièrement dressée par le Porte-étendard, Corentius. Le calme revint lentement, et les troupes Impériales firent de nouveau route, pour aller prendre un peu de repos à Metaye-la-vieille, après cette expérience effroyable, d'avoir supporter leurs propres peur. Et laissant encore tellement d'épreuve à supporter à l'avenir."
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    06/11/2017
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    "Le 6 Morndas de Sombreciel, ce fut la dernière soirée en Metaye-la-vieille. Les Impériaux purent profitais de chambres et de lit douillet un jour de plus, même si l'approche du Conseil de Hauteroche permettrait encore à ceux ci de se reposer avec toute la joie de se retrouver endormi dans un matelas douillet. Des soirées autours d'un feu dans une bâtisse chaleureuse, avec de véritable repas et des boissons, loin du brouhaha du Camp de bataille. Bien que celui ci commençait à manquer aux légionnaires envoyés accomplir les tâches de Domark et Endhoril, ils eurent tout loisir de se requinquer le moral. Car ils n'étaient pas parti en cure de jeunesse pour retrouver la force et se remettre d'aplomb pour se sentir mieux. Mais bien devoir subir des entités malsaines provoquant bien des tords au nord de la ville, pour affronter la Bête des Marais et la Harfreuse ayant maudit un intendant. Depuis, Domark jouait avec l'artefact du dos du Faucheclan, tandis que la tête de la Harfreuse fut préservée à la Guilde des Mages pour s'en servir plus tard auprès du Wyrd. Tout semblait rentrer dans l'ordre, à un détail : L'empoisonneur de Cirmo. D'après les dernières informations, récupéré pendant le problème du Port du vieux rêve, arrachée à un Altmer par Dereth dans l’entrepôt, ils devaient encore retrouver Lave-la-vie, celui qui aurait fournie le dit scorpion ayant brusquement piquer Cirmo et provoqué la léthargie de l'Ambassadeur. Il était temps de trouver une solution.

    Metaye-la-Vieille. Une plutôt grande ville, malgré les fortifications de fortunes supplémentaires depuis les problèmes avec les Loup-garous et tant d'autres. Mais il restait de nombreux endroit où la Praetorian avait découvert que les rumeurs parlaient d'un Argonien se baladant à divers endroit de la ville. Le boucher en avaient vaguement parler, ainsi que la Forge et l’Entrepôt. Trois lieux où il avait pu avoir des affaires différents et agir pour on-ne-sait-quoi, et pourtant si ils se mettaient à enquêter, ils seraient bien vite repérés plus qu'ils ne le sont déjà, bien que la rumeur d'un Barde chantant déjà une ode au combat contre la Bête des Marais jouaient en leur faveur pour faire croire qu'ils n'eurent pas de nouvelle de Lave-la-vie. Ainsi, alors que le crépuscule s'approchait doucement, les Impériaux se rejoignirent pour faire un point et se diviser pour découvrir ce qui se tramait dans chacun des points de rencontre pour empêcher celui ci de s'enfuir avant de tomber entres les mains des Impériaux et de livrer ses secrets. Il en était de la sécurité de l'ambassadeur Cirmo, et sûrement de la survie de l'entente Impériale et Aldmeri dans cette trêve gênante et agaçante. Nombreux étaient les protagonistes des deux factions ne pouvant s'empêcher de ne pas supporter l'un et l'autre, et une étincelle pourrait brisé la trêve. Pour empêcher cela, les Impériaux se dispersèrent dans la ville, et tentèrent de retrouver Lave-la-vie.

    Marcus et Vendimus partirent pour la forge, où plusieurs disputent avaient lieux. Visiblement, des commandes pour une troupe de mercenaire furent abandonnés et son dirigeant refoulé froidement. Alors qu'il sortait en bousculant un peu ceux sur son passage en râlant. Deux forgerons se disputèrent ensuite, dans une scène trouble, où le jeune fut presque envoyé par terre. Marcus et la Praetorian essayèrent de parlementer, en vain, avant de sortir dehors pour discuter de la manière dont ils pourraient agir. Amélia et Dra'Kalhen elles inspectaient la boutique du boucher du coin, réclamant de pouvoir entrer de manière bien différentes l'une de l'autre, mais celui ci accepta en comprenant finalement que les deux personnes étaient des Légionnaires. Les menant pour rencontrer soit-disant Dremus à la cave, avant de les y enfermer, un sachet de poudre s'ouvrant et la fumée apparaissant pour essayer de les empoisonnés. Marius et Lenors eux eurent découvert un passage étrange à l’entrepôt. Se débarrassant des deux mercenaires de gardes, bien qu'avec difficulté pour Sighur ayant fini en situation cocasse, Lenors inspectait la grande salle gardée faites de très nombreuses caisses. Ouvrant l'une des plus grosses, un Pahmar-Rath bondit dessus, clairement affamé et bavant sur son visage, avant d'être écarté par Marius d'un coup de pied. Se cachant en entendant une voix, ils furent témoins de la cruauté des deux Altmers arrivant pour enflammé le Khajiit se nourrissant d'un morceau de viande envoyé par terre.

    Amélia et Dra'Kalhen quittèrent la cave en bousculant les meubles couvrant une fenêtre cachée. S'extirpant de là avant de finir étouffée à mort, et tombant nez à nez avec un étrange Forgeron qui voulait aussi voir le boucher. Après que la conversation tourna court, le Forgeron les envoya baladé vers le sol brusquement d'une impulsion, et rentra à l'intérieur avec un tisonnier, pour massacrer le Boucher. Cela provient des difficultés de Marcus et Vendimus. Tandis que Marcus avait infiltré la Forge en se faisant passer pour un agent du camp de la cabale mystérieuse, il fini par défaire l’influence de l'agent infiltré en conversant avec les Forgerons. Sortant pour retrouver Vendimus étalée par terre dans les marches, après avoir reçue une boule de feu en pleine poire, les deux prirent le temps d'en discuter, informer les autorités au plus vite, et partirent retrouver celles qui étaient chez le Boucher, juste à temps pour entendre le Thalmor dissimulé tout les traits du Forgeron, se prendre un glaive dans le torse brusquement. Marius et Lenors se débarrassèrent des deux autres agents Altmers, en secourant Lave-la-vie, qui s'avérait être un très jeune Argonien, amoureux des scorpions. Celui ci fut embarqué par les Impériaux avec douceur, et s'assurant de sa sécurité pour ne pas que les agents de l'Inquisitrice Aleca, de l'Héritage Voilé, ne parvienne à ses fins. Et tous se préparèrent alors à retourner en Champsrepos, pour poursuivre une guerre les attendant encore sur le front."
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    07/11/2017
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    "Le 7 Tirdas de Sombreciel, le jour du départ de Métaye-la-vieille. Après avoir prit contact avec la garde locale pour la bonne entente avec les dernières activités Impériales et l'assurance de ne pas être responsable des troubles de la nuit précédente, malgré les corps retrouvés dues aux tueries des agents d'Aleca, tout s'arrêta à la capture et à la restitution des cadavres ainsi que de l'étrange marchandises isolées qui contenait de nombreuses caisses détournés, avec trois Khajiits Suthay enfermé et bâillonné, ainsi que de nombreuses poudres, dont du Sucrelune. Et autres substances furent récupérés par la Garde. Le petit Lave-la-vie, l'Argonien, fut mit sous surveillance Impériale et récupérer par des agents de la IXème Légion, mit sous sécurité en s'assurant de ne pas brutalisé l'enfant sous les ordres stricts de ses supérieurs. Ils prendraient le temps de l'interroger pour trouver un remède pour l'ambassadeur, mais cela se ferait dans le temps, comme tant de leurs objectifs se jouant actuellement malheureusement. Désormais que les Marais du nord soufflaient un peu, ils prévoyaient diverses demandes pour la ville qui attendraient un peu. La Praetorian ayant profité du temps passé pour étudier à la Guilde des mages locales et chercher des informations quant à la vieille histoire de la Clé des vagues retrouver après l'étrange épreuve de l'esprit Bosmer et des épreuves des trois griffes de pierres. Après quelques heures de recherche, celle ci découvrit un vieux mystère et une indication. Relevant une position.

    Les Impériaux quittèrent Métaye-la-vieille en direction de Champsrepos pour regagner le campement Impérial. Se retirant du chemin sur la route, ils partirent pour l'étrange destination sous demande de la Praetorian pour découvrir ce qu'il en était de ce mystère étrange. Quelque soit le dénouement, il y avait potentiellement une récompense ou un vieil artefact à la clé. Six heures furent nécessaires pour achever le trajet, celui ci fut éreintant et couvert de nombreuses pauses pour se restaurer et respirer un peu pendant le mouvement long et fatiguant d'une route à cheval. Un ciel aux nombreux nuages vagabonds offrit une brève chaleur à travers l'atmosphère fraîche et le vent traître glaçant les os. Ils furent accueillit par la plage, la grande étendue de la côte menant à l'intérieur de la Baie d'illiac et le bruit apaisant des vagues balancée contre le sable froid. Après un temps d'inspection et de conversation, Dra'Kalhen découvrit une sorte de petit trou étrange apparaissant au milieu de nulle part. L'inspectant pendant que le pauvre Marius Sighur virevoltait sur une vague imaginaire qui l'envoya s'écraser à côté de Marcus brutalement, la tête dans le sable. Elle y installa la clé des vagues, et dans un mouvement de poignet, le début d'une soirée terrible fut annoncé par l'apparition étrange de la ruine sortant des eaux. Une vieille tour et une brève muraille brisée, le tout couvert de plantes marines et d'algues, quelques poissons malchanceux se balançant sur la terre ferme. Et malgré l'inquiétude, ils firent marche à l'intérieur pour découvrir ce qu'il pouvait bien se passer.

    L'endroit semblait ancien, datant d'une époque difficile à réalisé, et les effets de son passage sous l'eau n'avait rien à faire pour la rendre encore plus mystérieuse encore. Quelques objets elfiques traînant au sol, d'une ancienneté indéfinissable, alors que leurs bottes foulèrent l'intérieur trempée et froide, des lueurs spirituels apparurent en nombre. Comme des centaines de feu follet s'occupant de leurs affaires, mêlé au bruit des murmures réclamant d'être sauvés. Plus loin, une étrange fontaine s'y trouvait avec une eau scintillante ainsi qu'une larme cristalline flottant au dessus. Les Impériaux la récupérèrent, et rentrèrent en contact avec celle qui s'occupait des lieux. La néréide eue une courte conversation avec les camarades qui étaient déjà cible de nombreux sortes d'assauts traumatisants. Les spectres firent pressions, et ils étaient lentement submerger par leurs tentatives atroces de les rendre fou et de les brutalisés physiquement. Choisissant le plus difficile, la Néréide entreprit la rite pour les scellés définitivement, plutôt que d'engloutir de nouveau la ruine avec le sortilège censé les contenir. Mais l'horreur était difficilement gérable, alors que doucement les troupes Impériales se réunirent pour subir ce que les esprits dégénérés Direnni leurs faisaient subir. Des anciens elfes, leurs visages blafards et déformés par des traits ridés et des orbites vide. Malgré leurs dernières épreuves, aucuns n'étaient préparés à de tels problèmes à surmonter. Et ils finirent par être totalement encerclé, condamnés à être déchirés par les bras déformés.

    Amélia fini par déplacé tout le monde, réunit par Marcus, ils se retrouvèrent autours de la Néréide dont la protection de la Larme des vagues assuraient que les spectres ne puissent parvenir à elle. Mais « Le Capitaine », un être bien plus grand, portant un énorme marteau de guerre, arriva jusqu'à eux malgré les effets de la dite larme. Luttant avec férocité, il écrasé Marius avec puissance, et brisa la lame antique de l'héritage de Dra'Kalhen. Ce fut l'un des pires adversaires pour les Impériaux, qui ne purent vaincre que d'une seule façons – En abjurant l'esprit elfique, avec l'usage de la Larme des vagues, qui brisa finalement l'accroche au monde physique avec les spectres, laissant les Impériaux épuisés et étalés par terre, dans une ruine qui ne leur semblèrent jamais aussi pure et tranquille, dans le bruit des vagues passant lentement contre le sable et la pierre. En récompense, ils choisirent pour l'instant de sauver Marius Sighur des blessures mortelles reçue avant qu'il n'expire fatalement, et purent rentrer lentement au campement. Ils n'eurent des sacrifices, pour ne sauver rien d'autre qu'un esprit des eaux et cela au prix de blessures physiques et grandement morales. De la perte de la Lame de Dra'Kalhen et de son importance, ainsi que du traumatisme dans les esprits de ceux ayant vécu ça. Ils rentrèrent alors que campement Impérial après une heure de voyage pour achever ce long chemin, épuisés et éreintés, pour y trouver un peu de repos. Malgré le départ rapide qu'ils devront effectué pour rejoindre le Conseil de Hauteroche."
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    09/11/2017
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    "Le 9 Turdas de Sombreciel, il était temps pour les Impériaux d'en revenir au nerf de la guerre de Champsrepos : L'affrontement contre les membres de l'Ordre du Serpent protecteur. De retour de leurs affaires en Metaye-la-vieille, et après le Conseil de Hauteroche sous la direction du Magistrat Jurhan Fontenac, il était grand temps de revenir au campement Impérial pour un certain temps afin d'y prévoir les futures batailles. Le campement eut un repos bien tranquille depuis la dernière bataille qui datait désormais de plus d'une semaine de répit sur le front de guerre, après la violence acharnée pour la prise du campement nord du Serpent, ayant laissé bien des blessés et des pertes Impériales. Toutefois, en cette journée censée bien commune aux autres, les problèmes survinrent avant même le retour des officiers Impériaux qui rentraient du voyage épuisant et du moral bas suite au Conseil, laissant des interrogations nombreuses, et les problèmes diplomatiques qui s'en suivent. La Praetorian leva la tête vers son campement de guerre, en compagnie de ses Evocatiis. Pour le voir complètement enroulé de fumée blanche, comme un nuage errant, sans donner l'impression d'un feu, mais d'un sentiment de chaos irritant. Plus tôt, un groupe de huit cavalier furent repéré par les sentinelles Impériales, sans parvenir à les empêchés de balancés leurs besaces remplies de concoctions instables ayant provoqués cet amas de brouillard irritant la gorge et les yeux. Un seul des cavaliers ayant été happé par une flèche chanceuse, le laissant s'abattre au sol brutalement. Rentrant au campement en ordonnant un rapport de la situation, une sentinelle découvrit un autre feu bien plus loin, mais d'un noir symbole des flammes. Les forces Impériales quittant avec la troupe de la cavalerie vers le sud.

    La route fut rapide, cinq minutes de cavale en vitesse pour atteindre la caravane en feu et l'état des lieux. De paysans massacrés et un milicien, les autres prenant et s'occupant des blessés, vraisemblablement, ce fut le tord pour eux de se retrouver sur la route des assaillants du Serpent. Le crépuscule tombait doucement, la nuit s'avançait de plus en plus, épargnés au moins de la pluie glacée d'automne, bien que le vent traître restait irritant en se glissant dans les nuques et les équipements refroidit. Ils virent les tons moroses des habitants, la fatigue et la douleur éprouvés par ce qu'ils subirent de la part des soldats du Serpent. Mauvais endroit, mauvais moment, définitivement, et ils eurent presque crainte que les Impériaux remuent le couteau dans la plaie, mais ils se contentèrent d'envoyer l'un des cavaliers chercher la compagnie de réserve Impériale pour venir en aide aux blessés et sécurisé l'endroit. Poursuivant la route, dans l'espoir de pouvoir découvrir ce qu'il se tramait, ils chevauchèrent encore plus longtemps, à travers la grand route sud menant vers la rivière d'eaudouce. Ils l'avaient jadis emprunter pour partir vers Metaye-la-vieille, mais c'était désormais dans l'empressement qu'ils tâcheraient de passer à travers Champsrepos pour découvrir ce qu'il se passe. Plus loin, une caravane ainsi qu'une dizaine d'individu en haillon travaillant de la pelle. Estimant plus important de secourir ceux pouvant l'être, les troupes Impériales se ruèrent en avant sans s'arrêter. Peu conscient qu'ils allaient tomber directement dans un piège, quand brusquement le bois des planches voilées en dessus se redressèrent d'un coup, et le combat débuta.

    Plusieurs cavaliers furent mit au sol, Vendimus roula par terre, ainsi qu'Amélia, et Ishtyh put se rattraper plus correctement. Marcus redressa sa monture à temps, tandis que Marius s'arrêta avec les autres avant le choc, Almeth Bale ayant plus d'adresse sur le dos de son fier Guar. Les troupes Impériales tentèrent de reculer, mais furent contraient de mettre pieds à terre pour former un cercle de protection, des archers positionnés en hauteur ne leurs laissant aucunes chances en restant inactif. Un mur de bouclier fut dressé face aux traits, tandis que les combattants Impériaux se démenaient pour se sortir de l'impasse. La violence de la mêlée fut grave, surtout quand une brume blanche irritante apparue, laissant les combattants Impériaux aux mains des archers, deux Equites tués sous les traits. Toutefois, s'extirpant de la brume, les archers finirent abattu par quelques jets de pillums, lames, et un éclair même s'écrasa sur l'un d'entre eux par la magie de la Praetorian. L'embuscade tourna en massacre, et le Cor de guerre fut empêché de résonné quand celui ci fini brisé sous la botte de plaque d'un Evocatii Impérial, Marcus. Le combat fut achevé avec violence, et sauvagerie, laissant des troupes épuisées et blessés. D'autres troupes de réserves furent convoqués, et c'est un groupe de plus en plus réduit qui se prépara à poursuivre. Leurs morts laissés aux soins des réserves, ainsi que les blessés, il y avait encore la crainte de ce qui avait bien pu se dérouler en Eaudouce pour voir des civils fuir vers le nord rapidement. Cependant, ils auraient encore du temps avant de le découvrir, dans une nouvelle avancée rapidement, ils furent poursuivit par ceux censés répondre au son du cor : Les Huit cavaliers Brétons se ruèrent vers eux, dans leurs dos.

    Le combat éclata de quelques jets des combattants entraînés, le pique de pierre d'Ishtyh envoyant l'un des cavaliers être empalé dessus avec brutalité, ce qui fut l'une des actions les plus sanglantes de la bataille pour un début du dernier combat. Jouant de quelques effets de magie pour reprendre l'initiative, le Mage de combat du Serpent fut écrasé par la patte du guar, brisant sa concentration, et son sort éclata au milieu de la cavalerie adverse, propulsant Almeth et son Guar plus loin. Ishtyh fut occupé à protéger Vendimus qui était au sol, tombée de sa monture une seconde fois, et accompagné de Amélia qui tâchait d'abattre l'archer rougegarde qui venait de lui planté un jet dans l'épaulière. Pendant ce combat à l'orée de la forêt, pour le retrouver et l'abattre, la Cavalerie Impériale chargea leurs adversaires détournés, et démoralisés. Ce qui fut une attaque, devint un massacre, et ils purent achevé leur route en direction des fermes, en traînant leurs blessures et leurs écorchures, n'ayant cessé d'être assaillit pour être ralentit, ce qui fut une réussite pour l'ennemi, car les Impériaux arrivèrent en *** à la Ferme d'eaudouce. Les cadavres étaient nombreux, et les larmes des blessés et de ceux ayant perdu un proche, et leurs enfants enlevés par l'Ordre du Serpent triomphant ce soir, fut un coup dur pour le moral. Rentrant finalement, laissant deux compagnies Impériales prendre le relais de fortifier la Ferme d'Eaudouce en compagnie des fantassins de Camlorn locaux, pour empêcher que jamais plus, une telle honte se reproduise, que de se retrouver en *** pour empêcher une tuerie. Ce fut une très mauvaise semaine pour eux, définitivement."
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    11/11/2017
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    "Le 11 Loredas de Sombreciel, les forces impériales eurent soin de profiter d'un Fredas de repos pour se remettre des dernières difficultés. Le jour fut profitable pour les blessés, mais pour déployer un nombre important de Légionnaires à des missions courtes de soutiens des peuplades et des fuyards depuis le sac d'une partie des fermes d'Eaudouce par l'Ordre du Serpent protecteur. Les conversations entres les Sergents Impériaux et les responsables des miliciens locaux furent en premier lieux très nerveuse, bien que petit à petit, la tension rechuta pour se concentrer sur un objectif plus clair : la bonne santé des paysans ayant été malmenés et ayant perdu des parties de leurs terres. La partie saccagée des fermes fut renforcé et transformer en véritable petit avant-poste de surveillance pour ne plus être prit à contre-pied. Le sud de Champsrepos souffla alors, tandis que la plus part des villages renforçaient leurs forces défensives en enrôlant des fermiers et civils volontaires. Ce nouveau coup dur, malgré la réussite du conflit contre Sir Briton et son exécution au milieu de son camp en ruine, ne changea pas l'aspect violent et nerveux de cette guerre. Même sur une échelle ridicule qu'est une simple contrée perdue dans un bien vaste territoire qu'est la Glénumbrie. Toutefois, informés par les rumeurs d'un chasseur ayant traqué une bête jusqu'à la forêt de Mass, les Impériaux eurent vent de l'apparition d'une biche au pelage blanche, ayant disparue à un lieu jugé « inquiétant et malsain ». Ce qui fut donc naturellement une piste, pour poursuivre l'investigation sur l'ombre porté sur les forêts de Champsrepos.

    Bien que sans nouvelles de la Wyresse Delphia, une petite troupe fut levée pour partir direction inspecté les dites rumeur et s'assurer qu'il n'y restait pas encore quelque chose de particulièrement maléfique ou malsain. Depuis les dernières tentatives de la corruption à s'étendre à travers le bois de la petite grenouille et celui des longues foulées, il était temps de s'approcher du cœur même du mal identifié depuis la conversation magnifique avec l'Arbre-Rouge, grâce à la Wyresse. Quittant le campement, en compagnie de Petite Salamandre, une argonienne venant s'enrôlé et embarqué vers un périple bien compliqué et inattendu. Marchant un peu moins d'une heure, à pieds, ils auront croisés de nombreuses personnes errants sur la grand route. Des voyageurs, marchands, et beaucoup de réfugiés préférant fuir le conflit que de se retrouver embarquer dans un pillage ou au milieu d'un conflit avec les Impériaux. Certains Légionnaires se trouvaient au milieu des citoyens, en missions d'aides aux personnes ayant été rejetés de leurs terres par les mouvements des fronts de guerre. C'était la véritable misère, se trouvant face à eux, mais ils avaient un tout autre objectif pour l'instant et ne pourraient pas faire mieux que l'ordre des Légionnaires déjà en place. A l'orée du Bois de Massild, le cœur de la noirceur, de la corruption, et comme l'avait décrit le chasseur, le passage était semblable à une sombre abîme indescriptible, comme un cercle de ronce les emportant vers un lieu de misère, et de mort. Mais n'écoutant que le courage, ils firent lumière de leurs manières, et entreprit de rentrer à l'intérieur de ce lieu inquiétant. Sans savoir, quels ont les maléfices qui les attendaient.

    S'engouffrant dans le dédale obscure, les Impériaux firent voyage à travers les ronces et les feuillages servants de murs, comme si le ciel était devenu sombre et obscure. Traversant les couloirs en choisissant leur chemin à travers le labyrinthe, ils eurent subir plusieurs pièges, entres une bulbe explosive, une fleur jetant de l'acide, ou une déferlante d'une eau croupie les ayant sonné. Rien ne leurs fut épargnés, et ils purent empêchés peu de piège de leurs tomber dessus. Suivant cela, ils entrèrent dans une salle, minuscule, où Dra'Kalhen et Lenors furent emportés par un trou dans le sol, suivit d'Amélia, Arnornn, Marcus, laissant Marcus, Vendimus et Petite Salamandre finirent aussi par bondir dans un passage. Des ronces se déplaçant, ballottant les pauvres dans tout les sens, pour les envoyés à un autre endroit inconnu du labyrinthe, sonné et laissant Amélia vomir par terre en ayant retirer son casque. Reprenant lentement leurs esprits, ils firent de nouveau route dans le dédale, espérant en sortir au plus vite. Ou trouver un potentiel trouble qu'ils pourraient attraper au fond de ce mystère. Après quelques autres pièges compliqués, ils entrèrent trempés dans une salle avec un grand coffre relié à une chaîne. Esquivant habillement les pièges de la salle, entrant dans son arrière caché, et comprenant le mécanisme : Si ils avaient voulu ouvrir le coffre, il aurait été tirer ici, et Julianos sait ce qu'il serait advenu d'eux. Découvrant finalement deux accès, l'un menait vers des cris de pauvres personnes suppliante, et l'autre vers un son cristallin. Entre une menace sur la nature, et sur des gens, les Impériaux choisirent de partir vers les sons cristallins. Inquiet pour Champsrepos entière, au dépit des voix criantes.

    L'intérieur de la salle était immense, en rond couvert d'énormes racines tournoyante et s'enlaçant. Couvertes de nombreuses brindilles et autres branchages, magnifiques car couverts de différentes fleurs luisantes et éclairant d'un bleue paisible l'intérieur de la pièce. Une stèle s'y trouvait à l'intérieur, au milieu, mais un homme devant parlait tout seul, jusqu'à insulter les Impériaux entrant. Un simple bûcheron, qui attrapant la perle sur le Piédestal centrale, alors qu'il se mit à vomir une bile noire, et son corps fut comme transformés. Du bois, distordant ses chairs, et de la moisissures se gravant lentement sur son être. L'entité, qui ne pouvait plus avoir comme nom « Homme », fonça vers les Impériaux en leur rentrant dedans brusquement. Tandis que le combat faisait rage, Salamandre inspectait la perle noircie, y découvrant l'esprit du fou en plein désordre. Son effort permit de brisé le lien avec la corruption écœurant qui avait infecté le pauvre bûcheron. Mais cela n'empêcha pas de sérieuse blessures sur certains combattants de l'Empire. Dra'Kalhen perdit conscience, écrasée lourdement au sol, et le Sergent Arnornn Martellor fut gravement blessé, lancé pour plusieurs jours de convalescence même avec une intervention d'urgence du Conseillé Lenors. La créature fut achevée par les efforts concentrés par les survivants, et ils brisèrent la chose après la chute de la malédiction. Récupérant la perle, ils quittèrent le dédale en trouvant l'accès vers la sortie aisément quand un passage fut ouvert au fond de la salle. Épuisé, mentalement et physiquement, ils transportèrent leurs compagnons endommagés d'urgence, et firent la route vers le Campement Impérial, dans l'espoir que grâce à la perle, ils ne firent pas tout cela pour rien. La Wyresse Delphia devrait être prévenue, le plus tôt possible."
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    12/11/2017
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    "Le 12 Sundas de Sombreciel, les forces Impériales restait toujours en surveillance, alors que les passages des grandes routes étaient régulièrement surveillés par des patrouilles de Légionnaires des réserves, une partie des troupes des vétérans restaient désormais à la Ferme d'eaudouce pour la protection civile et la surveillance des actions du Serpent. Deux petites escarmouches sans pertes furent signalés lors de tentatives de passages en forêt ou non loin de la rivière, essayant de récupérer souvent des pêcheurs, des chasseurs. Visant les citoyens, et surtout les plus jeunes, dans leurs directives que seuls comprenaient les élites Impériales qui durent subir les créatures serpentines Lamia pendant les combats. Toutefois, le problème ne semblait pas venir cette fois des bois corrompus ou de la morosité de la guerre. Mais de la toute simplicité de ne pas avoir reçu de nouvelle de ceux censés avoir été payés pour partir rechercher les composants nécessaire au sauvetage de l'ambassadeur Cirmo. Censés se trouvé dans un petit campement de réfugiés et divers marchands et fermiers s'occupant de faire tourner le commerce dans les petites strates de Champsrepos, les contacts Rougegarde du Sergent D'irshte ne purent jamais répondre, autant que le messager Impérial ne fut pas de retour auprès des troupes de la IXème Légion. Bien conscient que la dernière fois que des patrouilleurs eurent manqués à l'appel, ce fut une scène catastrophique en devenir qui apparu au village de Hautepierre. Mais envieux de toute façons de secourir l'Ambassadeur, les Impériaux quittèrent leur campement en direction du « coin de voyage. »

    La route fut tranquille, alors que la journée s'écoulait lentement, et le froid présent n'avait pas son aspect agaçant quand il se mêlait aux brises froides glissants contre la peau comme une caresse énervante. Faisant claques leurs armures tranquillement, ils firent une marche sur le dos de leurs montures, jusqu'à arriver au grand camp de fortune, dont les lueurs des torches commencèrent à apparaître, après une quarantaine de minutes de routes pas spécialement épuisante. Les environs étaient communs à l'ensemble de la contrée, des herbes paisibles bousculés par un vent léger, alors que s'y trouvant plus loin un grand amas de nombreuses tentes et caravanes. L'endroit semblait particulièrement fait pour accueillir des va-nu-pieds et âmes vagabondes, et leur offrir parfois même du confort pour peu que l'or soit engagé dans les conversations. Les Impériaux se dirigèrent vers l'intérieur du campement, sous les regards inquiets des réfugiés se demandant ce qui pouvait bien suggérer la nécessité d'une présence de combattants de la IXème Légion dans ce lieu isolé, alors que de nombreuses activités avaient lieux. Une présentation fière de la Convention de Daguefilante, sous son drapeau, avait lieu dans un coin du campement, mais celle ci était clairement ignorée par le manque d'éloquence de son représentant, ainsi que par l’intérêt de tous d'observer la mise en scène de At'Saelk qui gesticulait en présentant son futur toujours. Sous le regard d'un homme, un Rougegarde, que personne n’osait vraiment approcher.

    Les Impériaux décidèrent d'aller voir At'Saelk, cette vieille connaissance qu'ils avaient jadis sauvé à Haltevoie lors des intrigues de Holand des épées, peu avant la mort de Lunrich, le maître des limiers noirs. La fête improvisée battait son plein, comme presque tout les soirs pour se réconforté et apporter un peu de chaleur en ce coin perdu, loin de la guerre et de ses effets. Alors qu'il venait de finir d'achever les présentations, le Rougegarde s'installa sur sa chaise rembourrée, avec un soupire de soulagement. Mais celui ci devint rapidement un instant de panique, projetant tout le contenu de sa coupe sur Reldan, qui arriva accompagné de Vendimus et de Ingvar. Les trois observaient désormais le marchand, conservant tranquillement alors que celui ci fut rassuré qu'ils n'étaient pas là une nouvelle fois avec des nouvelles affreuses pour ses affaires, et sa vie. Après une simple conversation, le Héraut se mit à brailler plus fort que tout, annonçant la venue d'un combat, qui n'avait pas été autorisé par At'Saelk. Celui ci en fut furieux, mais impossible par lui même d'arrêté la manœuvre, retenu par l'un de ses anciens propres gardes, qui lui fit face, lui refusant le passage. L'arène improvisée dans le sable et des planches de bois fut secoué par l'agitation, alors qu'une cage fut ouverte, découvrant un Légionnaire Impérial en tenue modeste, son équipement ayant été particulièrement abîmé et salie, et celui ci était accompagné d'une Ohme, la Khajiit sans poil observait les environs, effrayée. Et encore plus quand six Rougegardes s'installèrent dans l'arène, en tirant leurs sabres.

    La pression monta de plus en plus, et Reldan décida que celui qui retenait At'Saelk ne méritait pas d'avoir un nez en état, avant de lui cassé d'un grand coup de tête. Celui ci s'effondrant devant la violence de l'impact, le laissant continuer avec le gros marchand haletant un peu. Certains déplaçaient des cargaisons vers un coin doté d'égouts, et de l'autre, la Balafre essaya de partir, l'homme suspect que personne n'approchait. Parvenant à le poursuivre, la garde s'écartant sous les réclamations d'At'Saelk, Reldan parvint à atteindre la Balafre malgré des difficultés à cause d'un Altmer en tenue sombre, qui essaya de l'égorgé sur sa route, avant de disparaître dans la foule. Malgré la chance qui lui fut donné, c'est en laissant le mystère depuis lui, « La pointe du sabre mou », et « L'affamé », qu'il fut exécuté pour ses crimes. Tandis que ses séides, eux, furent affrontés par le reste des forces Impériales. Le sauvetage de l'Ohme fut difficile, mais en jouant de pair, luttant en frappant avec coordination, ils s'en sortirent sans trop de dégât en assommant deux des Rougegardes engagés, les quatre autres furent tués dans la violence de la mêlée. Peu envieux de perdre l'initiative, et que l'on pense son tournois digne d'un défouloir sanglant, At'Saelk acclama en faisant passé la performance pour une scène répété contre des condamnés à mort. « La défense d'At'Saelk » fut salué par ceux qui n'eurent pas étés écœurés par le sang, tandis que l'envoyé de Daguefilante observa avec stupeur, et gène ce qu'il venait de se déroulé. Les informations furent bientôt relayés, pour rassurer la population. Des brigands Brétons furent jadis engagés, et désormais, les Impériaux durent faire face aux brigands Rougegarde. Rentrant au camp, avec les inconscients, dégoûtés de savoir que les prisonniers qu'ils étaient censés retrouvés étaient désormais en mer en direction de Martelfell. Et que le messager Impérial lui, envoyé en tant que Gladiateur, ne pu être sauvé du combat, ayant périt sous les coups pendant l'affrontement sanglant."
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    13/11/2017
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    "Le 13 Morndas de Sombreciel, ce fut une journée couverte par la pluie et le mauvais temps automnale. Après quelques jours épargnés des tempêtes, celle ci frappa les environs avec violence et acharnement, tintant contre les armures dans de furieux bruits de l'eau en milliers de gouttes cognant contre l'acier des armures et le bois des structures. La Perle trouvé en Mass restait toujours un élément inconnu, pendant que certains prirent le temps de s'occuper de l'état des deux prisonniers Rougegarde,s mais aucuns des éléments ne furent intéressants à récupérer pour trouver une traces des colporteurs de D'irshte qui furent capturés par le Balafré. Toutefois, l’intérêt de ce Morndas fut les rapport matinaux des forces sur le front, suggérant le passage d'une caravane de prisonniers arriverait vers le campement du Serpent en accompagnant des réfugiés captifs sur les grands routes. Les pauvres pensaient pouvoir fuir le front, et furent attrapés par un groupe de l'Ordre du Serpent pour serrer le filet brusquement et récupérer les survivants. Certains s'interrogeaient de comprendre pourquoi les troupes dans les Fermes d'eaudouce ne purent intervenir, jusqu'à ce que les rapports signalent que ceux ci semblaient sous constante pression depuis des heures, sous les flèches des ennemis. Les archers du Serpent ne cessèrent de tenter d'impressionner voir d'abattre les Impériaux dans un flot incessant de barrages de flèches s'écrasant contre les défenses des troupes déployés. Toutefois, les relais d'informations furent suffisant pour apporter une missive d'urgence au campement de la IXème Légion, qui décidèrent d'une action rapide, et brutale.

    Les chevaux cavalèrent le long de Champsrepos, essayant désespérément d'atteindre la route censée être empruntée par la Caravane, en esquivant les flots de marchands, vagabonds, et voyageurs. Renversant involontairement un chariot de choux, à la grande consternation de celui s'en occupant, portant ses mains contre son crâne, dans l'envie furieuse que ne se répète pas de nouveau le désâtre d'Eaudouce. Des vies étaient en jeu, encore une fois, et seule la vitesse prendrait compte de cette manœuvre audacieuse – Foncer toutes armes levés vers l'ennemi dans des conditions tactiques désastreuses n'auraient pu mené qu'à un massacre, mais ils chargèrent tout de même pour braver la tempête, et arriver jusqu'au lieu du combat où les Miliciens essayèrent de défendre au périple de leurs vies, à un contre dix, les citoyens. Des flèches plantés au sol, ainsi que de la boue remuée, et des cadavres de plusieurs citoyens et miliciens étalés par terre. La honte, et la colère, défilèrent dans les entrailles impériales, agacés par la folie des membres du Serpent, ils virent les lueurs des torches de ceux qui s'éloignaient désormais rapidement sur la grand route, à travers la pluie et la boue. Tirant leurs lames, et refusant l'échec, les combattants sur leurs chevaux de guerres se ruèrent vers le front de guerre, après avoir rapidement avisé du plan de bataille. Venant s'écraser dans la masse des Brétons se retournant brusquement, étonnés.

    Une partie des forces Impériales firent front à pieds après la charge initiale, la quinzaine de Légionnaire profitant de la brèche pour prendre l'ennemi dans la confusion la plus totale, pendant que les cavaliers reculaient pour gagner du terrain, et se préparer à la seconde charge. La mêlée fut violente, tandis que des sortes d'invocateurs préparaient un sort plus loin, récitant diverses phrases, qu'ils n'eurent le temps d'achever entièrement. Malgré l'invocation d'une Lamia très mécontente, les prochaines furent interrompues par le Sergent D'irshte et quelques légionnaires arrivant en embuscade depuis leur patrouille. La dite Lamia, après avoir massacrer l'un des cavaliers, dont la charge avait écrasé les archers d'arrière-garde et fait fuir le Sergent du Serpent, celle ci fini par revenir vers D'irshte et les tiens, mais les techniques du Rougegarde permit de passer outre les défenses de la bête, tranchant la tête de la créature. La Cavalerie avait écrasé les archers, et se reculait sous la menace de la Lamia, s'écrasant contre l'arrière des lignes sans savoir que malgré la réussite de cet acte, cela condamnerait les troupes au chaos. La fourrure de la caravane tomba, dévoilant la baliste à l'intérieur, tirant dans l'amas de troupe, provoquant bien des pertes et la folie débuta dans le champs de bataille. Dra'Kalhen et Ingvar partaient vers les lueurs à droites, poursuivant la véritable caravane avec les civils, alors que Lenors venait de dévasté le visage du massif chevalier au fléau d'arme, avant de briser la baliste adverse, ses occupants décimés par les pillums. La bataille tournait vers la victoire, mais à un prix sévère.

    Dra'Kalhen et Ingvar luttaient contre des fantassins, après avoir empêcher les archers de tirer dans les Légionnaires, embusqués dans les bois à droite de la grand route. Un nuage de poivre délivré par la Khajiit permit de laisser le temps à Lenors de se joindre la danse, et d'envoyer un éclair foudroyant vers les archers. Laissant de lui même, le temps avec acharnement, à l'intégralité de la cavalerie Impériale de s'écraser dans l'amas d'archer, une grande panique apparaissant. Vendimus, D'irshte et Amélia se ruèrent vers la caravane défendue, avec les Légionnaires en bonne santé et non pas occupés à sauvés la vie de leurs camarades sur la grand route. Frappant, avec nervosités, se taillant un passage, en voyant Marcus étalé au sol. Il avait été brutalement fracassé par le commandant du Serpent qui s'éloignait désormais, sans que personne ne parvient à l'arrêté. Mais tous furent trop occupés à sortir les citoyens de la caravane en flamme, trois civils n'ayant pu être sorti de là à temps dans la confusion et le chaos. Des hurlements des blessés, et des fuyards paniquant et agitant les bras dans tout les sens. La bataille avait tournée dans le sens des Impériaux, avec les diverses interventions, et réussites tactiques. Malgré le retrait réussi de tout les officiers du Serpent, la cible principale fut sauvée : Les villageois captifs. Si ceux ci furent libérés, et escortés vers le village de Bonpuit, il n'y avait eu guerre plus d'avantage tactique que d'abattre une partie des troupes ennemies, mais perdant en retour plusieurs Légionnaires, et de nombreux blessés. Rentrant mollement au campement Impérial, avec l'Evocatii Marcus, gravement blessé au visage, et ayant perdu un œil dans l'intensité du combat."
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    14/11/2017
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    "Le 14 Tirdas de Sombreciel, la bataille pour le convois des prisonniers laissa toute l'arrière-garde au repos, ainsi qu'une certaine stupeur dans le camp de bataille. Certains Sergent, notamment D'irshte, essayèrent de supplanter au manque de l'Evocatii Marcus toujours gravement blessé et installé dans sa tente en soin intensif, mais le nombre de blessé et de problème ne permit qu'à peine pour que le campement puisse tourner à plein régime. Le seul espoir d'une sérieuse réponse Impériale, restait désormais les troupes vétérans sur le Front de guerre, à la Ferme d'Eaudouce, car ils étaient encore d'attaque et accompagnés de la Milice local de Camlorn, restaient une sérieuse menace pour l'Ordre du Serpent ayant sacrifiés bien des précieuses ressources pour les tenir en respect lors de l'attaque de la caravane. Au campement Impérial, les plaintes des blessés se succédèrent en nombreux gémissements, ou errances et insultes avant que le cadre de la discipline ne reprenne le bon rôle. Mais entre toutes les mauvaises nouvelles, il y avait aussi la disparition de Delphia. La wyresse n'ayant jamais recontacter les Impériaux depuis l'acquisition de la Perle découverte au fond du labyrinthe étrange se trouvant dans la forêt de Massild. Et malgré la crainte de devoir retourner potentiellement dans le dédale, les Impériaux firent route vers le sud pour retrouver la dite forêt. Ainsi que la Wyresse peut-être perdue dans un lieu cauchemardesque.

    Après un voyage plutôt tranquille, arpentant la grand route couvertes des nombreux marchands et vagabonds continuant leurs voyages, ou bien habitant à même la route désormais, coupés de tout espoirs d'errances à causes de la guerre, et soutenu par les efforts des colporteurs et des Légionnaires des réserves en missions. La petite troupe, constituée de Vendimus, Reldan, Dra'Kalhen, Ingvar et Amélia, furent salués par quelques habitants et honorés de quelques prières. Cela fut une sorte de souvenir, depuis les dernière bataille pendant le conflit des Poignes de guerre en Fier-croyant. Toutefois, malgré la vague de chaleur que cela pouvait provoquer, et le plaisir d'être reconnu et salués, les Impériaux poursuivirent la route en direction de la forêt de Massild, en quittant les chemins de pierres, pour arriver jusqu'à l'orée du bois sombre. Celui ci, semblait toujours aussi malveillant et obscure que jadis, avec de nombreuses ondulations dans le bois si peu naturelle, et l'impression que tout était plus sinistre encore. Un vague souvenir de l'état du bois de la petite grenouille revient, mais pire encore, cette fois, tout avait l'air bien plus marqué par cette malédiction. Alors que Reldan cherchait, Dra'Kalhen se mit à appeler Delphia en hurlant. La tâche un peu stupide d'apparence seulement, fit venir une magnifique biche blanche, vue, et revue par les Impériaux. Celle ci se mettant à guidé alors les camarades à travers les sentiers noueux et inadaptés pour la marche. Les laissant se prendre les pieds dans les ronces, tomber, se débattre pour passer. Ce fut un véritable calvaire, jusqu'à l'arrivé miraculeuse, dans ce qui ressemblait à un petit campement abandonné.

    Reldan et Dra'Kalhen inspectèrent les traces laissés vers le côté gauche, au centre se trouvant une grande table avec d'énorme passages de griffes, et nombres de pots brisés, un sac éventré dont tout ce qui fut de valeur dérobé, tandis qu'Amélia et Ingvar inspectaient le côté droit. Ils avaient alors, d'après les empruntes de pas, choix entre poursuivre les traces d'un ravage dans le bois, avec le bras d'un bréton retrouvé, et de grandes traces de sang, ou poursuivre vers de nombreuses traces de pas, et un morceau de fourrure arraché contre une branche comme déchiré d'un habit. Pesant le pour et le contre, ils finirent par poursuivre ce qui semblait une piste pour retrouver Delphia dans cette maudite forêt désagréable. Et après bien encore des soucis, comme des branches cognant contre un casque, des bottes dans les crottes ou des araignées se baladant sur les armures, ils finirent par rejoindre ce qui semblait être un campement de bûcheron isolé. Plusieurs personnes portant les couleurs du noble Bonpuit, installé au village proche du même nom, ayant dévasté de nombreux tronc et mit de côté les bûches. Ceux ci discutaient, alors qu'un scribe écrivain dans son coin, mais en approchant, Reldan et Dra'Kalhen furent prit d'un coup de sang. La Wyresse Delphia était bel et bien là, enfermée dans la tente, et deux bûcherons se disputaient pour savoir qui passerait la nuit avec. N'écoutant que la haine d'avoir provoquer cela, plusieurs actions suivirent, entre l'introduction de Dra'Kalhen et Amélia dans la dite tente pour récupérer la captive, alors que Reldan et Vendimus vinrent de front. Il n'y eu pas d'explication, et l'avidité d'une prime et de la chair chaleureuse, parvient à faire oublier aux bûcherons qu'ils affrontaient des légionnaires entraînés et vétéran. Malgré des coups dur, tous furent tués pour ce crime, en récupérant la pauvre Wyresse couverte de blessures, presque-inconsciente. Et c'est là que tout s'emballa.

    Les insectes furent de plus en plus nombreux, et se baladaient même dans le corps des fraiches victimes, en nombre de plus en plus grand. Des lueurs de lucioles tournoyaient, alors que des bourdons et autres bestioles volantes tournoyant, se cognant parfois contre des armures, des massifs scarabées errants autours de ceux vivant encore. Ce n'est qu'en voyant la silhouette de la Dame du Clair-Massild, qu'ils prirent décision dans la panique de fuir le plus vite possible. Poursuivit par les insectes, cognant contre leurs armures, dans une course folle, ils furent bloqués par des ronces s’agglutinant devant eux. Plutôt que de chercher une solution pour partir, ils se retournèrent, en observant la Dame presque sur eux, alors qu'Amélia continuait de frapper les ronces du glaive, prise de panique. Essayant de convaincre celle ci qu'ils sont des alliés, des protecteurs de la forêt, celle ci se contenta de les observer, et de partir en récupérant la Wyresse blessée dans ses bras. Derrière elle, un son enchanteur apparut, comme une mélodie reposante, éclatante à travers les arbres et les fourrés percés par le vent froid de l'automne. C'est dans cette musique paisible, et irréelle, que Delphia sauvée et la Dame disparurent, laissant de nombreuses questions aux Impériaux – Qui avait bien pu ordonner la traque et la capture de la Wyresse protectrice des forêts de Champsrepos. Était-ce le Seigneur Bonpuit, dans son avidité, ou quelqu'un d'autre ? Désormais, toutefois, il était clair que pour la IXème Légion, le choix discuté par l'Arbre-Rouge il y à un temps de cela fut saisit. Ils ne sacrifieraient pas tant d'esprits et de la profondeur de cette terre, pour l'avidité et l'arrogance. L'Arbre de Massild devait être purifié, pour protéger plus de vies encore que sa destruction n'aurait pu sauver."
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    16/11/2017
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    "Le 16 Turdas de Sombreciel, le Conseil de Hauteroche venait de s'achever, et les troupes Impériales profitaient allégrement du repos de l'ambassade Impériale de Forge-Gloire. La forteresse avait retrouver de sa superbe, depuis les conflits contre les Poignes de guerre. La chute de Krayn ayant scellé le lien entre Haltevoie et la IXème Légion Impériale, tout comme les retours diplomatiques en Hauteroche. Après tant de boues, et de combats, ils purent avoir la douceur de lits douillets, de chambres confortables, et de la tranquillité du lieu. Le surplomb restait confortable, offrant une vue des environs paisible, mais tous ne savaient qu'ils n'auraient à savourer que bien peu de temps avant de retourner combattre. Les informations furent nombreuses à être partagés au Conseil, tandis que tous réfléchissaient aux implications suivant les propos relatés. Les problèmes de Fendretour, et la confiance qui devait être gagné désormais par le Seigneur local, mais il devenait nécessaire d'accompagner les difficultés des peuplades en agissant à leurs côtés, ne serais-ce qu'un instant, en même temps que se poursuit leurs propres batailles. Croissalant aussi, là où ils écrasèrent les brigands sur la route de Champsrepos, ceux du culte de la mère Aviaire, semblait avoir de nombreux nouveaux problèmes. Tout cela fini par organiser une réunion diplomatique à l'ambassade Impériale le prochain Morndas, pour que les futurs alliés puissent se concertés sur les futures manœuvres. Mais avant l'envoie des troupes vers le front, il était temps de se ressourcer avec une noble activité.

    Le tournoi de la IXème Légion devait servir d'exemple pour trouver le dignitaire du titre de «Champion Impérial » et prouver que les troupes sont capables de se battre avec force et dignité. Ainsi, les troupes de la IXème Légion se retrouvèrent dans la cour de Forge-Gloire pour s’amasser autours des haies de la lice des combats. Ce n'était pas la grande arène de Kvatch, mais une simple arène faite pour des duels d'honneurs modestes, usant du talent et du glaive pour s'en sortir. Les troupes au repos de la IIIème Cohorte et de la IVème qui n'avaient rien à faire ou pensaient pouvoir s'en déroger pour une soirée de plaisir, firent foule autours des broussailles servants de limites. Plusieurs des combattants les plus chevronnés et vétérans de la Légion Impériale furent installés pour brailler et encourager leurs préférés pendant les combats livrés avec acharnement. Quelques aides de camps tournaient en délivrant des rations de boissons et de nourritures, alors que les discours se mêlèrent pour rappeler ce pourquoi ils se battraient non pas en sauvage, mais en dignitaire des valeurs Impériales de l'époque de Reman Cyrodiil. Les discours furent prononcés, avant que petit à petit, les volontaires ne s'annoncent pour ce préparer aux combats dans les codes et les normes rediscutés.

    Le premier combat fut acharné, opposant le Sergent Arnornn Martellor à la Légionnaire Amélia Aetius. Le combat fut puissant, mais Arnornn semblait dominer l'affrontement en jouant de son talent pour s'opposer à son adversaire avec ténacité. Jusqu'à ce que finalement, ce ne fut suffisamment pour ne pas recevoir un grand coup de son adversaire, qu'il parvint ensuite à maîtrisé fatalement, et achevé cette affaire, sous les salues et les applaudissements des deux combattants. Roland Draconis, un Légionnaire Bréton fougueux et puissant, ne put toutefois faire face à la vélocité habile d'un des combattants les plus chevronnés de la Légion Impériale. Le Sergent D'irshte, portant avec lui l'héritage Rougegarde, fit de son mieux pour délivrer ses coups avec habilité et force en déjouant les assauts courroucé du Légionnaire de front. Là où Draconis luttait avec hargne et témérité, D'irshte le faisait avec éducation et droiture, et le résultat fut catastrophique pour le Bréton, qui montra toutefois le visage du Légionnaire de guerre – Celui qui se bat avec puissance. Dra'Kalhen fut volontaire pour l'avant-dernier combat, et il fut proposé à la Praetorian Vendimus de participer aux combats pour mérité d'elle même d'acquérir le titre. Elle affronta alors l'agilité de la Khajiit, et lutta avec détermination pour vaincre ses coups habiles et menaçant. Après bien des manœuvres, Dra'Kalhen fut balancée au sol, pour en finir avec l'affrontement, déclarant alors quels seront les trois combattants s'affrontant pour le titre. Se rejoignant dans la lice, après les honneurs, le dernier combat s'engagea.

    Vendimus, D'irshte et Arnornn, tout trois s'affrontant pour le titre de Champion Impérial, les trois ayant maintes fois combattu depuis le début de la guerre contre Krayn, jusqu'à ce jour, pour essayer d'acquérir le mérite de vaincre. Ils luttèrent, alors que le Rougegarde fonça sur Arnornn, joint pas Vendimus. Des coups furent délivrés, avec bien des violences et des lames s'entrechoquant dans des coups d'aciers puissants. Mais D'irshte fut finalement vaincu, balancé dans les broussailles d'un coup d'épée vif par le plat, s'écrasant dans les amas de plantes. La suite fut un affrontement entre Vendimus et Arnornn, qui luttèrent avec acharnement. Et malgré des coups sévères contre la Praetorian, le duel s'acheva quand le glaive de Vendimus fut sous la gorge de son adversaire, sans pousser le vice d'y laisser la moindre trace, soutirant simplement l'acier en acceptant la fin de la bataille. Malgré tout, ce fut la Praetorian qui gagna le titre de Championne Impériale, bien que ce fut inattendu, ne serais-ce que de la voir participer, l'acharnement dans le combat, avec discipline et rigueur, fit honneur à tout les combattants. Il n'y eu pas de blessé, et encore moins de morts, uniquement des démonstrations martiales et des signes d'une retenue exemplaire. La soirée poursuivit alors, dans l'ambassade Impériale, avec une tournure festive, et tous purent profiter d'un peu de paix, en sachant bien que les prochains jours leur offriront que très peu d'occasion de se reposer."
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    17/11/2017
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    "Le 17 Fredas de Sombreciel, le retour du cercle de commandement Impérial se fit tranquillement au campement principal. Quelques rapports furent partagés, mais les deux jours en leurs absences ne furent pas porteur de mauvaises nouvelles. Rien n'ayant encore été statué pour les renforts, si ce n'est l’intérêt de la noblesse de Camlorn envers le peuple et la chute des rebelles, la morose routine des déplacements et de l'assistance des villageois blessés et volés s'installait. Les troupes de réserves avaient alors régulièrement des missions de secours, ce qui leur permettait d'avoir un peu d'expérience dans l'intervention de sauvetage et une activité autre que l’entraînement habituel. La Wyresse Delphia fit son retour auprès du campement impérial, ses blessures guéries, et déjà à l'étude de l'étrange sphère dans le coin le plus isolé possible. Visiblement, sa dernière altercation avec les bûcherons venait de faire naître en elle une certaine dose de colère, de haine, vis à vis les personnes ressemblant à des hommes du communs. La vue des Légionnaires impériaux les plus simples pouvait rapidement la mettre mal à l'aise, mais le sauvetage de l'Arbre de Mass primait pour elle. Ce ne fut qu'après avoir reçu les dernières nouvelles, fit quelques rapports et mit de l'ordre dans les missions du nord, que le commandement quitta le camp sûr pour partir vers le sud afin d'inspecter les défenses d'Eaudouce. La ferme avait été maintes fois mises sous pressions, tout comme les Légionnaires actifs là-bas, et il était de bonne vue que de sécurisé les lieux une bonne fois pour toute avant l'invasion du campement du Serpent.

    La route restait semblable à elle même, ses hordes de personnes voyages, et saluant les Impériaux sur leurs fiers destriers. Fonçant en direction de ce qui était des ruines après le passage du feu et des conflits, de ce combat en Hauteroche laissant derrière lui de la pierre brisée et du bois noir laissé après les incendies ayant toujours été une honte pour les troupes Impériales arrivés trop tard pour sauver qui que ce soit. Désireux de faire en sorte que les défenses de Eaudouce soient assurées, les troupes firent un voyage de deux heures jusqu'aux positions fortifiés assurant que l'Ordre du Serpent ne puisse reprendre des manœuvres de déplacements rapides et agressives envers les routes et les fermes proches. Le commandement se déplaçait en assurant que tout restait sur le qui-vive et prompt à répondre à n'importe quels agressions. Des idées étaient rediscutés, et des échafauds de bois furent installés contre les vieilles murailles datant des attaques d'Orques il y à bien des années, pour observer les environs. Une trentaine de Légionnaires, les vétérans des troupes impériales, sont la plus part avaient combattu et survécu aux batailles contre Krayn et les Poignes de guerre. Les ordres étaient de maintenir des préparations cohérentes, et il y avait pour sujet de remettre au clair les possibilités et les spécialités de l'Ordre du Serpent. Tout en accueillant le Capitaine Varro, envoyé par la noblesse de Camlorn pour soutenir le conflit contre les sécessionnistes. C'est une conversation cordiale, et avant de débuté plusieurs actions, ce fut le cri de la sentinelle qui signala l'approche des forces ennemies. Tous se mirent en mouvement, s'agitant d'ici et là pour découvrir ce qu'il pouvait bien se passer dans les braillements des ordres donnés, les Légionnaires, même au repos, quittant rapidement leurs tentes pour se mettre en position et trouver leurs armes. Ce qui ne devait être une inspection, allait finir en âpre bataille.

    L'avancée ennemie était claire, et simple. En avant-garde, une dizaine d'archer passaient d'un couvert à l'autre avec l'expertise de combattants entraînés à avancer pour ne pas recevoir de jets dans la figure. Ils couvraient l'avancée d'un bélier de guerre arrivant plus loin, avec les fantassins brétons, tout en laissant se débrouiller d'étrange silhouettes passant dans l'est en s'éparpillant dans un bois rapidement. Invisible à la vue des Impériaux. L'affrontement débuta à l'arc, les archers Impériaux décochant rapidement, et deux troupes de Légionnaires sortirent en levant leurs scutums pour contenir quiconque attaquerait les mercenaires de Varro installant leur caravane devant la porte et la bloquant, brisant les roues, pour empêcher le bélier de pouvoir commencer à brutalisé la grand porte. Les archers brétons furent harcelés, mais des ordres étranges leurs dévoilèrent les plans des Impériaux. Les mercenaires étaient harcelés par des flèches, certains blessés, et six cavaliers Brétons se ruèrent vers les troupes Impériales. Les archers de la Cohorte ne purent poursuivre leur aide, alors qu'une brume glacée s'installait sur les remparts de bois, d'un aspect irréelle. Le chaos s'installa dans un assaut implacable du Serpent, alors que les troupes Impériales luttaient, pour se remettre de la charge. Les Mercenaires ayant fini leurs œuvres, vinrent à l'aide des troupes, et même Salamandre fut repérée avant l'usage de son sort, et de nombreuses flèches se dirigeant vers elle. Retournant rapidement derrière les lignes, les Impériaux furent repoussés et aveuglés par la brume sur leurs remparts. Profitant du temps accordé par la position du chariot devant la porte, pour empêcher le bélier de débuté son œuvre, pour préparer la suite du conflit.

    Corentius Moren, Porte-étendard et Aide de camp, dirigea une mission à risque grâce à la troupe élite du Sergent Arnornn Martellor, accompagné de la Légionnaire Lyzeria, une jeune Bosmer venant de rejoindre les rangs. Tous contournèrent largement le front, et s'écrasèrent dans la forêt pour attraper les silhouettes vues. Trois mages, encerclés de fantassins, furent assaillit par les troupes impériales pour abattre le sortilège condamnant les remparts en bois. Le combat fut furieux, mais la victoire déterminante, laissant Lyzeria blessée, et Arnornn s'occupant d'elle, pendant que Corentius discutait avec le jeune homme aide de camp du Sergent du Serpent qu'il venait de tuer. Visiblement, il venait de trouver son propre garçon à tout faire. Dès que le sort fut dissipé, Salamandre fit éclaté les flammes de son sort en préparation au milieu des forces adverses, les mercenaires cessant l'occupation de « pêche aux couillons » pendant qu'ils envoyaient des grappins hors de la brume pour attraper des fantassins brétons aléatoirement au niveau de la caravane devant la porte. Les portes furent ouvertes, après le jet de chaudron bouillant et puant dans les rangs ennemis, laissant les Légionnaires et les Mercenaires du seigneur de Camlorn effectué une charge à travers l'ennemi. Reldan et Dra'Kalhen ayant déjà infiltré l'ennemi, en trouvant et abattant le soldat rendu invisible par le sortilège de son collier, se retrouvèrent alors secouru par une grande ruée et les fracas. En une dizaine de minutes d'acharnements, la bataille fut renversée, et le commandant du Serpent parvint à s'enfuir, en laissant derrière lui, la mort de ses camarades et l'échec de cet invasion. Ce nouveau plan ambitieux déjà, une victoire depuis ses dernières lourdes difficultés, mais n'étant qu'un pas avant la prochaine bataille se jouant pour la liberté du sud de Champsrepos."
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    18/11/2017
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    "Le 18 Loredas de Sombreciel, fut un jour normalement destiné aux repos des troupes. Les fantassins n'eurent pas de nouvelles missions, que de la surveillance et du traitement des blessures. Les stratèges quant à eux, se bousculaient un peu à savoir ce qu'ils pouvaient bien préparer désormais que le Serpent avait montrer qu'ils ne craignaient définitivement pas les forces Impériales, jusqu'à les attaqués avec la tactique suffisante et les forces déployés pour renversé une position censée sûre. La pression était plus palpable que jadis, et un vent de paranoïa gagna les cœurs, tandis que tous inspectaient les sols, et les environs ,de peur de retrouver un adversaire invisible dans une caisse, ou un tas de foin. Le combat psychologique mené par les actions du Serpent portait au moins ses fruits, et ce n'était pas des troupes totalement alerte qu'ils eurent en face, mais des Légionnaires sont le sommeil restait troubler par l'impression permanente que quelque chose pouvait se mouvoir dans les coins obscures et cachés. Au matin, dans le campement Impérial, alors que tous se sortaient de la torpeur, si ce n'est les troupes de gardes habitués à de tels horaires, un homme arriva totalement alarmé. Il semblait bien pâle, comme si il avait du courir longtemps habité par la peur-panique. Reprenant son souffle, au coin du feu, il apporta sa folle histoire, celle d'avoir découvert au milieu de la forêt lorsqu'il traquait le serf, un amas de cuir de peau noircie et écœurante installée sur une branche. Il n'avait pas attendu alors pour se mettre à hurler et à fuir.

    La destination pour les Impériaux fut donc la forêt de Kelvin, à l'Ouest de la Forêt de Massild, abritant le cœur de la corruption du grand arbre. Inquiet à l'idée que celle ci déborde une nouvelle fois dans les environs, il aurait paru logique qu'une forêt si proche soit victime, si le bois de la petite grenouille avait été aussi maltraitée par des maléfices odieux. Cavalant sur la route Ouest, ils purent voir sur le passage, les nombreuses personnes errantes sur le chemin de Camlorn, pour chercher un peu de sécurité et de repos là où ils auraient au moins une toile de jute pour dormir la nuit. Certains saluèrent les Impériaux, d'autres préféraient s'écarter rapidement dans la crainte d'être victime des nombreux soucis actuels de Champsrepos. Ce n'est qu'en quittant la ville, qu'ils purent profiter d'un voyage entre les deux délimitations des forêts. Le contraste y était poignant, l'une des forêts étant visiblement paisible et automnale, et l'autre tordue, plus sombre qu'elle ne devrait l'être. Ils vinrent alors dans la forêt de Kelvan qui pour une fois, semblait accueillante et gracieuse. Inspectant les environs, et continuant le long du bois en laissant leurs montures derrière à l'orée de celle ci, ils ne purent cependant découvrir grand chose. Les environs n'avaient aucunes traces de quoi que ce soit, et ils se mirent même à tousser, comme si l'atmosphère devenait plus sauvage avec eux. Plus maladif. Malgré tout, ils ne purent en progressant, échapper à la raison de cette toux, et du manque d'informations étranges relatives aux informations de Dra'Kalhen. Ce ne fut que quand Arnornn inspectait un arbre, alors que les Impériaux se disputaient à savoir si le trappeur n'était pas qu'un fou, quand le Sergent ressentit la poigne d'un mort-vivant lui attraper le bras.

    Les créatures étaient d'un silencieux très inquiétant, les ayant encerclés pendant leurs débats et leurs recherches au milieux de la forêt, ils virent sur les carcasses le manque de cuir laissant souvent la chair nue, le spectacle n'était pas à laisser aux yeux de n'importe qui. Le combat éclatant, se débattant pour survivre, tandis que les morts eurent l'initiative de bondir sur les Impériaux en sous-nombre. Arnornn fut encerclé, mais soutenu par Caius Herminius, il parvient à s'en sortir sans dégât sérieux. La jeune recrue Colovienne du subir son premier sang face à des ignobles créatures, et parvient à gagner sa dignité, mais pas le contenu de son estomac qui s'écoula au sol. Dra'Kalhen et Domark durent ployés légèrement quand ils se firent écrasés sous le nombre, et luttant pour survivre en repoussant les entités. Tandis que Vendimus se débrouillait pour se tenir au centre, limitant les assauts, mais pourfendant ses adversaires avant d'être elle même dévorée de tout les côtés. Le combat fut achevé, en laissant des compagnons se redressant au milieu des cadavres, inquiets et agités. Quelques conversations et colères furent audibles, mais ce fut Domark en inspectant qui certains de trace : des morceaux de cuirs et de chairs abandonnés formant une piste qu'ils purent remonté lentement. Affreusement, en arrivant finalement dans un lieu inquiétant. Aux échos d'un chants irréelles et morbides, dans une demeure isolée dans la forêt.

    Ils réfléchirent à un plan, suggérant la présence de l'hérésie nécromantique depuis l'apparition des morts-vivants. Quelques soient leurs projets à l'intérieur, ils l'empêcheraient, et cherchèrent plusieurs plans d'actions. Celui choisit fut de les étouffés, créant une fumée épaisse pour envahir l'intérieur, avec un habile stratagème, qui n'eut pour effet que de faire flamboyer quelques morceaux de chairs à l'intérieur. Les trois nécromanciens, des Brétons en tenue sombre et avec le crâne reconnaissable du Culte du ver sur leurs tuniques, se tenaient au centre au cœur de barrière d'énergie d'un mauve inquiétant. Ils étaient unis, à essayer de charger l'intérieur du clé, tandis qu'ils chantaient encore dans cette langue que personne ne comprenait. Découvrant derrière les chairs des notes gravés contre le mur de cette même langue, dont celles brillantes devenaient étrangement compréhensibles. Traversant les énigmes gravés, les nécromanciens reçurent le contrecoup de la protection, et le sort devient entropique. Toute l'énergie qu'ils ne parvinrent pas à rentrer dans la clé, se déchaîna alors. Les Impériaux eurent le réflexe de sortir rapidement, pour n'être qu’éjectés plus loin en roulant par terre, tandis que les trois nécromanciens furent éparpillés en bouillie sanguinolente. Récupérant la clé, et leurs forces, ils fuyaient rapidement en espérant avoir le temps que le bruit n'attire pas trop de non-vivant possiblement errant. D'autres furent visibles, en nombre, laissant l'horrible doute sur ce point : Il restait au moins un nécromancien dans la Forêt de Kelvin, et visiblement ils souhaitent utiliser une étrange clé, de nature Ayleïde."
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    19/11/2017
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    "Le 19 Sundas de Sombreciel, une mauvaise nouvelle arriva au petit matin. Le froid s'éveilla de nouveau, tandis que furent rediscuter les conditions d’envois des guerriers nordiques des Martellor appartenant à l'Oncle d'Arnornn, vers le Bois de Kelvin. Les formalités étaient toujours simplifiés par la volonté guerrière nordique, mais rendue plus compliquée par les démarches administratives Impériales. Toutefois, n'ayant pas et heureusement, des habituels fauteurs de troubles nichant leurs museaux dans les documents administratifs à tout prix, les Nordiques purent être envoyés pour traquer les non-vivants errants et protéger tout ceux qui passent habituellement par cette route. Ce fut avec plaisir que Vendimus pu se levé au petit matin en sachant qu'elle n’a pas envoyer l'une de ses propres troupes se fait dévorer par des cadavres errants, confiante. Toutefois, la journée évoluait, mais elle faillit s'étranglée en recevant un rapport urgent. Visiblement l'Intendant Davian venait de se faire arrêté le lendemain soir pour meurtre d'une noble dans la citée de Camlorn. Cela parlait possiblement d'exécution, et autres châtiment plus grave, mais un élément aussi important de la Légion, lié au Général lui même, pouvait difficilement être laissé tombé. Cela ne présageait rien de bon pour l'avenir diplomatique de la Légion en Camlorn, si cela restait ainsi. Davian avait-il vraiment fauté ou est-ce un accident ? Ou bien pire, l’œuvre de la cabale ? La question n'était pas de savoir qui avait bien pu agir ainsi, mais comment résoudre le problème.

    Une troupe Impériale se dirigea vers la citée de Camlorn, en habit de citoyens. Aucuns ne voulaient se faire remarquer, et tous n'eurent que des guenilles, ou des habits modestes, pour errer en enquêter. Ce n'était pas une mission où ils seraient habillés avec l'honneur de la Légion. Mais l'une des très, très rares missions où ils partiraient habillés en tenue les faisaient ressembler à n'importes quels quidams lambda. Sur la grand route, ils eurent des regards différents. Avant, il ne s'agissait que des vues sur eux en ayant déjà des idées de massacres, ou de batailles, comme des armes de guerres en mouvement. Mais des regards curieux l'espace d'une ou deux secondes, avant de se désintéressés et de poursuivre leurs routes en regardant le vide, se contentant de regarder ici et là, avec la morosité du monde. Ils poursuivirent un voyage des plus modestes, avec le vent froid de l'Automne glissant contre eux, sans leurs habituelles armures pour les en protégés, laissant certains frissonnants pour les moins habitués. La grande muraille de pierre de la citée étaient visible, aussi impressionnante que la grandeur de Haltevoie, des lueurs de torches, et les drapeaux claquants sur les murs fiers battu par les vents. Arrivant là, ils furent rejoint par un agent du Penitus Sicarius, sinistre personnage en armure sombre et au crâne de mort en acier sur le visage. Les préparant à la mission qu'ils auront à effectués, tous se dispersèrent et tâchèrent de faire de leurs mieux pour découvrir ce qu'il pouvait bien se passer ici.

    Dra'Kalhen et Arnornn partirent pour la taverne. Ils durent converser avec un massif Argonien bloquant l'accès, déclarant que la soirée était réservée au groupe de mercenaire occupant les lieux pour célébrer un anniversaire. Réussissant à rentrer finalement en jouant des morts avec le garde, ils découvrirent un lieu en fête. Arnornn profita pour discuter, et déclencher involontairement une bagarre de taverne, finissant par affronter le Chef de la bande, devant toute la foule, qui se tapaient eux même dessus. Tandis que Dra'Kalhen inspectait les chambres après s'être débarrassée d'un soulard. Marcus et Dereth partirent au cimetière pour découvrir ce qu'il se tramait derrière une histoire de vol de cadavre et de cercueil volant. Arrivant dans la nuit sombre dans le cimetière en inspectant les trous sombres, en voyant un quatrième où il restait encore le cercueil. Ils furent interceptés par le Prêtre qui prière à l'oratoire locale, râlant sur eux et considérant que c'est de leurs fautes, avant de se mettre à panique en tournant en rond quand le cercueil se mit à s'élevé, et se déplaça jusqu'à une pierre illusoire plus loin. Là, où se trouvait un agent de Dremus, l'Altmer cherchant une solution pour rendre Davian innocent. Tandis qu'Amélia, Lyzeria et Caius partirent pour la Guilde des Mages locales, conversant avec les érudits juste devant, et une vieille femme. Décortiquant les mystères et intrigues, et découvrant qu'il s'agissait d'un problème concernant un artefact Dwemer et des disputes concernant l'Altmer, mais ils prirent énormément de temps pour converser, et à l'intérieur ,les lueurs du rituel ayant débuté illuminèrent le sol derrière la grande porte, là où il était temps d'agir.

    Confrontés à l'Altmer légèrement surélevés, Caius allant discuter avec lui perturbant d'un instant sa concentration, les défenses de la Statue qu'il essayait de surcharger s'activèrent. Un souffle s’éveilla, aspirant vers la grande bouche, et deux sphères Dwemer s'extirpèrent des côtés de la statue. Amélia parvint à insérer l'activateur récupéré auprès de la vieille dame, et se trompa de côté dans un premier temps. L'Altmer fut attirer dans la bouche, et broyé brutalement par la sorte de marteau compresseur qui ne cessa de s'acharner sur la moitié supérieur du cadavre. Caius fut sauvé, quand Amélia fini par désactivé la statue, laissant les sphères Dwemer revenir à l'intérieur, en épargnant Lyzeria qu'elles avaient faillit abattre. Arnornn gagna son duel, conversant avec les mercenaires et son nouvel ami nordique, alors que Dra'Kalhen avait intercepté une brétonne en tenue de Daguefilante. Cherchant toutes deux des informations sur les activités des mercenaires, mais qui était le missionnaire, elles purent découvrir bien des documents, profitant de l'arriver du Noble ayant préparer l'assassinat de la dame pour le faire arrêté par la Garde. Et les mercenaires eux, furent recadrés par Arnornn, après une bonne bagarre. Marcus et Dereth se trouvèrent dans une situation plus compliquée encore, devant survivre aux assauts de membres du Thalmor venu massacrer l'agent de Dremus. Les envoyés de l'Inquisitrice Alica n'eurent pas appréciés de savoir qu'un loyaliste de l'Ambassadeur Cirmo empêchait le désordre tant voulu avec une possible exécution de Davian. L'anneau de la promesse récupérée dans le cercueil, permit de faire lumière sur la relation de l'intendant avec la victime. Toutes les preuves, les actions de Davian, purent faire annuler sa peine et le libérer. Mais tandis que les Impériaux rentraient en Champsrepos, laissant derrière eux la belle citée de Camlorn dans une nuit étoilée, le pauvre Davian acheva sa nuit au balcon de son logis. En ayant dans le cœur, la déchirure de la mort de celle qu'il aimait tant à cause d'une cabale meurtrière."
  • Coqualier
    Coqualier
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    21/11/2017
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    "Le 21 Tirdas de Sombreciel, après la réunion à l'Ambassade Impériale. La sécurité de l'intendant Davian était désormais assurée par la Garde locale de Camlorn, et deux agents impériaux empêchant que celui ci soit approché par des agents de l'inquisitrice Aleca. Ailleurs qu'à la guerre, et dans les flammes de la bataille, y avait d'autres combats à menés. Celui sur le plan diplomatique après le Conseil de Hauteroche ayant laissé des questions en suspens, concernant les liens diplomatiques et les tentes. Sa suite avait donc eut un déroulement agréable, auprès de Daguefilante, Croissalant, et la Gloire d'Hallin accompagnée de la Cohorte des Semailles de Reman. Après une soirée de conversation avec un bon repas bien nourrissant, tous se séparèrent, laissant les troupes élites de la IXème Légion aspirer à un confortable repos dans la quiétude de Forge-Gloire et de ses chambres agréable. Se requinquant le moral, ils partirent alors pour retrouver le campement Impériale et subir de nouveau la pression de la guerre et du conflit, bien déterminés à en finir avec l'Ordre du Serpent protecteur afin de sécurisé Champsrepos. La route serait longue, habituelle, traversant Havre-Tempête vers la Glénumbrie pendant une lente et fatigante chevauchée. Au moins pouvaient-ils galopés sans attendre une caravane transformant ce périple en plusieurs jours d'avancées. Mettant de côté les différents aspects de ce que ce « Conseil impérial » offrit comme suite aux relations, actions et déroulements des opérations. Ils restaient envieux de profiter encore d'un peu de sommeil, même dans les conditions plus rude du campement Impérial perdu dans la boue du nord de Champsrepos. Mais la journée ne fut pas aussi simple que ça.

    Voyant au loin les lueurs d'un ciel ardent, comme si du gris s'échappait finalement les couleurs chaudes éloignant le froid et la morosité. Mais ce n'était pas pour décrire une scène de joie ou de rire, le long du voyage, ils eurent prit décision de ne pas esquiver ce qui ressemblait à des problèmes en perspective. Chevauchant malgré quelques tensions dans le groupe quant à ce qui leur semblait comme une maudite malchance, ils arrivèrent dans un coin isolé sur la route de Koegling vers le nord nommé le Bourg-du-pain. Le lieu était en flamme, des crépitements furieux de masures et de champs brûlés, alors que des silhouettes fugitives erraient ici et là, combattues par les braves Brétons protégeant la population avec courage et efficacité. Mais cela avait du mal à contenir la violence de ce qu'il s'était passé ici. Les Légionnaires Dra'Kalhen, Caüs et Caius, ainsi que le porte-épée Mhelk et la Praetorian Impériale arrivèrent auprès de la Guilde des mages et des guerriers, du moins leurs représentants. Ils étaient six, discutant avec le Mestre local et quelques soldats surveillants ce qu'ils avaient mit sous scellés du mieux possible : Un portail. Celui ci ondoyait tranquillement, d'un rouge vif effrayant, comme du feu liquide. D'après les informations, un certains Ithilien Lark avait profité du Jour d'invocation du Seigneur de la destruction, pour exigé une rencontre sur ses terres. Laissant derrière lui, sauvagerie et dévastation. L'ancienne équipe n'ayant jamais pu ressortir de là, ce fut la troupe Impériale qui se constitua volontaire pour protéger Bourg-du-pain.

    Le passage du portail fut très désagréable, deux légionnaires vomissant à l'arrivée d'emblée. Ce voyage devait être très rapide, un objectif simple dans les faits : Récupérer la pierre sigillaire responsable, et s'enfuir pour qu'elle soit détruite par la Guilde des Mages et se débarrasser de l'ouverture sinistre. Le lieu respirait la malveillance, une sorte d'antique temple en cendre, se mariant aux effets sinistres des meubles et vases daedriques. Tout était si différent, si peu commun, respirant de la volonté de détruire. Il ne s'agissait pas de regarder trop longtemps les effigies pour ne pas avoir mal aux yeux et à la tête. Ils se contentèrent alors de courir à travers les couloirs pour atteindre la bonne destination, trouvant les corps dévastés, calcinés, lacérés des membres de la première expédition des Guildes sur la route. Arrivant au site d'Ithilien, dépassé par sa propre magie et ses supplications, la pierre sigillaire flottant lentement devant lui, les Impériaux n'eurent le temps de réfléchir. Ils durent combattre pour survivre, face aux deux Atronach de feu ayant apparut sur leurs flancs. Un affrontement difficile, envoyant dans l'inconscience le Légionnaire Caüs et blessant légèrement Vendimus. Débarrassés des créatures après un combat acharnés, ils purent s’intéresser à la pierre. Mais avant de s'en emparer, la voix grondante du maître des lieux résonna : La vie d'Ithilien, contre la liberté et une petite récompense. Après conversation nerveuse, Ithilien mourut des armes de Dra'Kalhen, avant que Mhelk n'en porte de lui même la responsabilité.

    Amusé par l’obéissance à son ordre, il offrit Yskvim, et le Dremora s'incarna sur la route des Impériaux voulant fuir avec la pierre. Autours d'eux, tout ne devenant que flamme, mais pour le Prince de la Destruction, même gagner sa récompense devait se faire dans le combat et le ravage. Celui ci livra une forte résistance, ayant blessé Dra'Kalhen, faillit décapité Caïus, mais fut vaincu par les efforts et une flèche en argent dans la tête, à travers les trous de son casque. Le laissant disparaître étrangement, dans une fumée sombre, seule sa masse de guerre resta au sol. Mhelk la récupérant, pour que Vendimus la transporte en jugeant plus tard de son utilité, il était avant tout crucial de sortir de là. Fuyant rapidement les flammes s’emparant en multiples explosions, le dit temple. Ils purent prendre rapidement en reprenant le chemin, marchant sur le pauvre galopin ayant cru avoir le temps de préparer un piège plus malin que ça, finissant sous les bottes en métal. Ils revinrent avec la même expérience désagréable et folle vers Nirn, offrant la Pierre sigillaire pour la laisser être détruite. Le portail de Bourg-du-pain disparut grâce aux mages de la Guilde, tandis que les guerriers restant s'occupaient d'abattre ce qui avait encore pu en sortir. Tristement habitués depuis la Coalescence des mondes à ce genre d'exercices. Finalement, épuisés, les Impériaux purent poursuivre et achever leur route, repensant sans cette au traumatisme que certains auront vécu. De nombreux cauchemars, de nouveaux songes obscures, aux rires moqueurs du Prince jouissant de son Jour d'invocation. Parait-il d'ailleurs, que le prochain serait voué à Molag-Bal, le mois suivant..."
  • Coqualier
    Coqualier
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    La IXème Légion cesse sa pause et reprend le RP à partir du 06/02/2018 !

    Après deux mois d'activité extérieur, la "pause curative" à été cessé. Nous reprenons dès lors nos aventures, et les péripéties de la IXème Légion ! Ainsi, nous avons de nouveau projet et escomptons reprendre le même type de JDR-Militaire intègre avec une triple-trame sur une région souvent fictive dans les grandes zones. La IXème Légion reste cette légion liée à la Colovie secessionnaire, n'ayant plus que les valeurs d'un Empire disparut à soulevé à bout de bras, croyant en Reman Cyrodiil, et défenseur des valeurs de Varen Aquilarios.

    Si celle ci possède toujours son ambassade à Fier-croyant, en Havre-Tempête, dans les terres de Hauteroche, elle reste sous contrôle de la Vème Cohorte, mais les forces vives sont retirés dans la Colovie. Notre prochaine trame se trouvera dans la zone fictive de Rawl'Mriss, un village d'Elsweyr hors du Domaine Aldmeri, aux abords de l’extrême est de la bordure colovienne.
    Les contextes seront bientôt installés sur notre forum !
    http://9emelegionimperiale.guildjdr.com/

    A bientôt IG, ou sur le forum de la IXème - Nous tiendrons informés des évolutions de nos futures campagnes !

    PS : La IXème aura une courte pause supplémentaire du 18 au 25 Février, nous sommes en vacances IRL (pour le groupe de GM) nous lancerons du RP avant, mais il risque d'être bien plus actif après ! ;)
    Carte de la future zone utilisée de Rawl'Mriss.
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  • Coqualier
    Coqualier
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    06/02/2018
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    "Le 06 Tirdas de Clairciel, la Praetorian discutait devant la demeure des officiers du camp de guerre Javius. Le sentiment d'être en Colovie lui revenait chaque matin comme un plaisir agréable après une année entière en Hauteroche. Le campement avait l'air à son regard, plutôt convenablement bien entretenu, mais elle se fascinait toujours de voir à quel point des soldats peuvent mettre un désordre aussi organisé. Des myriades d'hommes et des femmes se perdant, se retrouvant, déplaçant du matériel, et d'une manière parfaitement incompréhension, accomplissaient les tâches du jour qui leurs étaient dévolues. En compagnie du Légionnaire Bonus et du Centurion Cyress, elle avait convenue de l'occupation du jour. Au lieu de rester des nuits durant devant des cartes militaires, pour prévoir et réfléchir aux conditions tactiques, ils iraient enquêté sur cette étrange affaire concernant l'intendant Myerus et cette caravane disparue. Une pointe d'inquiétude venait régulièrement lui titiller l'esprit en lui faisant comprendre intérieurement que ce n'est peut-être pas aussi simple que ça. Accompagnée de ses deux camarades, elle prit sur elle de marcher le long du camp de guerre dans son armure scintillante d'or, reflétant son rang et son statut. Et c'est à travers le campement, qu'ils se dirigèrent vers le lieu où se réunissent les intendants impériaux dans les vestiges d'une vielle tour de pierre brisée.

    « Le retour de Javius », était le nom du camp de guerre nommée au l'honneur du Général Javius de la XIème Légion après son retrait des forces loyalistes de l'Impératrice Clivia Tharn. Le lieu servait de relais efficace sur ce terrain vague, de nombreuses bâtisses et tentes installés sur des planches de bois couverts de fourrures et de tapis pour leurs apporter un confort relatif à des longues périodes de présence. Le coin des intendants restait relativement simple, si l'on omet les grognements et activités incessante des scribes et hommes de lettres occupés à revoir des notes de comptes et des ouvrages de factures diverses. Le Maitre-Intendant Olgur fit la conversation en exprimant ses doutes et ses craintes vis à vis Myerus : Il était mal vu, comme un intendant peu consciencieux et raté, et n'avait surtout pas cherché à justifié l'absence de la caravane en ne cessant de promettre qu'elle arriverait tôt ou tard. Ses efforts furent d'essayer de mettre en relation le passage de la caravane et celui d'une patrouille du Sergent Crucio, et le groupe put demandé l'emplacement de la tente vide de l'intendant disparut. Ce fut premièrement dans cette direction qu'ils débutèrent l'enquête qui leur semblait de plus en plus suspecte, à mesure qu'ils prirent conscience que tout avait été accomplit bien à la hâte. Pour n'être qu'une simple coïncidence. Rejoints par Dra'Kalhen, la Khajiit et Bonus inspectèrent les environs, tandis que de son côté, Reldan inspectait la tente sous le regard de Vendimus. Il y avait quelque chose qui sentait mauvais. Littéralement.

    Envoyant paitre la gamelle de nourriture puante abandonnée sur un coin de table, non loin de l'étagère et des ouvrages, le Centurion inspecta le tout de fond en comble, découvrant une étrange note dans la poche du pantalon oublié sur le lit. Il y été griffonné à la hâte « Sang-bleu » avec du fusain gras, et abandonné dans une couture. Si les livres n'avaient rien d’intéressant, la hachette caché dessous représentait une possibilité bien différente, vue des copeaux de bois éparpillé dessus. Découvrant le sol en soutirant le tapis, et le meuble, il y vit clairement la différence. Quelqu'un avait fait un renfoncement dans la tente, et avait déjà voulu rebouché le trou, en ayant retirer son contenu. C'est Bonus et Dra'Kalhen qui découvrirent l'éclaireur somnolant non loin de là, qui s'était rendu compte que quelqu'un creusait par ici avant d'être interrompu. Six trou avaient été creusés, et ils mirent à contribution le jeune glandouilleur pour essayer de retrouver un potentiel coffret dont Reldan avait découvert le fragment sous la tente. Celui ci fut récupéré, mais sans faire attention, Dra'Kalhen essaya de l'ouvrir et fut percée par une aiguille empoisonnée à la cuisse. Tandis que Vendimus faisait usage de son expertise dans la purification, soutirant une partie de sa magicka pour fournir ce soin, Reldan fit éclaté brusquement la serrure, et dévoilant l'intérieur. Des dizaines, et dizaines de pièces d'or, avec une note : « Merci pour votre contribution. » La culpabilité de Myerus devenait de plus en plus visible, tout comme une promesse certaine d'un avenir incertain si il était retrouvé. Confiant la fortune à Olgur pour les caisses de la Légion, ils partirent à la rencontre du Sergent Crucio après avoir perdu du temps pour retrouver le coffret. Ce qui serait malheureusement fatal.

    Suivant la piste après une courte conversation, d'un cabanon de chasseur à l'extérieur, Crucio avait envoyé deux légionnaires retrouver l'assistant de Myerus, un certains Edouard. Le gamin Bréton vivait avec son père, Joseph Malbruit, s'occupant de la chasse dans les environs du campement. Fonçant dans la direction du cabanon, quand ils firent le constat que celui ci était en feu, ils eurent de la chance de ne pas marcher sur un collet qui leur aurait brouillé les jambes, alors que Dra'Kalhen s'esquivait dans les recoins plus profonds du bois. Celle ci du affronter le Chasseur affolé qui ne reconnaissait plus rien, parvenant à le maîtrisé sans lui faire – trop de – mal. Sa folie était compréhensible, de ce que les autres eurent découvert : Les deux légionnaires envoyés gisaient devant le cabanon, inconscient après avoir reçu des sacrés coups dans le casque, les ayant sûrement sauvés. L'intérieur brûlait, et Reldan fit usage de ses talents dans les arts akavirois, pour empêcher les flammes de les dévorés le temps de rentrer rapidement à l'intérieur ; Edouard Malbruit y était embroché par un glaive, contre la chaise où il mangeait tranquillement avant d'être attaqué brusquement par ce qui fut décrit plus tard comme un massif nordique dans une armure Impériale, accompagnant une sombre silhouette. Ils n'avaient pas prit le temps de fuir en effaçant tout traces possible, dans la hâte d'évité la confrontation, ce qui permit la récupération du parchemin écrit par Edouard. Conscient de ce qu'il allait se passer en changeant l'horaire du départ de la caravane des fermes d'Osvuld, laissant deux pistes pour découvrir ce qu'il pouvait bien se passé. Enquêté dans les fermes, ou poursuivre la recherche de l'emblème découvert dans le coffre enterré : Un casque avec deux épée qui se croisent."
  • Coqualier
    Coqualier
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    07/02/2018
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    "Le 07 Middas de Clairciel, les forces Impériales décidèrent de l'importance de leurs prochaines actions, après quelques reflexions quant aux deux possibilités découvertes, il était clair que la plus éphémère resterait la piste découvert sur le « lit de mort » du petit Edouard Malbruit. Il avait été promit à son père que sa mort ne serait pas vaine, et servirait l’intérêt Impérial en l'honneur de sa mémoire, même si il était resté aussi troublé et affecté par cette vérité, ils iraient faire l'usage de ses informations pour mettre la main sur les collaborateurs qui auraient pu provoquer la disparition de la caravane. Les fermes d'Osvuld, propriété d'un vieux nordique du même nom, s'étendait au sud d'un vieux fort brisé pendant la guerre de Cyrodiil. Celui ci ayant été détruit par l'intervention d'une force expéditionnaire de Coeurébène pour empêcher un rituel du culte du ver, ce n'était plus désormais qu'un tas de ruine abandonné depuis, comme de nombreux lieux dans les environs. Aucune reconstruction n'était à prévoir, tant que la pression d'une lente guerre restait palpable en Cyrodiil, même loin du Cœur de l'Empire. C'est donc vers un humble tas de terre servant de cultures que Caüs Bonus, Vendimus Valérius, le Conseillé Domharil et Dra'Kalhen arrivèrent pour l'inspection nécessaire.

    Un endroit commun pour une terre en déclin – Boueux, aux odeurs variés allant de la mauvaise à très, très mauvaise, parofis comblée par la bonne nourriture dont les vapeurs s'échappaient des marmites amoureusement utilisées par la cuisinière grassouillette qui passait d'un pot à l'autre. Lenors s'occupa sous le regard de Vendimus, du cheval blessé en supportant la conversation de deux imbéciles qui ne cessait de se remettre la faute l'un sur l'autre. En inspectant la plaie, Lenors comprit aisément que la bête avait été frappé de sorte à ce qu'elle ne puisse pas déplacer les charges lourdes habituelles, avec un coup prémédité. Guérissant le Cheval, sans chercher dans l'heure d'autres indices, il retrouva Caüs qui avait découvert que les enfants pensaient le moulin hanté, ce qui était le même résultat pour Dra'Kalhen qui revenait d'une conversation avec le vieux Osvuld qui craignait que l'on l'accuse encore d'être dans son tord. Ils avaient dès lors le choix de partir vers l'intérieur du soit-disant moulin hanté, ou mené l'enquête des animaux tués, et ce fut le Moulin qui fut choisit. Peu convaincu qu'il puisse réellement y avoir d'esprit frappeur, mais plutôt de quelqu'un se cachant des autres. La question étant : Petit plaisantin, ou véritable problème ?

    Dra'Kalhen inspectait les environs, pendant que les autres bravaient les difficultés du l'intérieur du moulin. Elle constata une échelle étalée par terre, à l'arrière du moulin, non loin d'un petit cabanon pas loin du poulailler. Discutant avec deux fermiers en demandant ce qu'il s'y trouvait, elle découvrit en y allant qu'ils ne lui avaient pas mentit : Un jeune homme du nom de Derrick était étalé sur le foin, ayant l'air saoul. Quittant l'endroit en grognant, elle constata un instant plus tard que Derrick était en train de s'enfuir en fonçant le plus vite possible loin d'ici. La course-poursuite débuta, et elle ignora avec un déplacement rapide les deux ruffians sortant de leurs cachettes sur la route, qui eux furent alertés par autre chose. Dans le moulin, Caüs, Lenors et Vendimus durent subir les nombreux pièges de fortunes laissé par celui habitant ici même. Déjouant les cordages, et passant outre les difficultés, ils parvinrent à monté à l'étage, où de nombreux bruit ressemblant aux descriptions des enfants firent surface – bruits de grincements, et de pierre frottée. Lenors souleva en usage de sa magie, la caisse dans laquelle se trouvait Adinius, l'un des fermiers censé disparut avec la caravane. Après une conversation simple, ils découvrirent que la caravane avait été pillée par ce même nordique qui avait exécuté Edouard, ayant mené des troupes impériales pour voler la caravane et tué ceux qui s'en occupaient. Il en était le seul survivant. Sortant du moulin, l'un des fermiers reconnu Adinius qui s'était caché depuis tout se temps. Et les deux ruffians à l'entente de ce cri, rappliquèrent aussi-tôt.

    Déjouant leurs attentes, la pression montait de plus en plus, quand les deux hommes en-capés tentèrent une approche sympathique envers Vendimus et Lenors, peu conscient de leurs natures. Un homme discutait avec Osvuld pour lui fournir un cheval de remplacement à celui blessé à la patte, que Lenors avait guérit. Ressentant la situation lui échappant, essayant de faire changer de moment le passage de la caravane, il prit soin d'essayer de s'échapper avant qu'un éclair ne s'écrase devant le cheval voulant fuir. Vendimus et Lenors furent trop occupés à défendre Adinius des deux ruffians, dans une ferme totalement paniquée après l'usage de la magie qui fit éclaté des hurlements de peur ici et là. Le temps que la monture s'apaise, Dra'Kalhen était là, qui revenait en traînant Derrick qui était presque parvenu à s'enfuir, et il le fit finalement : La Khajiit s'occupant du fuyard, laissa involontairement Derrick partir rapidement pour s'échapper à elle. Mais elle avait un prisonnier qui avait peut-être plus de valeur que l'ancien, désormais. Soignant la main lacérée par la lame de Dra'Kalhen quand le fuyard voulait se défendre, les corps des deux ruffians furent laissés aux patrouilles impériales pour les mettre sous terres. Les locaux se demandant si ils devaient craindre maintenant les Impériaux, ou si ils venaient d'être protégé de quelque chose. Les forces de la IXème Légion quittèrent les fermes avec le prisonnier et le survivant. Conscients qu'ils avaient peut-être enfin une piste pour retrouver la caravane perdue, ou du moins ce qu'il en reste."
  • Coqualier
    Coqualier
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    08/02/2018
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    "Le 08 Turdas de Clairciel, les informations du prisonnier se recoupait aux dires du fermier Adinius. L'un précisait l'emplacement de l'attaque, et la vague direction de la caravane, tandis que l'autre avait fini par admettre dans quel direction ils devaient faire parvenir les ressources supplémentaires. Tout s'accordait vers un sens : Une vieille mine abandonnée pour des raisons oubliées depuis longtemps, dans des hauteurs rocheuses, plus loin dans l'Ouest. Bien que peu envieux de subir une nouvelle expédition souterraine, les Impériaux partirent en groupe restreint – Vendimus Valérius, Reldan Cyress, Khtar et Tyzérias menèrent l'enquête et potentiellement l'éradication des brigands locaux. C'est donc sous le regard des troupes, que les quatre camarades partirent sur leurs montures – à l’exception de Khtar qui avançait à pieds, peu habituée aux chevaux, l'Ohme préférait grimper sur le dos de ses camarades Senches. Se glissant à l'extérieur du camp de guerre Javius, sous un soleil bienvenue en cette période de froid, l'Hiver étant là, ils quittèrent la route en commençant à avancer dans une de ses grandes étendues d'herbes et de fleurs de Cyrodiil. Peu conscient de ce qui les attendait, vers les mines abandonnées, mais envieux de découvrir quels réponses ils pourraient découvrir là-bas. Sur la route, ils virent qu'un Ours brun observait la direction des dites mines, effrayée par celle ci, et ne semblant pas s'attaquer aux Impériaux sur l'instant. De plus en plus, l’inquiétude montait : Étaient-ils suffisamment nombreux pour faire peur à cette bête ?

    Arrivant à la Mine finalement, après une heure et demi de route, ils découvrirent celles ci à flanc d'une hauteur rocheuse plutôt grande, mais loin de ce qu'ils avaient pu admirer en Hauteroche. La mine n'était qu'un amas de débris de bois tenant miraculeusement, et l'une des caisses de ravitaillement était étalée par terre avec plusieurs des objets volés dispersés autours. L'idée fut d'attendre que les brigands arrivent, pour récupérer le reste des matériaux par terre qui avait commencé à être débarrassés. Ce fut dès lors une heure et vingt minutes d'un ennui plat, ils durent s'occuper de leurs factions d'une manière la plus discrète possible, alors que ce fut Khtar qui dût se traîner par terre en position avancée et camouflée pour préparer l'embuscade. Trois des brigands sortaient en discutaillant, venant ramasser le tout, et firent face à un imprévu : Neige n'avait rien écouté, la petite louve blanche se traînait sur la route, et les observait bêtement. Deux des brigands eurent l'envie d'essayer de l'attraper, pendant que le dernier râlait de devoir tout faire seul. Le pauvre passage une vraiment mauvaise journée, quand une flèche sifflante se planta dans son dos en se relevant brusquement. La hache de Tyzérias lui fendit le crâne brusquement, lui ouvrant celui ci avec violence. Vendimus et Reldan se ruèrent contre les deux poursuivant Neige. Si la Praetorian parvint à mettre à terre son adversaire, Reldan du poursuivre le siens qui fonçait essayer de sonner l'alarme : S'écrasant sur Tyzérias, qui voulait saboter la clochette, le Dunmer s'écrasant dessus en arrière, donnant un amusant enchevêtrement de trois personnes étalés au sol. Le temps de les attachés, ils furent interrogés rapidement sur le contenu de la mine : Des pièges étrangement activés, une vingtaine de mercenaires locaux, et certains ayant disparut. Laissant ses deux là au sol, ils prirent soin de se mettre en route pour explorer cette cavité rocheuse leur réservant bien des surprises.

    Esquivant le piège de l'alarme à l'entrée de la mine, grâce à l'Ohme, ils descendirent lentement en faisant bien attention à observer chaque nuances rocheuses ou quoi que ce soit de suspect, mais le brigand avait raison : la quasi-totalité des pièges avaient déjà été activés. Arrivant à une intersection, ils durent faire le choix entre un passage qui semblait avoir un brin de civilisation et de vécu de ce côté, et l'autre ressemblant à une excavation creusant derrière un mur brisé par une masse, où s'y trouve quelques gémissements à l'intérieur ressemblant pour Tyzérias aux crins de potentiels oursins. Le nordique déclara qu'il souhaitait les rendre à sa génitrice, quoi qu'il s'y trouve, et les Impériaux, curieux de ce qu'il pouvait bien s'y trouver, suivirent. Après un long voyage des les dédales rocheux et les cavités de pierres bien différentes du reste de la mine. Définitivement, l'endroit avoir été creusé depuis bien plus longtemps encore, et après une longue et inquiétante investigation, les compagnons rebroussèrent chemin. Découvrant en que les gémissements s'éteignaient plus proche d'un recoin particulier, c'est Khtar qui découvrit les oursons sous une tente. Avec Derrick, le fermier vendu ahurit s'y cachait en essayant de les faire taire dès que quelqu'un approchait, et ce à raison : Les Impériaux furent attaqués par un Troll, errant dans les couloirs découvert dans la mine. Luttant avec efficacité, et les flammes d'une lanterne, la bête put être vaincue sans trop de dégât, par les habituels vétérans. Mais les rugissements d'un bout à l'autre signalait le cœur du problème, et la venue des autres trolls.

    Fuyant à travers les couloirs pour partir au plus vite, s'éloignant de la source des hurlements résonnant derrière eux. Suivant le mauvais couloir, ils débouchèrent sur l'accès au campement des mercenaires survivants dirigés par ce « Rit-deux-fois ». L'Argonien avait été naturellement alerté par les braillements, et les brigands tirèrent leurs armes pour faire face à ce qui pouvait les attendre. Les rumeurs étaient nombreuses, concernant les grondements dans la pierre, et les pas lourd contre le sol, mais ils ne pouvaient pas imaginer tomber sur des trolls des cavernes leur fonçant dessus pour préparer un véritable massacre. La mission de récupération d'information concrète était un échec, les documents ne pouvaient plus être récupérés, ni même les éléments importants qui seraient bientôt tous morts, face à une telle déferlante de folie. Les Impériaux n'avaient plus qu'une chose à faire : Sortir de leur cachette, et fuir. Fuir pour survivre. Ils prirent le chemin inverse des bêtes odieuses, et tâchèrent de retrouver le chemin qu'ils usèrent pour arriver dans le terrier des trolls. Fonçant à toute allure, malgré leurs quelques blessures, le croisement n'était plus aussi calme qu'avant : Deux des mercenaires avaient tentés de fuir l'ignoble sentence et furent attrapé par un troll installé là. L'un se faisait dévorer lentement, tandis que l'autre gisait avec une jambe cassée. Brisant le barrage, en assaillant la bête, Vendimus fut sérieusement blessée, et Reldan secoué, mais ils purent ouvrir la voie pour Khtar guidant Derrick et les Oursons dans ses bras, tandis que la bête fut mise à mort en usant d'une grande partie de la Magicka de la Praetorian. Quittant la Mine avec Derrick, un brigand à la jambe cassé, et les bêtes sauvées, Khtar fit tombé une lame enflammant le sol à la sortie pour s'offrir le temps nécessaire à la récupération des chevaux, et à la fuite rapide. Sous le regard des trois trolls des cavernes hurlants vers leurs directions. Il ne restait qu'une destination aux Impériaux désormais, après le repos nécessaire pour s'en remettre : Les ruines envahies par les brigands."
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