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[Neutre] La IXème Légion Impériale. [RP strict/DarkFantasy]

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    16/09/2017
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    "Dans la journée du 16 Loredas de Âtrefeu, les Impériaux ne furent pas visiblement de retour sur le front. Un message parvint au petit matin pendant que tout le monde savourait un repas au réveil, que le mage des compagnons du savoir, "Ithilien" à été prit d'un souvenir parlant des maîtres de la compagnie. Évoquant l'étrange artefact ayant permit de récupérer les grimoires permettant d'ouvrir l'accès vers la prison noyée du Dévoreur du Sous-savoir. Dans l'urgence de l'information, et nerveux à ce sujet depuis l'envoie du groupe dans la grotte du nord et le traumatisme ayant engendré l'histoire d'héroïsme du Légionnaire Learchus, ils firent route vers l'Ouest plutôt que l'Est alors que l'après midi était déjà bien entamée. Une nouvelle fois, la troupe du Sergent D'irshte ainsi que le Légionnaire Sand suivirent la Praetorian et le Conseillé Lenors dans la boue et la légère pluie tombant de ce ciel capricieux.

    Deux heures de route furent nécessaire à la petite troupe pour atteindre le lieux annoncé par Ithilien. Et pas n'importe lequel, puisqu'il s'agissait du Dolmen de Noiraugure, ayant jadis été activé par le Culte du Ver lors de la crise de la coalescence des mondes. L'endroit transpirait d'une présence ancienne, comme si il portait les mystères de vies dépassés par les époques. Tous furent impressionnés par les anciennes arches certainement débout depuis l'époque où les Ayleïdes régnaient en maître de tels terres. Les lierres encerclant les architectures en ruines, et donnant un ton poétique à ce lieu touché par les derniers rayons du soleil. Deux mages de la Guilde furent trouvé ici, visiblement en quête d'une tâche confiée par leurs mentors. C'est ainsi sous escorte des Impériaux, qu'ils purent pénétré dans cet endroit antique. Sans savoir que l'un d'eux allait causer bien du tord.

    Le mystère ne s'arrêta pas à une impression. De nombreux enchantements firent effets le long de la progression, réclamant la connaissance de divers énigmes traitant du passé, tout en étant poursuivit par se froid montant. Et les étranges spectres serpentins se rapprochant des Légionnaires pendant la route. Il fallait trouver les réponses aux énigmes rapidement, ou prendre le risque d'être congelés par le gel mordant. Le monde devint plus sombre, plus froid, et la pluie qui jadis s'écoulait était devenue une neige tourbillonnante se collante aux armures glacés. Ce n'est qu'après une longue et difficile route bordée d'épreuves, qu'ils parvinrent au Dolmen. L'esprit d'Urolf, ancien compagnon du savoir, se permit de félicité les Impériaux en leur donnant les derniers indices pour parvenir à la boussole. Mais alors qu'ils réussirent l'ultime test, et qu'ils eurent l'accès à la récompense promise. Le Bréton de la Guilde des Mages trahit.

    Prétendant pouvoir faire venir une Ancre-noire grâce à la boussole, ce fut un lamentable échec. La Forge-noire d'Havre-glace détruite, le misérable cultiste rechuta au sol en n'ayant qu'activé les enchantements de défenses de la sphère. L'Atronach de glace, immense et terrible, prit forme autours de l'artefact. Ce ne fut que grâce aux efforts conjoints que l'entité fut vaincu, au prix de la vie de deux Légionnaires affreusement massacrés par une telle créature. Le cultiste rendu à la guilde des mages, sous la surveillance d'Endhoryl pour punir la trahison. Les Impériaux purent rentré avec l'artefact : Une étrange boussole, qui les mènerait vers les derniers livres scellant la cage noyée qui ne doit jamais s'ouvrir."
    Edited by Coqualier on 17 septembre 2017 12:38
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    17/09/2017
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    "Une longue route attendait les Impériaux s'extirpant du campement de guerre. Ce 17 Sundas de Âtrefeu, la matinée fut gênée par quelques conflits dans le nord et le sud du front. Rien qui ne fut insurmontable, mais les gobelins s'usèrent à essayer de faire passer plusieurs petits objets dans les barricades et les tentes. Des sortes de minuscules totems, qui furent bien vite brûlés par superstition. Et des excavateurs gobelins tentèrent de miner les environs de la mine effondrée, avant de recevoir plusieurs fois des assauts d'éclaireurs Impériaux embusqués. La morosité de la guerre, sans que les plans n'avancent pour défaire les hordes gobelines. Malgré tout, la Praetorian et plusieurs légionnaires s'extirpèrent tout de même du campement pour se mettre en route vers le sud-ouest, en direction de la mer.

    C'est dans un petit village qu'ils arrivèrent, avant que la nuit ne s'installe. Une bonne ambiance régissait l'endroit, alors que quelques femmes dans des tenues exotiques et peu ouverte dansaient sous le regard de celle qui s'occupait visiblement d'elles, et ce pour des Mercenaires particulièrement nombreux. Ils étaient dans la taverne, dans les boutiques d'armes, et surtout au niveau de la grand place en train de rire et festoyer. En cela, malgré les rumeurs anti-impériaux trainant dans les échos des bas-fonds locaux, ils ne firent pas signe d'agression envers la petite troupe qui s'éloigna rapidement des lieux de fêtes pour arriver sur les quais. Quelques instants plus tard, ils partirent après une conversation avec le Maitre du Quai, un bréton désagréable qui partit brailler sur un docker plus loin. Au final, il ne restait que les Légionnaires les ayant accompagné, restant en compagnie d'une Khajiit grignotant une pâtisserie. Le Maitre du Quai ne revint finalement pas.

    Ce n'est que plus tard, qu'ils furent aperçu sortant de l’entrepôt en compagnie d'un des nobles de passage, un gros personnage au triple menton qui avait l'air ivre mort. Mais tout les mercenaires étaient trop occupés à profité de la beuverie offerte par un pêcheur ayant eut une bonne fortune sur l'instant. Les Impériaux partirent en cavalant, laissant derrière eux pour une fois un village toujours en fête et joyeux. Bien que certains s'interrogent sur la grande caisse que la troupe de Légionnaires avait fini par déplacé pour la mener rapidement vers le campement militaire. Sur l'instant, ce n'était pas la préoccupation de quiconque, puisqu'au petit matin il y eu une découverte bien plus troublante.

    Kevan, l'herboriste sympathique, fut retrouvé par des pêcheurs sur la côte. Une grave blessure au torse indiquant qu'il à été tué, et d'autres coups qu'il s'agissait surement d'un combat. Mais Kevan, ce type sympathique, ce curieux personnage, n'était pas en habit commun. Les vêtements étaient les habits reconnaissables de ce groupe de personnes sinistres ayant été entendu dans le nord et ayant provoqués bien des problèmes alors qu'ils furent confrontés aux Impériaux qui firent de leurs mieux pour les empêchés de menés à bien des objectifs radicaux. Kevan flottait le long de l'eau, habillé dans la tunique des Limiers noirs."


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    18/09/2017
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    "Dans la journée du 18 Morndas de Âtrefeu, les Impériaux revinrent couverts de boues, de sang, et d'écorchures. Ils venaient de revenir au campement, deux fois moins nombreux qu'à la venue. Et avec le morne sentiment d'avoir échoués quelques parts. Tous étaient blafard, et certains se laissaient aller à user de leurs rations de bières et de quelques victuailles. Les aides de camps leurs offrirent quelques rations de qualités supérieurs, pour se remettre de ce qu'il venait de se dérouler, et les lanciers Dunmers rentrèrent dans leur coin, l'un manquant à l'appel, ce qui reste très rare pour la troupe élite suivant Lurhan. Visiblement, la mission ne s'étant pas déroulée comme prévue, les Impériaux subir un revers et furent obligés de fuir, dans une défaite sanglante et couteuse pour échapper à l'éradication sur le champ de bataille. Tel reste les aléas de la guerre, lorsque les choses tournent mal.

    C'était dans le début d'après midi, que la troupe du Sergent Kavedius, et les guerriers de Lurhan en compagnie de la Praetorian et d'un agent impérial furent en route vers le sud du front. En direction du Totem putride gobelin. Trouver des informations restait la clé de joute, et désormais que le nord ne restait qu'un champ de ruine avant les postes arrières des créatures adverses, il s'agissait de comprendre quel projet pouvait bien être préparé derrière cet accumulation de déchet le sud-est. Comme si la terre rendait ses derniers souffles de vies. La boue spongieuse, remplie d'eau par une pluie gênante ayant fait subir une route désagréable et rendu la toux et les éternuements cachés comme ils pouvaient aux Légionnaires . Ce fut aux abords du territoire gobelin qu'ils virent tout ce qui pouvait être observer : Une tente étrange, des sacs rapportés à l'intérieur. Des mineurs se préparant à partir pour le totem, autours d'un contremaitre Orque. Et des cages, qui étaient loin d'être vides.

    Le plan était simple - Partir pour la tente, récupérer les informations, délivrer les prisonniers, et revenir au plus vite avant d'être débordés par les rassemblements gobelins. Et quel épreuve, les environs puants d'une odeur rentrant à même l'esprit pour le dévorer et lui faire subir les plus caprices de l'estomac, deux légionnaires vomirent quand il fallut venir jusque là-bas dans l'urgence, car ce lieu était comme une fausse aux rejets gastriques, et encore plus sale. Les troupes se préparaient pour la sortie, mais un imprévu eu lieu : Un gobelin ne fut pas happé par l'intervention rapide des quatre Impériaux en avant, et il quitta le combat pour aller prévenir le campement. Sous le manquement d'un seul gobelin suite à une faute, tout les autres se rassemblèrent, prévenu de la menace qui venait, et sonnèrent le cor de guerre. Les Orques réagirent promptement, et un conflit débuta entre les Impériaux et les Gobelins dans un sous-nombre évident. Essayant de reculer, alors que Lurhan s'extirpa de la tente avec un chaman inconscient et une immonde peau humaine rapiécée, tout le monde annonça la fuite, mais elle fut plus difficile que prévue.

    Les flèches tombaient de plus en plus, à mesure que les hauteurs furent infestés de gobelins. La formation fut brisée, trop lente, pour tenté le tout pour le tout : Alors que la Praetorian fit venir la foudre, et que le Khajiit était visiblement en train de livré un baroud d'honneur au milieu des bêtes pour en retenir une poignée, les Impériaux partirent rapidement, poursuivit par les tirs et les gobelins. Vingt minutes de courses poursuites dans la boue et les restes des champs de batailles, avant de pouvoir s'extirper de là. Cinq Impériaux massacrés dans le mouvement, ainsi qu'un Lancier. Leurs cadavres abandonnés derrière, et trainés pour rejoindre le Totem putride. Bien qu'ils revinrent et interrogèrent un sacré moment le Chaman avant qu'il ne périsse pendant l’interrogatoire. Ils eurent de nombreuses questions : Qu'est-donc le Vrai-corps incarnant le Cœur ? Que signifie les runes étranges sur la peau humaine ? Pourquoi les Gobelins seraient immunisés à l'idée d'être aspirés par le dit Corps ? Une défaite sur le plan militaire et tactique, mais toute fois, elle pourrait être comblée par une expertise correct. Et la Praetorian annonça alors le nom de Yargol, et l'urgence de retrouver le vieux sage d'Orsinium."
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    20/09/2017
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    "La fatigue s'accumulant ne pouvait pas être un frein pour les forces Impériales de la IIIème Cohorte. Le temps passant, les troupes de D'irshte et Kavedius étaient toujours en repos pour les épreuves sévères subit les derniers jours. Ainsi, ce 20 Middas de Âtrefeu, la troupe Dracinius avec à sa tête la Praetorian Valérius, un agent impérial et le Conseillé de la Cohorte partirent ensemble guidé par un objet ayant attiré de nombreuses rumeurs dans les rangs. Qu'est-ce ? Un objet sacré, un simple bijou, ou un artefact maudit ? Toutes les rumeurs concernant les affaires des compagnons du savoir n'étaient toujours que bordés de différentes anecdotes des missions passés et des imaginations débordantes de certains Légionnaires, traumatisés par ce qu'ils ont pu voir.

    Les Impériaux firent marchent en suivant une étrange indication, essayant de faire en sorte de ne pas sortir de la route, mais ils marchèrent parfois dans les champs en coupant complètement le passage, s'expliquant auprès des fermiers locaux qu'ils n'ont pas le choix. Pourtant, ils n'avaient pas l'air bien pressés. La journée n'était pas vraiment agréable pour sortir, et nombreux étaient les fermiers bien au chaud à l'intérieur pour ne pas attraper la mort. Le froid gênant se mêlant à cette pluie glacée laissant l'eau glisser le long des habits et imprégner la peau de son gel agaçant. Toutefois, cela n'empêcha pas la troupe d'arriver dans le champ de pomme de terres de la Ferme Guillot, et commencer à s'approcher des locaux. Ne s'attendant pas à des conversations bien étrange.

    Un Fermier adulte avec une poupée de chevalier fut étrangement grondé, avant qu'ils ne se dirigent vers la masure principale. Mais la discussion avec le jeune fils du couple local tourna court par le décès naturel de la vieille femme qui attendait la mort. Une tragédie qui ne fut relevée et mise en terre qu'au matin du prochain jour. Dans l'instant, ce n'était que des pleurs qui laissèrent les Impériaux partir en direction de la forêt. Après avoir retrouver un compagnon du savoir qui se tenait là. Raide, immobile. Revenant vers l'enclos, et découvrant un homme en tenue de garde couverte de boue se baladant à l'intérieur, qu'ils furent définitivement conscient de la folie se tramant ici. Et c'est en compagnie du cochon qui se baladait devant la masure des fermiers qu'ils partirent dans le champ de pomme de terre. Pour dénicher ce qui devait se trouver sous terre.

    En un instant, le champ grouillant d'une eau imaginaire. Comme si elle était présente, mais aussi translucide que le verre le plus pure. Montante, comme une rivière renaitrait au milieu du champs. Ce fut alors qu'un sinistre livre s'éleva, ouvert, dans des sons de discordes assommant les oreilles de quiconque l'entendant. Et de nombreuses silhouettes s'extirpèrent. Celles de formes vaguement humanoïdes, ce qui devait être leur tête étaient vides, mais souvent apparaissaient des myriades d'yeux éphémères éclatants comme des bulles. Les Impériaux réagirent, et deux furent hélas tués pendant le combat. L'un recevant une sorte d'énergie visqueuse le long du visage. Le casque et la chair fondant en même temps, et l'autre ayant été décapité par un bras en griffe. Toutefois, ils ne purent tenir le choc, et finirent par se dissipé en même temps que l'eau disparaissait. Et le livre, de même, avait disparut. Un Compagnon du Savoir cavalant rapidement pour quitter cette ferme éprouvée par les maléfices étranges du grimoire sinistre."
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    21/09/2017
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    "La récupération de la cargaison fut un coup dur d'après la plus part des conseillés. Des sels de flammes, faites dans l'alchimie pour mettre le feu aux ingrédients, redoutable pour générer un feu dans une demeure si elles sont bien utilisés et éparpillés comme il le faut. Ce Turdas 21 de Âtrefeu, les Impériaux quittèrent le campement bien décidé à empêché le retournement du maitre des Limiers noirs de provoquer un scandale. La situation n'avait eue de cesse de changer, depuis que ce n'était plus qu'une simple affaire de brigands, mais ayant pour but d'empêcher qu'un complot ne dégénère en tuerie et en chute de la Cohorte et des relations avec Hauteroche. Un esprit malade avait décidé de faire en sorte que la défaite diplomatique des Impériaux, même renégats, soient d'un échec total. Et il était désormais temps d'en finir depuis que ses intentions furent si poussé qu'il en arriva à essayer de faire assassiner les officiers et les villageois locaux par un groupe mercenaire trop dangereux : Les Limiers noirs. Désormais retourné contre lui.

    Le Bal se trouvait dans une grande demeure très agréable. Encerclée par la garde des "Holand des épées", la maisonnée du Seigneur Armand Dugal, les couleurs mauves se mêlaient au bleu habituel de la Convention de Daguefilante. Là-bas, devait avoir lieu un grand instant de nouvelles annonces encore inconnues de tous, de la part du Seigneur Holand. Les rires et les festivités durèrent dans l'attente de le voir sortir de sa cachette. Et les Impériaux arrivèrent, ce qui fut au plus grand étonnement de tous au vue des relations entres le noble et ses propos envers la Légion depuis la bataille pour la prise du fort de Vif-espoir. Toutefois, les troupes restèrent devant la fontaine à l'extérieur tandis que la Praetorian discutait avec Dame Holand, femme du seigneur.

    Ce n'est qu'après quelques heures de festivités, que Armand Dugal Holand des épées s'extirpa de son armurerie dans une grande parure d'honneur aux couleurs de sa maisonnée. Il fit face à la foule, et la salua avec grandeur. Mais à peine ses propos débutés, que tout bascula. Un homme, habillé d'une tenue sombre, apparut comme si il avait été convoqué de nulles part, dans une bourrasque de cendre et de fumée. Sa lame trouva la gorge du chevalier, avant que les agents Impériaux ne purent réagir. Mais il fut rapidement neutralisé, et Armand gisait à terre, ainsi que Lunrich. Le maitre des Limiers noirs lui même, rampait en sang au sol. Alors que les hurlements se succédèrent, sans que personnes ne puisse comprendre de prime abord, malgré l'intervention Impérial qui happa le Limier noir, un garde intervint en rentrant dans la salle. Braillant brusquement qu'une foule en colère arrivait pour venger le meurtre du Seigneur. Dès l'instant où il fut tué.

    Les Impériaux ayant pu s'extraire avec l'envoyé Altmer et Dame Holand des épées, ils laissèrent derrière eux la panique et les vassaux pour partir ne vitesse avant que la situation ne dégénère politiquement. Un pauvre bougre en armure d'honneur fut tué par les fourches des paysans réclamant vengeance, et quand le Chevalier Beaudurich s'exclama devant leurs erreurs, il fut trop tard pour de nombreuses vies. Le Seigneur Armand n'était pas mort, ce n'était que le corps d'un certains « Hector » à la place. Tous se sentirent manipulés, soldats hors confidences comme les pauvres bougres ayant maintenant du sang sur leurs mains. Tout ça pour une manipulation arrogante. Rapidement, les informations défilèrent vers Haltevoie. Et la tête du Seigneur Armand Dugal Holand des épées et ses plus proches camarades fut mise à prix au petit matin. Pour trahison envers son peuple, par pure vengeance."
    Edited by Coqualier on 22 septembre 2017 1:16
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    23/09/2017
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    "La journée du 23 Loredas de Âtrefeu fut mouvementée. En effet, après la dernière défaite Impériale aux abords du Totem putride, et les différentes escarmouches inutiles, il fut temps pour les forces coalisés d'agir avec brutalité. Les plans furent établit pour une avancée sérieuse. Loin d'être du niveau de l'attaque du campement de guerre de Gruk, ce fut aux troupes de Daguefilante d'abattre le campement de Bucheron maints fois attaqué, soutenu par les guerriers de Gro-Torkan et les lanciers de Lurhan. Le plan de bataille établit, les forces Impériales, bien qu'une partie de la cohorte soutenait l'assaut avec les escouades Kavedius, Dracinius et Donovan, devait s'occuper d'une partie plus hasardeuse. Effectivement, la troupe d'élite du Sergent D'irshte avec le Légionnaire Ag'matir, en compagnie du Conseillé Lenors, de la Praetorian Vendimus, et de l'agent Ishtyh, partirent pour le Bois d'Orkan. Une petite forêt dense usée par les Gobelins pour en assurer le contrôle par les éclaireurs Impériaux. Mais rien ne tourna vraiment comme prévu.

    Arrivant à l'intérieur du bois, progressant de plus en plus, avec les éclaireurs en pointes dispersés autours du cheminement Impérial, qui s'arrêta au premier son gênant sur le chemin. Un hurlement. La stupeur prit les troupes qui firent une halte, et essayèrent de situer ce qu'il pouvait bien se passer, surtout quand Ishtyh fit constaté en revenant de son exploration qu'elle avait retrouver un bras d'un éclaireur. Arraché. Alors que la tension montait lentement et que les idées étaient mises en perspective, un éclaireur blessé quitta les fourrés. Mais y fut bien vite ramené par une énorme patte blanche qui le glissa lentement vers les broussailles dans une trainée de sang. Une flèche du Khajiit suivit, et s'extirpa de là, une énorme araignée blanche et aveugle. De la même espèce que les araignées de la mine.

    Rapidement, les Impériaux furent encerclés. Des Gobelins installés sur les araignées agitant des perches avec des cloches pour les dirigés. Le combat s'engagea pour une survie désespéré face à d'ignobles bêtes. Les Gobelins avaient beau être désarçonnés pour la plus part, leurs montures ne semblaient pas envie de les dévorés. Ni de les défendre. C'est comme si ils n'existaient absolument pas pour les choses qui affrontaient les légionnaires. Ishtyh profita d'une ouverture pour partir et remplir sa mission : Découvrir pourquoi les gobelins en étaient protégés. Ce fut alors avec acharnement que les Impériaux furent vainqueur, au prix de la vie d'un Légionnaire ayant eu la tête arrachée. Cependant, la situation risquait vite de dégénéré, des bruits de cloches en échos par dizaines autours du groupe. Ils prirent la décision de s'enfuir, pendant une dizaine de minutes, à la recherche d'une solution. Jusqu'à ce qu'entre un haut arbre et une roche massive, s'écrase une énorme pierre qui bloqua l'accès. Enfermant les Impériaux face aux araignées et aux gobelins amassés devant eux.

    Alors qu'ils cherchaient une solution, et que l'araignée au dessus d'eux fut brutalement congelée par Lenors, les autres au milieu des gobelins furent prises de frénésies d'un coup. Juste après qu'Ishtyh au loin acheva l'Orque qu'elle avait découvert. Le second maitre Orque était au milieu de la foule agressant les Impériaux, et du lutter pour garder un peu de cohésion. Lenors avant dépensé son reste de magicka pour fissurer la pierre ayant chuté, et créer une ouvrir pour s'enfuir. Tandis que les légionnaires évacuaient. Ag'matir, Vendimus et D'irshte firent une percé de fortune pour atteindre l'Orque. Avant d'être évacués, tous blessés dans ce contact trop téméraire, ils eurent le temps de l'abattre après une vingtaine de minutes d'acharnement. Ce qui eut l'effet, de laisser les araignées souffrir, se tordre, et devenir de plus en plus maigre et rachitique. Avant de ne laisser que des cadavres derrières elles. Les Forces Impériales rentrant au campement, avec leurs blessés et leurs morts, ce fut une réussite difficilement arrachée. Alors que les forces du Penitus Sicarius elles se mirent à rôdé dans le Bois d'Orkhan, en quête des survivants gobelins et des orques pouvant y revenir."
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    24/09/2017
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    "Dans la fin de journée du Sundas 24 de Âtrefeu, les Impériaux reprirent l'objectif de récupéré le grimoire enlevé par le Dunmer des compagnons du savoir, après les problèmes dans la ferme Guillot. La boussole étrange fut une nouvelle fois utilisée, et des colliers simulant l'étrange protection sur le cou du cheval lors de la fuite du Dunmer furent distribués aux Légionnaires accompagnant la mission. Ainsi, le Légionnaire Sand, l'agent Ishtyh et la Praetorian "Vendimus" accompagné par Lurhan Voldrunil, partirent en direction du sud pour soutirer cette vengeance au traitre ayant perdu l'esprit et faillit mettre à mort des fermiers innocents. Tout comme il à sur les mains le sang de deux Légionnaires. Une grande troupe d'une dizaine de cavaliers quittèrent alors le campement Impérial, sous les bruits des sabots et les regards inquiets des gardes en faction. Personne n'apprécie de savoir quand les forces partent pour des tâches aussi noires et viciés que celles ci.

    Ce fut une route d'une bonne heure de chevauchée plutôt agréable compte tenu du temps des jours d'avant. Il ne pleuvait pas, mais la bruine légère fut presque réconfortante en ce début d'automne, les sabots heurtant le pavé froid et couvert des premières feuilles mortes de la saison. Après un petit moment à cavalé le long de la route, se détachant un peu en direction du fleuve de l'Attention, les Impériaux arrivèrent à un moulin à eau. Son entretient précaire signifiait que l'endroit n'était plus aussi utile qu'avant, mais au moins un minimum utilisé par ceux habitant dans les parages. Approchant à pieds, ils firent la rencontre d'un homme visiblement sourd. La conversation fut difficile au début, mais rapidement plus facile grâce à un parchemin et un fusain. Heureusement que le bougre savait lire, cela dit. La situation fut rapidement clair après un tour d'inspection : La maison était scellée, et la porte impossible à ouvrir.

    Après plusieurs différents essaies, la situation fut clarifiée : Un maléfice avait effet en ce lieu, et le moulin à eau semblait être responsable de cela. Bien plus lent qu'il ne devrait l'être, il fut chercher différentes solutions pour trouver ce qu'il pouvait bien se passé. Alors que le temps passait, et que cela ressemblait à une inspection banale. La tension descendit d'un cran, au moins, prenant l'habitude du froid abusif de l'eau et des environs. Les fenêtres gelés empêchant de voir à l'intérieur était bien une preuve du soucis de ce lieu. Finalement, sacrifiant les capacités magiques de la Praetorian pour la soirée à cause de l'effort d'énergie usée pour envoyer une impulsion sur les palmes de la roue. Elle fut prise de vitesse un bref instant, ce qui suffit à faire ouvrir la porte, qui se refermait déjà lentement. Laissant une partie des troupes rentrer à l'intérieur.

    Et quel ne fut pas la surprise d'y voir un endroit affreux. Le gel partout, et comme si tout ondulait comme l'intérieur d'eau d'une clarté inquiétante. Deux personnes étaient au sol, mortes, et ayant du sang au oreille. Un Dunmer se tenait devant le Livre ouvert, flottant dans les airs comme un artefact en pleine utilisation. Se retournant vers les impériaux, le visage du Dunmer avait été grossièrement muté en une parodie d'une gueule béante couvertes de tentacules. Joints à deux silhouettes de givres et d'eau, les Impériaux durent lutés pour leurs survies. Avec des efforts incroyables pour ne pas devenir fou, et protégés par les amulettes de Lenors qui auront empêché les sons stridents de leurs détruire le cerveau, le livre fut refermé. Récupérant l'avant dernière ouvrage empêchant l'ouverture de la cage noyé, ils laissèrent derrière eux le corps du Dunmer dévasté par les mutations sinistres. Et le sentiment d'arriver bientôt au bout de cette odieuse mission."
    Edited by Coqualier on 24 septembre 2017 10:14
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    25/09/2017
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    "Après les dernières missions, difficiles et angoissantes, ce fut presque une bénédiction pour les quatre Impériaux qui quittèrent le campement Impérial ce 25 Morndas de Âtrefeu. La direction n'était pas un lieu isolé et boueux pour trouver des adversaires sanglants ou le chaos ambiant d'un complot acide. Mais Ishtyh, Arnornn et la Praetorian Valérius partirent accompagné du guerrier Reldan, vers la grande citée de Haltevoie. Ce fut une sorte de vieille nostalgie, ayant été longuement au contact de la grande citée brétonne à la première venue de la Cohorte, ils purent espérer y passer une nuit convenable après la suite de l'enquête. Parce qu'il ne s'agissait pas seulement de se reposer et de se détendre. Il fallait agir, et trouver des méthodes pour faire tomber les fondements. Pour mettre à la lumière de Stendarr, tout les crimes dont il est coupable.

    Ainsi, ce fut un très agréable voyage qui se déroula en pleine journée. Le froid fut calmé par les rayons de Magnus rayonnant avec vigueur dans un ciel tranquille. En descendant du Domaine de Fier-croyant après quelques heures de routes, tout était bien plus en vie. Des caravanes errantes tout comme les fermiers dans leurs déplacements quotidiens. Des rires et quelques appels, les Impériaux furent même récompensés par un marchand de saucisson leur offrant quelques bouchées de passages pour les échos de leurs batailles au nord. Définitivement, la journée fut bien engagée, alors qu'il se préparaient toutefois à devoir subir la complexité d'une soirée d'enquête. Une fois leurs chevaux à l'écurie de Haltevoie, éreintés par un tel voyage, mais obligés de poursuivre la tâche de trouver des informations. N'ayant pas le temps de se distraire réellement à cause de la guerre, ils firent immédiatement route vers la magistrature.

    Une brève conversation avec une occupante pour récupérer des informations suffisantes, ils firent route vers la ruelle du bas-quartier de la citée pour découvrir ce qu'ils pourraient sur l'identité d'Armand Holand des épées quand il se battait dans le cercle de sable clandestin pour son prestige et sa forme physique : Casque noir. Arrivant dans les ruelles où le sentiment contre les Impériaux avait été exacerbé par les rumeurs diffusées par « Le siffloteur », un ancien agent des Limiers noirs ayant disparut des parages depuis le temps. Mais derrière lui, les échos barbares et les raisons des plus modestes aux plus stupides pour haïr étaient encore partagés. Ainsi, après une conversation avec quelques locaux, ils furent dirigés vers le dit cercle des combats clandestin pour y rencontrer ce fameux Casque noir. Traversant l'inverse de la belle vision de Haltevoie et de ses faubourgs vivants, ils finirent dans un lieux isolé avec une trentaine de personnes saluant la scène. D'un jeune Altmer se battant contre un Khajiit, ayant l'air d'approcher de l’exécution. Et c'est avec courage, ou surplus de témérité, qu'ils se mirent en travers de ce massacre.

    Résultant de cela, l'organisateur Rougegarde, un gros bonhomme du nom de Abdam al-Saelk, dans une tenue extravagante et riche, accepta d'offrir à Reldan le combat de son choix pour avoir mit à terre le Khajiit d'un seul coup. Ce qui tourna en massacre : Casque noir fut convoqué, mais il avait bien changé. Le minotaure, affaiblit par la captivité excessive, mais enragé par son mauvais traitement, s'extirpa de sa caisse. Et la panique débuta. Les hurlements des citoyens s'enfuyant fut l'alerte pour la garde, et alors qu'ils vinrent rapidement après le bruit du tonnerre étrange, ils aperçurent la bête mourante et les Impériaux défendant les civils n'ayant pas pu fuir et Abdam des coups de quelques assassins. La situation fut réglé, rapidement par l'intervention rapide de la Garde de Haltevoie. Et le Rougegarde fit une accusation qui serait la première et sûrement loin d'être la dernière crucifiant l'honneur du noble Armand, qui derrière lui voit les complots apparaître à la lueur de Stendarr. Alors que les Impériaux, eux, purent profiter d'une nuit tranquille."
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    26/09/2017
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    "La guerre, dans son essence la plus sauvage. Celle qui provoque les hurlements guerriers et les amas des aciers cognés les un contre les autres. La nuit du Tirdas 26 de Âtrefeu, les Impériaux firent marche massivement vers le nord-est de la plainte aux tombes. La presque totalité de la IIIème Cohorte déployée sur le front durent prirent pour eux d'aller affronter l'adversité après un évènement ayant du pressé la tournure de la bataille. L'arrivée du Chevalier Beaudurich, de l'armée de Hauteroche, fit parvenir des nouvelles d'un stratège de Haltevoie qui avait fait une réclamation sur la durée de la bataille "anormale contre des gobelins." Accompagnant le ser Beaudurich au sud du campement gobelin le long de la montagne nord, il fut finalement traumatisé par la violence et les pièges des orques qui firent subir une défaite sanglante aux troupes ayant été trop pressé par le dit stratège, bien que sauvés par l'intervention des chevaucheurs d'ours de Horkan gro-Torkan et des forces déjà présente Brétonne qui pallièrent aux jeunes recrues envoyés un peu trop vite par celui qui recevrait un blâme pour abus de pouvoir et mort d'une vingtaine de recrues inutilement.

    Les Impériaux eurent eux une toute autre tâche. Prendre le contrôle de la position nord, et éradiquer les complots possibles depuis l'apparition des araignées blanches dans les bois d'Orkhan. Ainsi, deux heures durant, les troupes firent marche dans tout l'est en de nombreuses formations. L'étendard de la IXème Légion claquait au vent au dessus des troupes criant quelques chants comme si ils avaient eut des litiges envers le poète les ayant écrit, mais l'enthousiasme palliait à l'incompétence de leurs chorales, mais la tempête naissante ne fit rien pour aider à ce que l'humeur passe. Au final, c'est sur une grande plaine devant le campement, que les six troupes impériales firent face à une énorme vague gobeline, qui restèrent devant eux. Sans bouger, mêlé à des Poignes de guerres et leurs ours. Frappant leurs boucliers et insultants les Impériaux. Cinq prisonniers dressés sur des buchés prenant feu, pour forcé les Impériaux à charger. Cependant, ils avaient encore le Cor de bataille soutiré à un éclaireur. Et Almeth Bale le fit résonné dans la vallée. Les Gobelins, entrainé à suivre ce son, se mirent à charger au grand dam des orques.

    Les gobelins tombèrent dans les fosses à pieux attendant la charge impériale. Les orques essayaient d'empêcher les pertes, difficilement, et ils finirent par percuter la ligne des Légionnaires les attendant en formation défensive. En pointe, la troupe d'élite mené par la Praetorian avec le Légionnaire Dankrads ayant fait montre d'une valeur guerrière grandiose, ils eurent à percé la ligne après l'intervention des agents Impériaux, et la bataille continua. Celle ci serait sanglante, menée par le Centurion Menaro ayant prit la relève. Une dizaine de légionnaire furent tués, et une vingtaine blessés. Quatre autre furent rapatriés, car la bataille avait dégénérée et fut sur le point d'être échouée quand de nombreuses et massives araignées firent une intervention courte, mais puissante. Avant de renverser la bataille, elles se rétractèrent et moururent lentement. Les Impériaux en profitant pour brisé la cohésion ennemi, et remporter la bataille.

    Dans le campement, la troupe élite acheva sa mission peu avant la victoire sur le front, à leur départ il y avait encore le chaos derrière eux, et cela ne tarda pas à l'être aussi devant eux. Après avoir usé du piège de la porte pour abattre l'Orque massif en armure renforcée, percuté par le rondin pointu qui attendait les Impériaux. Ils firent face à ceux restés derrières. Des Poignes de guerre en compagnie d'un être repoussant. Le Crevassais observait ses derniers rites accomplit, l'énorme œuf d'une Mère-araignée comme à la Mine abandonnée, attendait d'éclore. Un combat fut court, mais intense, tandis que Dankrads s'effondra dans l'inconscience après avoir vaincu le vétéran des Poignes de guerre. Les Impériaux purent brisé leurs adversaires, difficilement et aux prix de plusieurs vies, mais c'est quand le grand cocon fut brûlé et le crevassais exécuté, que les immondes arachnides cessèrent d'exister et finirent comme dans le bois d'Orkan. Une fois pour toute, ce projet monstrueux fut arrêté. Et le nord, embrasé dans les flammes de la guerre, devint la pointe menaçante au dessus du village Gobelin."
    Edited by Coqualier on 26 septembre 2017 10:26
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    28/09/2017
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    "Au crépuscule du 28 Turdas de Âtrefeu, le front Poigne de guerre stagne. Les Gobelins sont errant au nord, nombreux comme des âmes isolés ayant jamais cru pouvoir perdre le campement du grand cocon. Un grand front Impérial se dresse dans la boue, loin du campement Impérial, et les troupes se préparent aux prochaines batailles. Dans un ton morne, et difficile, suite aux nombreuses pertes et aux blessés. Le front, la guerre de l'attente et de la nervosité s'installant lentement alors que les officiers étaient en quête acharnée de réponse pour abattre maléfices et fortification. Mais c'est vers un tout autre problème que les Impériaux furent tournés. La récupération du dernier grimoire obscure de la Cage noyée. La troupe de Donovan accompagna alors la Praetorian accompagnée de la nouvelle Légionnaire Nyli, ainsi que le Conseillé Lenors et l'agent Ishtyh. Tous partant vers le nord-est, suivant les traces de la boussole étrange.

    Ce fut une route sous la crainte de la tempête venant du nord, les éclairs visibles en Fendretour pourfendant la nuit venante de ses vives éclats de lumière mêlés aux sons du tonnerre. Deux heures suffirent à traverser la route vers le nord du village de Garancia sans même savoir vraiment où les troupes se dirigeaient, suivant la piste étrange et toujours inquiétante. Mais la destination fut plus angoissante encore, quand ils tombèrent né à né avec l'ancienne excavation de Maerius, le Centurion de la XIème Légion vaincu une année plus tôt lors du siège de Vifespoir. Sa volonté de trouver de nouvelles méthodes de guerres l'avait mené à explorer cet endroit pour en soutirer une vieille machinerie. Mais quel mystère restait-il à découvrir ? Après avoir passer un moment à inspecter la porte, affronter l'araignée mécanique s'extirpant de nulles part, et quand ils eurent déjoué les énigmes et survécus à cette vapeur étouffante. Ils purent pénétré dans ce sanctuaire oublié et poussiéreux.

    Rencontrant le compagnon du savoir Morentius, trahit comme tant d'autres le furent par ce « Kavekan », les Impériaux eurent été informés des diverses problématiques qu'ils pourraient rencontrer, « Éviter les dalles noires », fut-il dit. Et cela sauvera plusieurs Légionnaire quand ils arrivèrent au bout de la ruine après une longue marche le long d'un couloir couvert de végétation nuisible et de quelques milles-pattes errants, oubliée depuis longtemps, sans même présence des serviteurs mécaniques. Une grande salle, couvertes de tuyaux et de piliers. Kavekan, un homme chauve et aux grosses cernes, sursauta à l'approche des forces de la Légion. Et la situation dérapa complètement, si bien que tous furent enfermés à l'intérieur de la salle quand les mécanismes furent emballés. Les dalles noires pivotantes régulièrement, alors qu'un schéma de rayonnement fut déréglé. De la vapeur sortant de toutes les directions. Si ils ne pouvaient achever vite le problème de cet endroit, alors ils seraient consumés par la chaleur s'accumulant dans la ruine.

    Kavekan fut envahit par l’influence du Dévoreur du Sous-savoir en faisant usage de son livre pour supplier d'être sauvé et envoyé dans le domaine du seigneur de la connaissance. Corrompu par son contact, certains livrèrent bataille contre la monstruosité aux yeux apparaissant de nombreux endroits improbables de son corps, alors que d'autres cherchaient une solution pour sortir. Ce fut quand la créature fut vaincue dans les flammes évoquées, et les sphères Dwemer écartés avec violence de la dernière sphère reflétant une lueur d'un rouge puissant, vers le cœur mécanique au fond du trou dans le plafond, que la porte fut ouverte. Avec le dernier ouvrage, les Impériaux purent s'en sortir en sauvant Morentius sur le passage pour le remettre auprès de Laura et Ithilien des compagnons du Savoir. Ce fut le dernier livre retrouver. Laissant aux Impériaux l'impression qu'ils sont à la fin de ce long périple. N'ayant plus qu'à les remettre à Ja'Manil, pour que la clé disparaisse à jamais de Tamriel."
    Edited by Coqualier on 29 septembre 2017 12:15
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    29/09/2017
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    "Dans la journée du 29 Fredas de Âtrefeu. Les champs d'Esbarn étaient visiblement en pleine activité. Les rapports vinrent jusqu'aux Impériaux grâces à la surveillance des forces brétonnes supplémentaires depuis le conseil de Hauteroche, que les problèmes des vagues de pensées anti-impériales revenaient à l'assaut. Les échos du Siffloteur d'Haltevoie avait contaminé désormais les fermes de l'Ouest, et l'ordre essayait d'être conservé. Mais protéger les terres des mercenaires et brigands était une chose, désormais, il fallait les défendre d'eux même. Et la tâche n'en était que plus hardi. Une troupe Impérial arriva dans la journée, après avoir quitter le campement impérial, dans l'optique de poursuivre la chute du Seigneur Armand Holand des épées. Depuis la chute des Limiers noirs, il devint l'objectif final de cette enquête. Mais il restait encore le rôle de défaire son influence néfaste.

    Arrivés pendant que la foule exprimait son mécontentement envers le Mestre local, ils laissèrent l'escorte de la troupe d'Illgrid à l'entrée pour ne pas avancer en trop grande troupe et créer une certaine tension dans les champs, un petit groupe rejoint la position de la pendaison d'Ernestin pour blasphème et hérésie. Un drapeau de l'Empire avait été dressé sur une masure au loin, tremblante un peu à cause du vent, mais surtout souillés de divers iconographies honteuses et insultantes. Personne n'ayant osé le retirer, à cause de l'ambiance actuelle. Le petit groupe eut une discussion très tendue avec les Miliciens et le chef des gardes locaux, qui n'eurent pour réponse que de finir la pendaison d'Ernestin. Celui ci avait été accusé d'avoir souillé un Prêtre et d'avoir tenté de l'agresser brutalement. La réponse fut sans équivoque et brutale en vue de la tension actuelle.

    Déçu et énervé que les miliciens soient aller aussi loin, ils cherchèrent réponse auprès du Mestre qui avait pu quitté la foule, alors que les fermiers s'éparpillèrent, se regroupèrent en petit groupe de deux à quatre personnes, et quelques jeunes lancèrent même quelques pierres sur la troupe d'Illgrid, insultant les Impériaux. Le Mestre fit état de la situation, avec le marchand de pomme Bernard qui semblait gêné et inquiet. Ils expliquèrent la raison de la présence du Prêtre d'Akatosh, et il eut alors pour tâche d'aller à sa rencontre. Tandis que l'agent Almeth Bale suivit l'homme suspect qui se trouvait avec le Mestre. Et alors que le reste des Impériaux menèrent la conversation au prêtre d'Akatosh tandis que le village préparait la scène dans le champs, pour la grande conversation du croyant envers le peuple, la situation dérapa. Alors que différentes personnes intervinrent quand le plan des mercenaires débuta.

    Almeth lutta avec acharnement et discrétion. Sa filature l’amena à une caravane, et l'homme l'ayant rejoint fut brusquement abattu d'une flèche dans la poitrine. Trois personnes, se ruèrent récupérer les uniformes Impériaux crasseux qui les attendaient à l'intérieur. Mais l'un pu s'enfuir, toutefois, deux furent mit inconscient par les poisons de l'agent Impérial. Brûlant les uniformes derrières lui, il rejoint la troupe qui avait du défendre le Prêtre d'Akatosh de mercenaires bien décidé de le forcer à agir d'une manière précise lors de sa conférence. Et celle ci eue lieu, alors qu'il accusa Armand Holand des épées de l'enlèvement de son enfant, du devoir de méfiance envers un tel être. Tandis que les Impériaux, eux, eurent à débarrassés les corps de ceux tombés et alors que la troupe d'Illgrid surveilla que tout fut pu bien se déroulé, les autres quittèrent les lieux en rentrant vers le campement de guerre Impérial. Avec de précieux prisonniers de guerre."
    Edited by Coqualier on 29 septembre 2017 10:09
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    30/09/2017
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    "La fin de journée du 30 Loredas de Âtrefeu du éprouvante. Après la dernière tâche dans les champs d'Esbern, le moral n'était pas bien haut. Être confronté à la haine avec les forces impériales après tant de temps aux combats n'avait rien de luxueux ni agréable, et les cris des mercenaires interrogés ne réussirent pas vraiment à faire grand chose d'autre qu'enfoncer les troupes dans la morosité du front. Toutefois, si la stagnation irritante de l'avant-bataille envers des gobelins enragés restait de mise, il était bien temps de s'occuper d'une autre affaire. La Guilde des guerriers, en présence de Reldan Cyress, avait négocier l'aide des Impériaux pour mettre la main sur le maudit Lurio Vilth et ses complots dans un bosquet au nord du domaine de Fier-croyant. Le Bosquet aux brumes, entre le passage vers Fendretour et Havre-tempête. C'est ainsi qu'à pieds, une petite troupe quitta le campement Impérial en direction du nord afin de retrouver un membre de la guilde des guerriers.

    L'endroit aurait pu être enchanteur, si il ne semblait pas aussi inquiétant. La brume s'étendant le long des arbres et des broussailles, accueillant les visiteurs dans des bras morbides et imaginaires. C'était loin d'être un lieu appréciable, mais le guerrier se releva en apercevant les Impériaux. Quelques conversations suffirent pour se préparer et se mettre en route en prévoyant bien tout ce qui pouvait être utile pour combattre l'odieux mal sévissant : L'affliction de la Lycanthropie. Le combat serait difficile, car il fallait espérer ne pas être mordu et contaminé à leurs tours. Ils étaient en possession de quelques fioles de purification, et de lames en argents. Mais l'équipement ne fait pas tout, la bravoure restait là, comme le disait Vendimus « Seulement deux personnes s'habituent à de tels combats. Les fous, et les morts. » Et c'est dans la pression montante qu'ils s'enfoncèrent alors dans ce sinistre bois.

    Ce fut au moins une bonne protection contre la pluie, ne laissant plus que quelques gouttes les gênés alors qu'ils arpentaient la forêt en passant outre les arbres et les racines gênantes. Luttant pour ne pas tomber, et glissant légèrement contre le sol boueux mêlés aux nombreuses herbes mortes d'automnes. Ils achevèrent la route quand un bruit s'ajoutant aux souffles des respirations et aux bruits des plaques. La branche cassée n'avait été piétiné par personne du groupe, et ils en eurent conscience. Puis pendant un instant de folie, après avoir fait un cercle de protection, les Impériaux durent lutté pour survivre contre les loups massifs et déformés par une influence puissante. Conduit par le puissant Alpha au pelage blanc, c'est quand celui ci fut vaincu en ayant ingurgité une fiole de purification, et prenant la fuite, qu'un calme irréel revient. Un temps de repos inattendu, alors que tous semblaient essayer de se remettre de leurs différentes nouvelles blessures, la main de la Praetorian saignante. La paix fut interrompu par le jappement du louveteau, qui fut suivit après un temps d'hésitation, au cœur du Bosquet. A la rencontre de son maître.

    Le Lycanthrope massif ressemblait à ce genre de bête aberrante que l'on suggérerait voir uniquement râler et grogner vers quiconque s'approche. Mais il restait bien plus que ça au fond. Non pas un maudit, mais un serviteur du Maître de la chasse. La conversation s'engagea sur un ton de forte tension, mais lentement, elle glissa vers la négociation la plus humble envers ce Xeltan. Lurio Vilth avait trahit jusqu'à son pacte avec la créature daedrique présente ici même. Son rôle n'était plus de tenir quoi que ce soit dans le bosquet, mais de rentrer dans le terrain de chasse éternelle avec celui qui à été parjure de son pacte avec le grand chasseur. Ainsi, les Impériaux purent sans devoir se battre, récupérer le talisman qui les mèneraient vers la proie finale, tandis que l'autel dévoué à Hircine brûlait dans quelques feux censés purificateurs. Quittant le Bosquet pour rentrer chez eux, attendant le prochain crépuscule pour être menés par les os du collier vers la cible, ils eurent la grande question de : Qu'avait bien pu faire de si affreux, Vilth, pour que Xeltan accepte même de faire disparaître son autel pour disparaître avec Lurio vers le terrain de chasse."
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    01/10/2017
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    "Ce fut au crépuscule du 01 de Soufflegivre, alors que le mois venait de commencer, les problèmes eux étaient loin d'être terminés. Mais ce fut une page qui clôtura l'histoire du traître qui poursuivit Lurhan depuis si longtemps. Lurio Vilt, le menteur, l'assassin, dont le nom avait été évoqué depuis longtemps au sein de la Légion depuis que le Patriarche Voldrunil avait retrouvé sa vieille alliée Vendimus. L'Être était traqué par de nombreux agents de leurs forces respectives, mais aucuns n'eurent de succès, jusqu'à la traque au Bosquet des Brumes, menant à l'étrange collier offert par Xeltan. Ce fut une longue traque, qui fut achevée par les efforts des Légionnaires ayant été suffisamment courageux pour se mettre en face d'une telle menace. Mais aucuns d’entrés eux n'avaient été informés de la véritable nature de ce qui les attendait. Ainsi que de la réponse à la question qui restait dans l'esprit de tous une fois le collier acquit : Pourquoi une telle volontés de mettre la main sur Lurios Vilt, de la part de ce Xeltan ?

    Il fallait arriver au couché du soleil pour l'utiliser de l'objet qui pourrait servir de traçage vers la cachette du traître. La route fut donc identique à la première, trois longues heures sur la grand route pour arriver au bon moment, usant des efforts du corps et de la faim qui s'accumulait. Mais c'était le quotidien des soldats entraînés pour avancés malgré les difficultés. Ils eurent alors atteints l'orée du Bosquet des Brumes, après une marche sous un vent léger. Au moins épargnés de la pluie, c'est les bottes couvertes de boues qu'ils retrouvèrent de nouveau Mhelk pour faire le point sur le objectif et les méthodes. Il s'agissait de conversation d'une le combat contre un lycanthrope, ses dangers et ses manières d'y survivre. Il eut un point avant de faire usage du talisman, mais contrairement à ce qu'ils purent penser de magie et incroyable, tous furent surprit par le Loup sortant d'on ne sait où, pour japper vers le groupe, et partir en vitesse dans le bruit, se retournant comme l'avait fait le louveteau. Se traînant alors dans le bois, inspectant les environs soigneusement, ils firent marche dans la boue humide et les flaques d'eau.

    Après une dizaine de minutes de marches, ils firent face à un lieu inattendu. Une bâtisse abandonnée dans le bois, mais ce n'était pas son côté miséreux ni sa piètre qualité qui étonna les Impériaux, pour autant qu'il pouvait s'agir d'une maisonnée abandonnée au bois cassé et à la moisissure présente. Toutefois, il y avait une odeur, pas comme celle des planches pourries, mais celle d'un véritable charnier en une chaude journée après une bataille au résultat écœurant. Il n'y avait rien de visible, ni corps, ni entrailles dispersés, mais l'odeur était tout comme. Et quand la porte s'ouvrit brusquement, pour voir une silhouette vacillante avancer vers les Légionnaires, que tous purent comprendre l'intensité de ce qui pouvait bien se produire ici. Mais ce fut presque trop tard, car ils devaient désormais se battre pour survivre contre des goules enragés. Les cadavres couverts de quelques poils, et de zones de chairs molles et ravagés, essayaient de griffer et de mordre leurs proies. Quelques uns furent blessés, et la Praetorian pu soulever le problème de cet instant : La nature nécromantique inattendu dans ce combat. Mais après la mort de leurs assaillantes, les Impériaux ne purent réagir, qu'un Dunmer avec une gravure digne de l'Oblivion sur le torse s'avança. Lurio Vilt se moquait d'eux, tout en débutant le puissant sortilège qui les condamnerait tous.

    Sans attendre, les Impériaux réagirent. Vendimus, Victus et Arnornn luttèrent contre l'étrange mage s'élevant en l'air, alors que Roland et Ishtyh fonçaient à l'intérieur pour briser ce qui se tramait. Arnornn fut mit hors combat un premier temps, tandis que Vendimus et Victus volèrent dans des escaliers en bois suivit de grand fracas. Il y eu comme un temps de pause, considérant que Lurio était trop concentré sur la préparation de son sortilège pour en avoir quoi que ce soit à faire d'eux. Ils purent reprendre l'assaut, le Légionnaire sonné requinqué par Til Adyn, tandis que la Praetorian bousculait les marques de protections du traitre avec un éclair. Accumulant les blessures, et devant sortir de là Roland et Ishtyh blessé pendant le sabotage à l'intérieur, tous purent se retrouver devant Lurio Vilt pour son exécution, une fois brisés par les manœuvres coordonnées. Chacun avait fait sa part, et tous purent être conscient de la raison de cette chance. Vilt avait trahit Xeltan, en priant et réclamant les énergies de Molag Bal, et par ses multitudes de trahisons, il fut alors acculés par tout ceux menacés par sa volonté. Une flèche logée dans sa gorge par Mhelk, et comme la plume se pose pour faire un point à la fin de la ligne. Toute cette histoire fut achevée, laissant les Impériaux blessés et fatigués rentrés vers le campement Impérial. Concentrés vers une guerre les attendant encore."
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    02/10/2017
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    "Un début de mois bien rude qui se dévoile. Ce 02 Morndas de Soufflegivre, les Impériaux eurent pour idée d'en finir avec plusieurs maléfices à la fois. Il était temps d'en revenir à la boue et aux lames pour protéger le Domaine de Fier-croyant, et pour cela, les quatre grimoires capturés de la clé de la Prison noyée devaient être rapporter au guetteur d'Apocrypha. Ja'Manil. Les trois compagnons du Savoir survivant semblaient soulagés de penser que leurs envies n'eurent pas été conséquente à des ravages en Havre-tempête, ou du moins jusqu'à ce que la Guilde des mages n'aient à interrompre des maléfices trop profond. Après la mort de Lurio Vilt, un sentiment d'en avoir fini avec une lourde tâche apparaissait au regard des forces ayant du survivre à autant de difficultés. Les peurs, les craintes, tout n'est que répétition dans l’effroi quand on ose tendre un bouclier de vertu vers les ombres qui s'étendent. Et pourtant, il est toujours aussi âpre de recoudre des plaies invisibles. Pas celle au corps, mais dans l'esprit.

    Ils prirent alors la route du sud, dans les lieux isolés où l'on chasse le gibier et l'on fuit les loups errants. Là où la guerre n'eut de prise, ni même l'homme dans ses bâtisses. Une bonne heure de route, et quelques dizaines de minutes, furent suffisantes pour que la marche dans la bruine et le vent frais, ne s'achève à la bonne destination. Ce n'était pas la première fois qu'ils allaient dans un tel endroit, et ils priaient tous au fond du cœur que ce soit la dernière. Après ce chemin sous les farce de quelques légionnaires, ils arrivèrent finalement aux ruines déjà maints fois explorés. Celles ci n'avaient pas loin moins dangereux, ou moins anciennes. Identiques à ce qu'elles furent quand Endhoryl était là, mais le temps était passé ainsi que les nombreuses épreuves déroulées. Après une courte conversation, les quatre grimoires furent remit, provoquant l'apparition de Ja'Manil. Mais à peine la conversation engagée, que le monde chavira pour les Impériaux. Laura, de la compagnie du savoir, la première à avoir été épargnée, apparue. Dérobant les grimoires, et brutalisant le Khajiit Alfiq, elle écarta le voile de tout mystères, montrant son véritable visage, de la Dremora Ka'gran.

    Piégés dans ce maléfice obscure, alors que le monde disparut dans un voile ténébreux, pour quiconque aurait été de surface, ils auraient trouvés sept personnes étalés par terre. Lucius, Elecius, Vendimus, Ishtyh, Reldan, Roland, Arnornn. Installés des heures durant sur le sol froid et mouillé, leurs nez prit par ce gel de Soufflegivre, alors qu'au fond de leurs consciences, ils rêvaient. Rêvaient unis, dans le maléfice qui avait entreprit de les dévastés intérieurement. De l'extérieur, ils n'eut rien. Rien ne surgir en Tamriel qui ne saurait être admirable et grandiose, la terre n'en fut ni retournée, ni même salie. Tout n'était que dans leurs têtes, et ce fut pourtant alors d'horribles expériences. Ils durent survivre aux mémoires de certains de leurs compagnons, les traumatismes du passés offerts et partagés, essayant de s'échapper des scènes qui avaient une conclusion, mais pour eux, la fin ne pouvait signifier que la mort de leurs capacités à réfléchir et à pensés. Après avoir du survivre à l’effroi du Bastion d'Aldenus et au sac de Ottombe, ils eurent à naviguer sur ce navire dans une mer gelée. Tout n'était que trop rapide pour être compris à sa juste valeur. Tout n'étaient que des souvenirs de chacun, et pourtant. Cela laissa des traces.

    Ce fut après avoir du combattre les pires peines, de leurs souvenirs les plus profonds, qu'ils furent soutenu par un Ja'Manil blessé, mais sauf. Ils eurent prit le temps de percer les voiles de brouillard, pour identifié les serviteurs de la malédiction. Les entités éthérés dévorant leurs intellects, furent vaincues à la force des efforts et des lames, et ce fut enfin la libération pour les Impériaux, qui purent rejaillir en ce monde qu'ils n'avaient jamais quittés. Si au jour luisant, tout débuta, c'est dans la nuit profonde que tout s'acheva. Ils reprirent alors consciences en ce bois isolés, déboussolés et glacés par le froid nocturne. Les grimoires furent volés, et Ja'manil attendait sur la stèle, dévasté par ce qu'il venait de se produire. Rentrant vers le campement Impérial, avec ce traumatisme, les Impériaux ne purent que sauver leurs vies au dépend de cet échec à remettre les grimoires. Sachant qu'ils retournaient à la guerre, avec la menace présence de Ka'gran pouvant ressurgir d'un moment à l'autre."
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    03/10/2017
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    "La guerre n'attends pas. Les batailles qui se succèdent sont la continuités des vagues de haines qui jamais ne cessent d'onduler sur ce flot hargneux. En ce 03 Tirdas de Soufflegivre, les forces Impériales ont livrés un rude combat alors que la nuit tombait lentement sur le voile devenant étoilés et libre des nuages errants dans le nord, vers Fendretour. Cela faisait presque une semaine, si ce n'est plus, que la situation stagnait. Les soldats devenaient bien morose à l'idée de s'enfoncer dans un conflit de la sorte : Rester vivre dans la boue, la pluie, les nourritures de basses qualités autant que les couches, à entendre régulièrement le guet hurler de retourner aux remparts miséreux pour repousser des gobelins ou quoi que ce soit s'approchant des fortifications de fortunes. Ce n'était pas une guerre plaisante, se réglant entres deux armées massives de centaines d'hommes. Mais des approches plus simples, plus modestes, mais moins tenable. Un homme se bat une fois dans une grande bataille, survie la nuit, vétéran, et libre de ne plus y penser. Ici, cela faisait des semaines, voir un mois entier, que la situation restait infernale. Mais il fut décidé que si le nord était tombé, le Sud suivrait, pour brisé les derniers projets vicieux de Krayn, « Celui qui gagne. »

    La moitié de la IIIème Cohorte fit mouvement, une assemblée des différentes races la constituant, avec en tête les Légionnaires nordiques arrivés avec Olaf Martellor. Dans des rangs stricts et droits, ils firent mouvement contre la terre parfois glissante, parfois gelée. Les tambours utilisés dans des mélodies strictes, et la bannière de la IXème Légion claquant au vent léger et froid. Il est impossible de dissimulé une telle troupe de guerre, quand une 50ène de légionnaires portaient le pas en compagnie de divers alliés regroupés en leurs compagnies. Les boucliers en scutum portés fièrement contre eux, portant les emblèmes d'Akatosh, ou d'autres divins à la préférence du Légionnaires, certains étaient neutre, vite, n'ayant que le blason de la IIIème Cohorte. Mais tous ne purent être affligés de voir au loin, se dessinant dans l'horizon mauve par les contrastes de la nuit grimpante, la silhouette malsaine de se totem maudit. Il devait être deux fois plus grand depuis la défaite de la prise des informations, malgré le fait qu'ils étaient maintenant protégés par le savoir d'Orsinium en la matière, mais ça ne rendait pas la vision moins odieuses. Un édifice monstrueux, régnant sur les masses gobelins s’agglutinant déjà sur les points de passages pour les arrêtés.

    Choisissant la manière forte, les Impériaux firent des pieds et des mains pour avancés. Les pièges se succédèrent, et ils furent brisés que aux prix de la vie des légionnaires avançant. Au bout de la bataille, sur les 50 légionnaires, treize trouveront la mort, et une trentaine seront blessés. Les archers quittèrent une cachette dans les planches de roches du sud, et eurent le temps de provoquer du chaos dans les lignes impériales avant que la cavalerie Guar de Lurhan ne s'écrase dans la masse hurlante. Perçant, malgré les difficultés, les sucs acides tombant sur deux légionnaires dans des cris d’effrois, ils purent empêchés un débordement sur les flancs et maîtrisés un passage pour se battre de l'avant en arrière. La bataille devient un amas de cris, des blessés, des guerriers, suivant les bruits des métaux frappant le bois, ou inversement. Il fallut un déchaînement insensé pour parvenir à renversé les gobelins et tenir la brèche contre ceux s'amassant derrière eux. Récupérant courage et espoirs, après avoir empêchés les différentes tentatives des Poignes de guerre de renverser la bataille, l'élite de cette partie de la cohorte se regroupa pour fondre vers le Totem putride.

    Même avec la protection ancienne, les Impériaux eurent l'impression qu'ils étaient déchirés de l'intérieur par ce qui attendait au bout du chemin. La bataille n'était plus au loin, que des échos de rugissements, de fracas, et des flammes vacillantes dans le jour mourant. Et c'est devant le totem qu'ils eurent leur dernière bataille contre les guerriers d'honneurs de Krayn. Blessés, et épuisés, le Crevassais mêlé au cœur même du totem, battant légèrement comme une entité irréelle, mêlé à l'odeur à vous rendre fou, tout cela était un spectacle horrible. Débarrassés du cœur brûlant, le totem fut écroulé par les tirs des catapultes Impériales. Au loin, ceux qui avaient menés l'assaut jusqu'à là-bas, purent observer le résultat, de l'énorme amas écœurant s'écroulant lentement sur lui même. Le Totem Putride avait été brisé, désormais, il ne restait qu'un seul objectif pour finir cette guerre."
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    04/10/2017
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    "La bataille pour le Totem Putride laissa un vent de fatigue sur les forces Impériales et Orques. Mais la plus part des troupes n'eurent le temps de festoyer malgré tout, alors qu'il y avait encore le siège du village gobelin à établir. Coupant les accès de ravitaillement au plus vite, alors qu'il ne restait que les barricades adversaires à prendre, pour rentrer au cœur de ce lieu misérable. Ce 04 Middas de Soufflegivre était froid et sous la pluie. Toutefois, les troupes aspiraient pour l'instant, à ce repos bien mérité. Ce qui n'empêcha pas la Praetorian de quitter le campement avec une petite troupe pour partir en direction d'un village sur la côte dans la direction de Koegling. Un des endroits isolés, à trois heures de route de là, qui n'aura eu de renommée que de vendre des citrouilles et du bon poisson. La route fut longue pour l'atteindre, alors que les chevaux de la petite troupe cavalait doucement le long des pavés. La pluie n'aidant rien à l'humeur, toutefois, tous craignaient encore ne devoir subir une nuitée revenir en laissant derrière eux un village en pleurs et des cadavres, pour arrêter les complots d'Arman Holand des épées.

    Arrivé au petit village, du nom de « Franche-brise », les Impériaux eurent laissé leurs montures au guet impressionnés par l'idée de voir de véritables militaires, dans ce coin isolé jamais franchit par les forces de Hauteroche habituellement. Les scènes étaient banales, ici, alors que les enfants jouaient devant une masure, et que les habitants s'occupaient au moins. Les Impériaux se dispersèrent en trois groupes pour inspecter les environs et gagner des informations. Roland et Elecius discutèrent avec une Prêtresse de Zenithar, à côté des amas de tentes dédiés aux va-nu-pieds à cause de la guerre. Ceux ci étaient visiblement peu envieux d'avoir des Impériaux à côté, et malgré leurs provocations, il n'y eu aucun combat. Ishtyh et Almeth en firent de même, en discutant avec un Khajiit, dévoilant le mensonge dédiés à des mercenaires venant l’arrêté. Les Mercenaires auront retrouver qui avait faillit leur faire commettre une action illégale, et le bougre aura été retrouvé pendu par la ceinture, aux hanches, réclamant que l'on le descende de là au petit matin. Nu si ce n'est le pantalon. Tandis qu'Arnornn lui, discutait avec les enfants, comme un Héro de leurs contes. Tous s'occupèrent, et évitèrent les combats, et cela les mena ensemble avec les indices prometteurs, vers le Moulin.

    Celui ci tournoyait lentement, la petite Joseline devant qui écoutait les sons des sifflotements magnifique, comme si un oiseau chantait, accompagné par sa famille entière, composant une mélodie irréelle. Elle discuta avec Victus et Roland, accompagnant la petite vers les officiants de Zenithar. En y allant, ils virent un homme portant la livrée des Holand des épées, ralliant les pauvres pour leurs promettre récompenses si ils venaient brûlé le Moulin. Là où les Impériaux auraient du être piégés, si ils étaient tombés dedans. Informés par le barde Khajiit des mécanismes remit en place, ils n'eurent pas pour plan de tomber dans la cage, enfermés à l'intérieur. Mais ils discutèrent avec le Siffloteur installé à l'opposé du moulin. Tout fut plus clair, dans la scène, aussi triste que poétique, alors qu'Ishtyh récupéra les informations sur la position d'Arman, dans son dernier repaire. Tandis que les inspections étaient faites, les deux Légionnaires revinrent après s'être assurés que la petite serait bien traitée, pour annoncer ce qu'ils avaient vu. La tension montaient, et les interrogations sur ce qu'il allait se passer. Laissant le Siffloteur à sa dernière nuit, observant l'horizon, les Impériaux eux durent faire face à la petite foule et aux torches.

    Néanmoins, il n'y eut pas une goutte de sang glissante au sol. Les Impériaux furent plus convainquant que le soldat, qui malgré ses promesses faussées, ne put empêchés aux pauvres de ne plus croire en leur capacité soit à survivre, soit à être payés. Finalement, seulement cinq furent braves... et s'enfuirent aux efforts pyrotechniques et aux hurlements de Arnornn. Alors que le Soldat aurait du se joindre à eux, Roland proposa sa bourse à qui l'attrapera. Et il fut récupéré par tout les fermiers derrières. Finalement, le seul voulant se battre était un pauvre qui avait cru bon fouiller la tente du Khajiit, et goûté à son sucrelune. Il fut simplement mit au sol par un coup de scutum. Ce qui était déjà violent en soit. Le soldat fut récupéré et les fermiers locaux remerciés. Tandis que les Impériaux purent quitter les lieux pacifiés, avec une mission accomplie sans âme morte. Laissant derrière eux, la silhouette du Siffloteur. Certains avaient apprit pour sa maladie mortelle, et la dernière aube qu'il vivrait. Lui offrant de périr au repos d'une dernière clarté, il accompagna le départ des légionnaires, sous une de ses plus belles chansons, alors que le soleil se couchait au loin. Au moins, il avait cessé de pleuvoir le long du chemin pour rentrer."
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    05/10/2017
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    "La fin d'une lourde tâche donne toujours un apaisement agréable. Celui ci était mitigé, alors que l'ombre de la guerre était toujours au dessus des esprits des Impériaux. Ils purent au moins grandement soufflé, et perdre l'impression d'une lame sous la gorge glissée depuis quelques semaines maintenant. Ce 05 Turdas de Soufflegivre, l'appel de Ja'Manil résonna en le début d'une nuitée qui semblait pourtant confortable. Tous étaient plus ou moins heureux de la dernière mission, et pensaient avoir encore du temps avant que le front n'avance, ou qu'ils eurent suffisamment de ressource pour attraper Armand désormais. Il n'en était rien. Il était temps de mettre le point final à ce qui avait été une sombre rumeur venant des fermes sur ce groupe de mages en gris apportant un savoir qui désormais, serait dévoré par celui qui pourrait s'échapper de la Prison noyée. Les différents maléfices furent nombreux : Contaminés, malédictions, ou énergies du passés qui n'eurent aucunes difficultés à se dresser contre ceux qui luttaient pour empêcher la libération d'un être dont l'on ne parle que dans les ouvrages honnit. Parce que rares sont les personnes acceptant de discuter de créatures et démons.

    Sous les indications de l'Alfiq, ils firent marche avec la lanterne de vérité en direction de la grotte qui était désormais célébré dans l'histoire du Légionnaire Learchus et de son sacrifice. Hélas, malgré tout, ceux qui furent sauvés retournèrent se fourrer dans la gueule du loup. La journée n'était pas spécialement pluviale, mais plus ils approchaient du nord, plus il avaient différente sensation s’éveillant en eux. Des picotements dans les paumes, et l'impression parfois que les muscles de leurs corps sont détendu dans une eau qui légère qu'elle ne devrait pas existé. C'est dans une telle condition qu'ils durent retrouver après deux heures de routes l'entrée qui avait été de nouveau close par la Guilde des mages. Ceux ci étaient en piteuse état, depuis le l'endroit avait hélas récupérer de sa hargne après l'acte de la Dremora ayant été parjure de son maître. Ce que les Impériaux devaient désormais affronté pour pénétré à l'intérieur de l'édifice. Après une courte conversation avec les Mages, ils eurent vite fait d'user de la lanterne de vérité pour dévoilé le passage. Et de là, ils se figèrent une vingtaine de minutes.

    Personne ne savait vraiment pourquoi, mais leurs propres furent incompréhensibles. Comme si ils discutaient avec quelqu'un, qui n'avait pas vraiment de sens à être ici. Une petite altercation eue lieu avec le Conseillé Lenors, qui s'acheva en lui bandant les yeux et en le rendant sourd. Conversant un instant, les Impériaux avaient visiblement compris quelque chose d'important, et c'est dans le sous-terrain qu'ils avancèrent, en faisant fit des faux gardiens. Les êtres osseux n'étant que des leurres, ils bravèrent le chemin de la grotte qui devenait de plus en plus ce sanctuaire oublié de tous, de nombreux marquages représentants des érudits et autres idéalismes du savoir grandissant. Les silhouettes osseuses dansaient sur les murs, alors qu'en vérité, l'on n'y voyait que des petits brumes comme une eau glissante. Ce qui aurait pu être magnifique, alors que des reflets marins dansaient sur les passages, si ce n'était pas aussi effrayant. Après un voyage à travers ce lieu qu'ils n'auraient préférés ne jamais revoir, l'entrée était toujours présente, mais le pire pour le moral, était que le cadavre du Légionnaire Learchus était toujours là. Son visage traduisant l'horreur qu'il avait vécu en se sacrifiant. Ja'Manil était là aussi, agonisant, laissant réalisé que sans ce passage rapide, il serait mort avant d'être sauvé quand le mystère des gemmes l'emprisonnant fut réglé.

    Mais le choix suivant était l'un des plus difficile à choisir pour les Impériaux. Après les épreuves mentales et psychologiques subies pour arriver ici, ce n'était pas un combat mené par leurs corps, mais par leurs intellects même. La solution de facilité était de détruire les livres et de laisser ce fardeau à ceux des générations prochaines si ils étaient retrouvés une fois réapparut à travers Tamriel. Et après une longue conversation, ils eurent prit le rôle de ceux qui voudraient mettre fin à tout ça, en posant les grimoires sur le socle, pour achever une invocation bâclée. Au plus profond de la tanière, à où du magma, la chaleur devient fraîcheur. La lave devint une eau, aussi irréelle que lumineuse. Et au dessus de celle ci, le Dévoreur du Sous-savoir émergea de la Prison-Noyée, tuant Ka'gran apparue pour comprendre ce qu'il se passait. L'accusant d'une invocation sans la puissance nécessaire, il goûta quand même à la joie d'être dans le monde mortel, et s'en déroula l'un des combats les plus périlleux pour les combattants élites de la IXème Légion. Le résultat fut troublant, et malgré les lourdes blessures, le Dévoreur ne parvint pas à rentrer dans sa cage quand il fut acculé par les actions coopératives des Impériaux. Au devant de l'effroi, et parmi ce qui resterait dans leurs mémoires, comme un traumatisme marquant, ce fut le point final qui laissa Ja'Manil disparaît de nouveau, sa tâche accomplie. Bien conscient qu'un jour, il le retrouveront, mais plus jamais Tamriel n'aura à entendre parler, du Dévoreur du Sous-savoir."
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    06/10/2017
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    "La journée n'était pas spécialement pluvieuse, alors que les nuages lourds chargés de pluies étaient transportés pour la délivrée dans la région de Bangkoraï, tout avait l'air d'une de ses journées habituelles à parler de plan et de stratégie. Ce 06 Fredas de Soufflegivre, les forces Impériales étaient donc concentrées sur le front, tandis que le Praetorian Vendimus discutait avec quelques de ses proches légionnaires pour parler de la situation actuelle. Bien que la fatigue était visible sur ses traits, depuis la chute du Dévoreur du Sous-savoir, avoir éprouvé une nouvelle blessure et le choc psychologique n'était pas une chose qui permettait à quiconque de se relevé facilement. Mais alors qu'elle, Reldan et Ag'matir discutaient de ce qui pourrait être fait, quelque chose vint troubler le repos de la scène. Du moins, repos, il est difficile de se sentir au calme sur le front. Ce n'était pas le campement impérial, avec ses tentes et sa sécurité améliorée, mais les barricades imprécises dressées sur des monticules de boues de fortunes pour faire barrage à quiconque passeraient par le nord. Installé depuis la chute du campement gobelin préparant les araignées blanches, les Impériaux tenaient le front, et rares étaient les véritables escarmouches. Et voilà qu'une débuta à l'aube de la dernière guerre.

    Bien décidé à ne pas être victime, les forces de Krayn vinrent affronter la barrage de la IIIème Cohorte. Ils furent annoncé quand une partie des barricades éclata sous l'impact d'une pierre massive, envoyant virevolté l'un des guetteurs dans un cri aiguë. La poussière s'éleva en même temps que des giclées de boues furent envoyés sur les combattants proches, et les officiers se ruèrent rallier leurs troupes, pendant que le groupe de Vendimus eurent tôt fait de s'installer à la brèche pour voir qui osait s'attaquer à eux. Une sorte de trébuchet de Daguefilante, volé en piteuse état aux forces de Hauteroche, était traîné par un chariot de guerre primitif tiré par deux ours massifs. En avant, se tenait une avancée de guerre furieuse, tandis que les côtés étaient investit par des troupes annexes. Au sud, les archers se préparaient à se livrer à un duel contre les remparts pour les faire taire. Alors que au nord, une troupe gobeline avec de lourd sac voulait pénétré dans la brèche. Et au devant, le massif trébuchet se préparait à attaquer de nouveau. Choisissant leur cible, les Impériaux de la troupe Donovan, avec la Praetorian et ses camarades, partirent en vitesse vers le nord pour porter le combat chez l'ennemi.

    L'affrontement fut violent, tandis que tous se percutèrent, et que l'éclaireur Elecius venait de rejoindre le champ de bataille d'urgence, les Impériaux réalisèrent ce qu'il y avait dans les sacs : Des sortes de fines chopes protégées par d'étranges runes qui ne luisaient pas, mais rendait probable que le bois ne pouvait être rongé par l'acidité à l'intérieur, comme les massifs tonneaux qui avaient été préparés pour tomber sur les troupes tombant dans la brèche. L'un des deux orques réussit à s'enfuir vers l'arrière, tandis que celui qui partait vers l'avant avec un des sacs, fut exécutés par Reldan. Un combat intense eu lieu, où Ag'matir récolta une sérieuse blessure au bras droit. Mais finalement, les gobelins furent décimés, et les sacs sécurisés. Jusqu'à ce qu'ils réalisent ce que l'Orque était parti faire en reculant, quand un tonneau massif s'écrasant au milieu du champ de batailles. Plusieurs gobelins périrent, mais trois Légionnaires de même se mirent à hurler alors que leurs peaux fondaient à cause de l'effroyable liquide poisseux. La situation devenait délicate, alors que la bataille contre la troupe d'Illgrid avait débuté devant le trébuchet.

    Rejoint par les restes de la troupe Donovan, et les quatre camarades de guerres. Ils s'employèrent à empêcher que le conflit ne tourne au carnage. Le trébuchet fut saboté d'une flèche dans le cordage faisant contre-poids, alors qu'un seul des ours fut libéré, et abattu avant de massacrer les troupes Impériales. Les deux orques dirigeant le combat n'eurent de cesser que de railler et se moquer du côté vain d'une telle bataille, mais la IIIème cohorte put lui donner tord en affrontant ses forces avec ruses et astuces, pour passer au delà des pièges et des actes les plus brutales. Finalement, épuisés, les blessés furent traînés vers l'arrière alors que les gobelins privés de leurs chefs, prirent la fuite démoralisés. L'attaque fut un échec, mais le front du nord avait particulièrement souffert. Difficile de dire qui était vainqueur, mais une chose restait réelle : Les troupes Impériales ne pouvaient plus se permettre de tenir un front qui s'éterniserait. L'appel à la guerre est lancé, bientôt, Krayn devra répondre de ses actes devant ceux qui l'ont affrontés pendant des semaines."
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    07/10/2017
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    "C'est devant ses plus grands défis, qu'un homme montre sa valeur. Qu'une femme montre sa détermination. Que les deux, unis, devenant une identité dépassant les frontières physiques : Devenant le Soldat, qui doit montrer sa grandeur d'âme au plus haut du champ de bataille. C'est en ce 07 Loredas de Soufflegivre que les Impériaux de la IXème Légion, les guerriers d'Orsinium de Gro-Torkan, et les fantassins Brétons de Haltevoie mené par le Chevalier-Banneret Dulac, firent front commun de leurs forces respectives pour envahir l'objectif final : Le village Gobelin, au fond de la plaine aux tombes, derrière les nombreux champs de batailles et restes des conflits d'envergures. Après les assauts répétés, et les conflits majeurs, il était temps de mettre un point final au conflit. Et le temps semblait s'accorder à l'humeur et à la nervosité de la scène. Des éclairs parcourant les chaînes de montagnes au nord séparant Havre-tempête des terres de Fendretour. Le grondement du tonnerre se mêlant aux respirations de la IIIème Cohorte en formation de guerre, au côté des troupes Malicornes attendant le départ. Sous les discours des commandants, appelant à la gloire, et à la victoire, ils quittèrent alors les barricades nord, en formation de guerre, marchant en direction de la dernière avancée.

    La route fut longue, sur un sol spongieux qui couvrait les bottes de boues. Les centaines d'armures claquantes sous les mouvements et les effets du vents, laissant tremblés les drapeaux de tissu lourde de la IXème Légion, d'Orsinium et de la Maison Malicorne. Les tambours de guerre résonnant, frappés par les instruments des aides de camp suivant la marche, leurs besaces médicales surchargés, conscients qu'elles seront que trop utilisés cette nuit. La route fut longue, plus encore parce qu'ils savaient tous dans leurs instincts, quel en serait le résultat à sa finalité. Une heure, si ce n'est plus, de hurlement en échos et de ruées puissantes. Une minute devenant une éternité, et la pression avant le conflit n'était qu'à peine effleurée par les chants et les prières sur la grand route. Jonchant un passage couvert de quelques cadavres abandonnés, caravanes brisés, et restes des escarmouches précédentes, ils arrivèrent alors devant l'ancien village bréton conquit il y à longtemps de cela. Désormais, ses remparts étaient parcourut par les créatures piaillantes et ricanantes. Insultant les troupes au loin, agitant des hideux étendards fait avec de la peau humaine. Les salves de flèches des Malicorne furent efficaces un temps, jusqu'à cela devienne un duel avec leurs propres archers. La position devenant intenable, il était grand temps de prendre le contrôle de ce village.

    La charge fut brutale, alors que les Impériaux tenaient une formation en avant, aux côtés des troupes de Dulac. Épaules contre épaules, ils durent brisés la formation de ligne quand les barricades empêchèrent de maintenir la cohésion des troupes. Alors que les pièges des Poignes de guerre furent déjoués par l’efficacité des troupes Impériales et Brétonnes, le combat devint un acharnement de hurlements et de troupes dispersés à devoir se battre dans tout les côtés pour brisés l'ennemi et avancé avant que l'adversité ne les submerges. Les cibles étaient simples : L'énorme gobelin brandissant son fouet, la baliste volée, et autres pouvant faire pencher la balance. Le Seigneur Dulac du être protégé d'urgence quand un Orque se mit en tête de l'abattre après un tir de baliste à côté de sa position, mais le mage de guerre Bréton le foudroya avec puissance. Le temps passait, et le vacarme du champs de batailles diminuait lentement à hauteur des divers actes acharnés de certains. Le gobelin au fouet fut finalement égorgé par Arnornn Sand, tandis que la baliste fut détournée par Reldan Cyress. Au final, les Impériaux prirent position, et les formations furent de nouveau présente. La discipline reprenant rapidement acte après la furie des combats presque incompréhensibles à causes du chaos de la charge, et l'urgence de la bataille enragée. Il restait cependant l'objectif final.

    Tandis que les troupes s'éparpillaient dans le campement après la mort du « Roi »-Gobelin d'un tir de baliste, le fier drapeau Impérial était dressé au dessus des troupes conservant les positions. Les catapultes impériales abattant des portions de murs de bois en écrasant les archers gobelins ayant survécu. Krayn et son élite luttait contre l'élite de la IXème Légion en retour. Les blessures s'accumulaient, et le Sergent Alfoncius trouva la mort, sa troupe décimée par les orques les plus acharnés de Krayn, avant que le Général Gro-Torkan ne charge avec ses ours en plein contre eux. Après une lutte acharnée, le Légionnaire Roland Draconis planta son glaive dans la faille de Victus pour empalé le chef des Poignes de guerre. Tandis que celui ci chutait lentement au sol, la victoire semblait être acquise. Les couleurs Impériales, Brétonnes et d'Orsinium dansant au dessus de ce qui fut la bataille la plus acharnée de toute cette guerre, depuis le conflit pour le campement avancé de Gruk, et la bataille du totem Putride. Le soulagement d'une fin de bataille apparut dans le cœur de tout les combattants. Ce soir là, tous furent bercés par ce sentiment diffus envahissant n'importe qui dans l'instant : ça y est. La guerre contre les Poignes de guerre est enfin finie."
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    08/10/2017
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    "Ce 08 Sundas de Soufflegivre, ce fut une journée tranquille. Les cargaisons Impériales traversaient tranquillement la route pour être ramenés vers le Fort de Forge-Gloire pendant que les Brétons furent successeurs des anciens acquits de la IXème Légion sur le champ de batailles. Les troupes de réserves eurent tôt fait de prendre la relève dans la surveillance des lieux de conflits, et le plus gros des troupes purent rentrer prendre du repos bien mérité et des soins appropriés. La guerre était derrière eux, même si de nombreuses autres conflits les attendaient dans l'avenir. Lors de cet si rude interrègne, ce n'est pas les raisons de guerroyer qui manquent. Dans l'instant, l'esprit était plutôt à la fête, alors que le Corps de Krayn fut récupérer par les guerriers d'Orsinium, cadeau de la Légion envers leurs alliés Orques pour bannir la trahison des Poignes de guerre. Forge-Gloire était alors en pleine fête, qui durerait quelques jours, jusqu'à Middas prochain pour se remettre d'autant d'efforts. Et pourtant, alors que les soldats festoyaient, la Praetorian quitta le fort avec quelques élites de la Légion et un Dunmer inconnu.

    Cheminant le long de la grand route, ce fut un voyage sous une pluie légère. Ils n'usèrent pas leurs forces, déjà éprouvés lors de la dernière bataille. Krayn et le Dévoreur restant des marques dans leurs esprits et la vigueur n'était que peu présente, les nombreuses courbatures les contraignants aux minimums dans leurs mouvements. Chevauchant jusqu'au Village de Garancia, celui ci était en train de préparer une festivité annuelle au même jour que celui d'invocation de Malacath. Pour que la Bénédiction de Kynareth tranquillise les esprits de ses dévots et des habitants pour l'année, sans jamais que l’influence des anciennes statuettes du Dieu des Parias et de ses ambitions de vengeances. Les Impériaux avaient entendu parler de désordre, de trouble, bien que les informations étaient quelques peu grossièrement agrandies par les rumeurs et les échos. Et ainsi, les chevaux des impériaux furent laissés de côté, pendant qu'ils se joignaient à ce qui ressemblait à une réjouissante pour interroger et comprendre ce qu'il se déroulait donc, et comment un soucis avait-il pu apparaître de manière suffisante pour avoir été entendu jusqu'au Fort Impérial.

    Roland et Elecius prirent le temps de discuter avec le Prêtre de Kynareth pour en apprendre plus, leurs cheminements les fit découvrir la raison d'une telle bénédiction, après la libération du lieu par Hauteroche et la reconstruction par Garancia, pour rejeté la haine. Ils furent tout de moins à la recherche d'une dernière statuettes, et purent faire la rencontre d'Ogrum, un orque agacé qui traînait à côté de la forge, sans savoir ce que cela changerait toute la suite de l'histoire. Ishtyh,Shayafe et Mhelk eux découvrirent le fin mot de l'histoire : Une petite fille avait été retrouvé à côté de l'étable, se vidant de son sang après s'être coupé d'elle même avec une dague pour trancher le fromage. Enquêtant, inspectant, ils discutèrent avec l'Altmer s'occupant de l'écurie, celui ci évoquant l'histoire des pleurs fantômes apparaissant ce jour de l'année. Retrouvant leurs camarades, les impériaux firent trouve vers la trace de sang, qui petit à petit se joignait à celle des larmes d'un échos lointain.

    Isolé dans un petit bosquet, se tenait un esprit. Celle d'une orque, se tenant devant le dernière Autel de Malacath ayant survécu aux brétons. Après avoir raconter son histoire, et l'audace de la petite fille à vouloir l'aider, avant qu'elle ne parte en criant à cause de la peur de s'être blessée, Ogrum apparut. Celui ci menaça les Impériaux avec ses camarades, de ne pas faire de mal à l'autel. Gruk, l'ancien camarade de Krayn trahit par se dernier, était présent lui de même. Il offrit le prix du sang pour ses crimes face à l'autel, devant Roland, pour invoquer celui dont le jour été destiné. Contrairement aux autres jours, à cause des efforts des bénédictions de Kynareth, l'appel fut entendu, et l'Orque abandonnée là depuis des années, put partir accomplir ses épreuves et mériter de reposer auprès de celui ci. Ce fut une affaire bien étrange, pour les Impériaux se retirant vers Forge-Gloire sans avoir eu besoin de combattre. Et pourtant, rassurés, ils eurent le temps de se reposer. Alors que l'autel lui disparaissait des souvenirs, protégés par Ogrum et les siens."
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    10/10/2017
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    "Le 10 Tirdas de Soufflegivre, fut encore sous le repos pour la Cohorte. Le repos avait été mérité. Bien que plus n'aurait pas été de refus, la plus part des légionnaires se délectaient de pouvoir se détendre depuis deux jours après la bataille majeur pour abattre Krayn. C'est dans la même ambiance tranquille, qu'une troupe Impériale quitta néanmoins Forge-Gloire, avec la Praetorian à sa tête. Tout n'avait pas été achevé, avant le départ vers le Glénumbrie, et il fallait encore s'assurer qu'une voix ne pouvait plus élevé le désordre en Fier-croyant. Le territoire n'était toujours pas en réelle sécurité à cause d'une unique personne qui aurait pu provoquer un désordre tel que les terres auraient été de nouveaux ravagés par les gobelins menés par les Poignes de guerre. Le traître, Armand Holand des épées, de la noblesse brétonne, avait encore une place en geôle qui l'attendait. Jusqu'à ce que la corde puisse pendre autours de sa gorge, en acclamant l'idée de ne plus être oppressés par un tel parjure. Alors que partout, sa réputation était enflammée par les discours de ceux n'ayant plus à subir ses complots et ses volontés de destructions, il était désormais temps de lui mettre la main dessus directement.

    Alors que derrière, quelques rires et autres sonorités moins gracieuses résonnaient dans la forteresse impériale, les cavaliers continuèrent la troupe vers un lieu isolé du champs de bataille dévasté. L'endroit n'était pas aussi frai que les ravages laissés après les combats contre les forces de Krayn, mais remontait au siège de ce qui était encore le Fort de Vifespoir, avant la juste du Centurion Maernius de la XIème Légion Impériale. Le terrain avait été écrasé maintes fois par les bottes, les roues des catapultes, les sabots des chevaux de cavaleries. Et les corps, nombreux, entassés pour récupérer un tas de pierre brisée qui servirait alors de lieu de repos et de préparation pour les rebelles des Valérius. C'est un bien triste lieu qui fut laissé derrière eux, parce qu'il n'y avait rien à exploiter ici. Ni la terre, ni l'espace pour installer des citées ou des demeures paisibles. Il n'y restait de toute façons que les os et les morceaux rouillés qui n'avaient pas encore été dépouillés. Jugés inutiles, même pour ceux pillant et vivant dans les ruines. A une trentaine de minutes de là, restait des pierres d'une ancienne bâtisse brisée dans la violence des combats, lorsque les Impériaux furent contraint de s'y replier et de subir un véritable déluge des catapultes adverses. Désormais, il y avait des tentes pouilleuses, et les habitants regardaient avec inquiétudes, les cavaliers impériaux s'arrêter chez eux.

    La recherche fut fructueuse, alors que Reldan, Ishtyh et Vendimus discutaient avec un gros Bréton en habit correct s'occupant d'un tableau d'affichage, Roland fit sa demande habituelle d'aller voir les femmes du coin en compagnie de Nyli et Elecius. Ensembles, ils purent récupérer les informations sans avoir besoin de faire couler une goutte de sang. Tandis que le Bréton avait finalement accepter de parler de qui lui donnait les contrats et la manière de celui ci de se signaler. Tandis que les autres eurent découvert l'emplacement de la cachette du vieux tombeau des Holand des épées. La clé, et la porte, furent découvertes. Alors qu'un Orque fut écarté du chemin en lui fournissant l'or qu'il aurait du gagner en surveillant l'endroit, une fois de plus la situation fut tranquille, jusqu'à l'intérieur de la vieille crypte des Holand des épées.

    Celle ci fourmillait de différents pièges. Enflammés, des pointes empoisonnés, et nombreux encore qui ne furent découverts par les Impériaux, épargnés des piques, de l'acide, des insectes dévoreurs et des chausses-trappes. L'endroit était véritablement infesté de moyens de mourir divers et variés, et plusieurs personnes furent retrouvés captives. Le Chevalier Lamal Beaudurich avait été enfermé et libéré en premier par les Impériaux, et dans la salle de torture, Lepetit du vieux corbeau mauve, un ami du vendeur de pomme Bernard, et le Légionnaire Karvo croupissaient, torturés. Après être tombé dans un piège de plus, et bousculés dans la salle avec brutalité. Le combat qui suivit contre la garde personnelle de Armand, qui fut réglé avec une grande difficulté et la nécessité de protéger Elecius inconscient. Devant sa haine débordante, ses accusations, et la colère de l'ancien noble s'abattit sur les Impériaux, avant qu'il soit neutralisé avant qu'il ne tue les prisonniers. Emprisonnés, et prêts à être envoyé pour Haltevoie, l'initiateur de la haine depuis des mois fut enfin arrêté. Et au bout de la route, la Paix en Fier-Croyant, avant le départ pour bien d'autres péripéties."
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    12/10/2017
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    "Le repos ne pouvait être éternel. Malgré l'attente des festivités de Soufflegivre offrant une certaine impatience pour avoir des raisons de rires et chanter, ce n'était pas encore le moment de cesser séant toutes activités pour s'écraser dans les chaudes fourrures et le sommeil réparateur. Ce 12 Turdas de Soufflegivre, alors qu'une grande partie de la cohorte observait la trentaine de camarades se préparer au départ, les grandes caravanes avaient été mises en places pour la longue route qui les attendaient. Sous les rires, les prières et les chants, le départ se préparait avec une ambiance festive, au moins était-ce cela pour survivre aux longues heures de routes et aux repos de fortunes là où ils pourraient faire de courtes haltes. Néanmoins, c'est avec une certaine bonne humeur, poussé par les derniers efforts pour trouver la vigueur de se mettre en route après les festivités de rigueur, et les dernières missions de maintient des lieux. C'est avec l'impression d'avoir achevé quelque chose, que la IXème Légion commença à quitter Havre-Tempête, sous les prières du reste de la IIIème Cohorte qui suivrait petit à petit.

    Une longue route, de pratiquement onze heure dans la journée, avant que les lueurs nocturnes ne s'approchent et que le crépuscule fut suffisamment présent pour que les torches soient brandies pour poursuivre le cheminement vers la terre les attendant pour les nombreuses péripéties à venir, dans de nouveaux enjeux. Mais ce n'était pas encore de rigueur, il s'agissait d'explorer une dernière fois la beauté des contrées environnantes de la grande Haltevoie. Après le passage devant les fermes qu'ils eurent connue, recevant quelques cadeaux en pommes et fromages enroulés dans des tissus, dont certains n'étaient peut-être pas tout à fait frais. Heureux de la reconnaissance accordée, ils eurent poursuivit des routes plus moroses, et toujours dans la fatigante hauteur des différentes montées et descentes de Hauteroche. Mais cela n'ébranla pas la bonne humeur des troupes qui chantèrent en massacrant quelques chants de joies des légionnaires en marche. Au moins la motivation et le moral paliaient à leurs lacunes en poussant la chansonnette. C'est après un long trajet, qu'ils purent faire une halte, quand ils tombèrent sur un certains Hector Longdunez, dont la caravane avait été volée et saccagée. Pendant que les officiers discutaient, les troupes se reposaient, sans savoir dans quels soucis ils allaient tomber.

    Cela commença après le retour des éclaireurs, quand Shafaye décocha une flèche dans une silhouette en hauteur. Celle ci répondit d'un braillement aiguë, pendant la conversation. Et l'instant d'après, le ciel s'embrouilla des nombreuses créatures ailées tournoyante autours du convoi. Hector fut récupéré par l'une des harpies, et envoyé vers le Bois inspecté censé caché les brigands l'ayant détroussé. Elecius, sont sang ne faisant qu'un tour, se rua en avant. Le Sergent Ishtyh s'occupa alors du déroulement de la mission, avec les Légionnaires Draconis et Tyzérias. Poursuivant dans le bois celui qui avait été enlevés, tandis que la Praetorian, Reldan et Shafaye furent en tête de la trentaine de Légionnaires assaillit par les airs, et rapidement par la terre quand la vingtaine de brigands hurlants se jettèrent sur les troupes de différentes façons. Des combats acharnés eurent lieux, et les pertes s'accumulèrent. Cinq Légionnaires furent tués dans l'assaut, assaillit par des hommes enragés comme sous l'effet de drogues étranges, alors qu'un homme à la coiffe d'aigle, agitait son encensoir derrière les troupes. Tandis que du côté du groupe d'intervention, après avoir défait les gardiens de la hutte, ils firent face à une éblouissante harpie au plumage blanc. Une « fille de la Mère Aviaire. ».

    Après les combats pour repousser l'adversité des assaillants, les forces Impériales purent abattre les guides des brigands par l'intervention de Reldan et de Vendimus, au cœur de la mêlé. Épuisés et blessés, ils virent les Brigands perdre toute velléité, quand l'encensoir fut brisé au sol, et fuir dans tout les directions en paniquant. Comme si ils avaient perdu tout espoir de lutter. Une fois la Harpie blanche décapitée par le nordique Tyzérias, malgré les lourds dégâts subit par la troupe d'intervention. Notamment l’œil gauche de Roland Draconis, un lourd tribus pour ce combat acharné. Hector fut libéré d'une sorte de nid, décoré par des colifichets écœurants, et des cadavres d'hommes aux bras pendants cloués par des dagues de fer contre les parois. La puanteur était insupportable, autant que les visions. De retour avec le pauvre bougre, avec de nombreuses questions en tête, les Impériaux purent reprendre la route avec les blessés, ayant perdu plusieurs affaires pendant l'attaque, et ayant gagné de nombreuses interrogations sur ses fameux brigands emplumés."
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    13/10/2017
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    "La route était encore de rigueur, en ce 13 Fredas de Soufflegivre, mais le jour était appropriés à ce que les Légionnaires s'amusent sur la route à se raconter divers histoires d’effrois à partager pour ceux les plus sensibles ou encore sous le choc des batailles passés. La discipline allégés par les festivités, et le voyage plus calme en direction de la Glénumbrie. L'attaque des Harpies n'avait pas vraiment été un événement joyeux, et certains ruminaient encore la mort de certains de leurs camarades, mais il était temps de passer outre, et d'aller de l'avant, c'est ainsi que les troupes de la IXème Légion poursuivirent la route, après un repos agréable dans une petite ville dont le nom avait déjà été oublié sur le chemin. La journée était plus tranquille, et après un repas agréable sur le voyage dans les prières et les conversations, ils vint le moment des nombreuses heures de marches, épuisantes et éreintantes, jusqu'à ce que Magnus ne soit suffisamment proche du crépuscule pour parler d'une nouvelle halte avant de reprendre la route. Au loin, s'y trouvait une scirie de plus tranquille, avoir l'espoir d'y trouver un peu de repos.

    L'endroit semblait animé, tandis qu'il s'y préparait une festivité locale jointe avec le culte de Kynareth. Tout les ans, s'y déroulait à ce moment là, le feu d'une effigie dédiée à une femme surnommée la « Dame ricanante », pour chasser un mauvais esprit ayant plusieurs fois provoquer bien des tords ici même, en possédant une femme tout les ans, pour essayer de mettre le feu au village. Depuis, le culte de Kynareth à intervenu, et prépare cette offrande pour que les vents de la déesse éloigne l'esprit et qu'il ne possède personne. Très populaire, tout le monde se préparait aux prières nocturnes et aux rites de la déesse des vents. Toutefois, tout ne semblait pas aussi commun que l'habitude, au vue de la jeune fille colérique à l'entrée du village, et du problème avec un jeune rougegarde plus loin. L'objectif était de trouver un moyen de concéder un lieu de repos aux Légionnaires impériaux, mais ils eurent avant tout à partir discuter de ce qu'il pouvait bien se passer ici, et de la raison pour laquelle il y avait du désordre. Interceptés par une couturière locale, qui évoqua la disparition d'un certains Kendrick Lemoine, les Impériaux furent alors en enquête inattendue, malgré la fatigue occupant leurs esprits.

    Lenors s'occupait de discuter avec la populace, en ayant pu s'entretenir avec une grasse Orque s'occupant du débit de boisson local, plutôt miteux, mais aux alcools puissant attirant les mercenaires locaux pour s'affronter dans des beuveries à base de Tourbefer qui en assomme souvent plus d'un. Cela le conduit à la rencontre de Sandra Lemoine, ayant été conviée à rejoindre sa cave, pour la suite d’événement plus obscures encore. Nyli et Ishtyh eurent prit soin de s'informer sur les coutumes de la Dame Ricanante, et les raisons de ce rite. C'est auprès de la dame de l'écurie, Brina, qu'elles eurent acquit un étrange objet. Un collier, ayant l'effigie de Peryite, qu'elle s'était vue offerte par un colporteur Khajiit. Tyzérias eut l'enquête la plus âpre, en fouillant la forêt après avoir arrêté la dispute avec le jeune bûcheron refusant formellement d'aller chercher du bois. Et à bonne raison de l'énorme araignée qui est tombé sur le nordique pendant sa fouille. Luttant, et triomphant au péril de sa vie, il revient avec l'image d'un être sombre et glorieux avec des bûches, et le cadavre du bûcheron malchanceux, le déposant aux pieds de tous. Ce qui deviendra plus tard, une des histoires d'horreurs populaires dans ce coin là. Réuni vers la demeure des Lemoine, il était temps de découvrir ce qui se tramait ici réellement.

    Après une inspection de la cave, où Sandra avait été conviée par sa propre fille, les Impériaux découvrir un passage à l’effigie de l'entité Daedrique, Mephala. Voyageant à travers un passage secret, ils finirent tout en bas du Puits abandonné au dessus duquel se préparait l'effigie de la Dame ricanante. La jeune fille découverte à l'entrée été là, ainsi que son propre père : Kendrick Lemoine gisait par terre, mort, en sous-vêtement. L'endroit était recouvert de nombreuses bougies, d'encens érotiques, et de la statuette de la Dame des murmures au milieu. Ayant échouée, alors même de son invocation, et de ses offrandes au Jour de l'invocation, la petite fut punie pour son arrogance. Et se transforma avec violence en une sorte de buste de femme, sur un corps arachnide. Luttant avec acharnement, alors que l'effigie fut enflammé, des cendres et des morceaux de bois tombant dans le puits. La fumée se lève à la fureur du conflit, et les Impériaux s'extirpèrent après la chute de la créature, avec moult difficultés. Envoyant une missive à la guilde des mages, pour scellés le lieux, il décidèrent de partir pendant le début de la fête, et de ne pas ébruité une telle affaire. Encore une noirceur sur le chemin, épuisante et dangereuse. Surtout pour l'esprit, dans une nouvelle épreuve d'horreur."
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    14/10/2017
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    "C'est après une longue route que les Impériaux purent finir le voyage pour retrouver le campement les attendant. Arrivé ce 14 Loredas de Soufflegivre, dans une vieille place forte utilisée pour repousser une attaque Rougegarde il y à une vingtaine d'année de cela sur la rive de Franchehorizon. Réhabilités en vue des soucis apparaissant dans la région, depuis la destruction d'une ferme au nord de Eaudouce par les forces sécessionnistes du Serpent protecteur. Préparé par les forces Brétonnes qui accompagneront les troupes de la IXème Légion autant pour la surveillance que pour le relais diplomatique. Éreintés après la longue route, avec ses nombreuses péripéties en chemin depuis l'attaque des harpies, jusqu'à l'enfant folle et ses prières envers la Dame des murmures, la IIIème Cohorte, ou du moins une partie, arriva alors au campement qui servira de foyer aux impériaux pour la durée de leur séjour dans la Glénumbrie. De nombreuses tâches les attendent, et des péripéties. Mais ils ne s'attendaient pas vraiment à ce que les ennuis débutent dés le début. A peine aux portes du campement, pendant que les caravanes s'installaient avec les troupes, que l'Intendant Davian, un petit Bréton avec de fière moustache, leur fit la requête de partir enquête sur le meurtre d'un messager important.

    Ainsi, une petite troupe Impériale fut envoyée pour inspecter les lieux. Après une vingtaine de minutes de marches, ils eurent trouver la scène : Un chariot renversé sur le côté, des nombreuses tâches de sang remontant en une piste visible, un chasseur benêt attendant sur le côté, et quelques autres traces qui seraient peut-être visible ici et là. Almeth Bale la trace sanglante, pendant que les autres inspectèrent les lieux. Ce fut laborieux, mais au moins utiles. Arnornn et Roland trouvèrent une vieille dague brétonne ainsi que l'emplacement de la mort. Celui ci avait été écrasé par une flèche, et n'avait visiblement pas été bougé avant que le corps ne fut récupéré par les impériaux envoyé par Davian. Shafaye trouva un autre chasseur, et avec Ishtyh et Til Adyn, constatèrent qu'ils récupéraient des flèches elfiques perdues. Les interrogations se bousculèrent, surtout quand l'un des chasseurs avoua avoir vu des hommes avec des plumages s'attaquer avec les dites flèches. Malgré l'incompréhension, ils rejoignirent Almeth qui avait finalement trouver une demeure plus loin où le sang menait. Une demeure renfermant la garde de l'ambassadeur Cirmo, du Domaine Aldmeri.

    Plutôt que d'attaquer la demeure, en hurlant, les Impériaux menèrent l'enquête, et les informations de Bale se révélèrent juste. La conspiration visant à envoyer une troupe abattre les Altmers n'avait pas porté ses fruits, autant que Tyzérias et Shafaye débusquèrent les guetteurs dans l'orée du Bois des longues foulées. Dans des nombreuses interrogations, et transportant les prisonniers, ils finirent par laisser en paix après une conversation les quelques Gardes de l'ambassadeur dont il avait évité un conflit sanglant et peu porteur de bonnes choses en réalisant la situation diplomatique et qu'il s'agissait de l'ambition de ceux ayant accomplit cette mise en scène. Las des complots, les Impériaux décidèrent d'agir avec force et rapidité : Réunissez la troupe, ils suivirent la piste du Chasseur qui les guida vers le campement des assaillants.

    Ainsi, un conflit violent éclata. S'attaquant aux brigands de la Mère Aviaire ayant accepté d'accomplir la funeste tâche, les forces élites de la IXème Légion usèrent de différents artifices pour s'abattre sur l'ennemi sans avoir à subir les traits d'une qualité elfique dans les scutums ne pouvant les arrêtés efficacement. Grâce aux manœuvres, ils arrivèrent au cœur du combat, et la mêlée fut d'une grande intensité. Après les différents coups, et retournement, qui finirent pas une légère conclusion, les cinq prisonniers restant furent récupérés. Quatre ayant eut le temps de fuir, et le reste, gisait au sol. Massacrés dans l'attaque. Le chef à la coiffe d'Aigle comptait parmi les captifs, sécurité par Victus Vicci, Arnornn Sand lui revint avec les informations sûres ayant échappées aux flammes de la tente du chef des bandits. Alors que tout été achevé, la bourse retrouver fut confiée à la Praetorian, l'ouvrant pour découvrir l'intérieur, elle fut brusquement piquée par la bête à l'intérieur. Un scorpion sombre, avec des tâches vertes, qui fut écrasé par une botte d'acier. Laissant l'officier impérial s’écrasa au sol. Et bien que sauvée par les soins hâtifs de ses pairs, les nombreuses questions se bousculèrent, résumant cela en un seul point : Quel sinistre cabale se tentait déjà à provoquer un chaos diplomatique en Champsrepos ?"
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    15/10/2017
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    "Le 15 Sundas de Soufflegivre débuta avec morosité dans le campement Impérial. L'automne devenait de plus en plus froid, et une nouvelle tâche incombait aux aides de camps : S'occuper des feuilles mortes envahissantes en de petits tas installés dans des coins isolés. Quelques toux se faisaient entendre, alors que la vie de camp la plus banale qui soit s'installa peu à peu. La Praetorian fut visible dans l'après midi, après les traitements adaptés, depuis son empoisonnement inattendu après la dernière mission d'enquête et de rétribution sur les mercenaires de la Mère Aviaire. Prenant le temps de souffler pour la journée, tous pensèrent avoir le droit à un temps de repos, alors que Champsrepos ne portait définitivement que trop mal son nom. Les champs, il y en avait, mais le repos n'était pas vraiment de rigueur. Et le crépuscule venant, cela serait une nouvelle fois confirmé par les derniers problèmes qui eurent frapper la IXème Légion, alors que tout le monde se reposait, quand arriva un cavalier paniqué au cœur du campement.

    La situation était simple : Le second acheminement de la IIIème Cohorte avait eu moins de chance encore. Malgré leurs difficultés, la première parvient à arriver, mais d'après la description rapide du jeune éclaireur complètement paniqué, les autres n'auraient aucunes chances de parvenir à réussir quoi que ce soit, à cause de la nature du problème. Une forte troupe de l'Ordre du serpent protecteur avait réussi à encerclé les troupes de Dracinius et D'irshte pendant leur voyage vers le campement Impérial avec une catapulte et de nombreuses affaires. Ceux ci furent assaillit par une troupe de fantassins brétons portant le drapeau du serpent enroulé autours de l'épée, et frappé contre leurs cuirasses, laissant à peine le temps à un messager de passer, les deux autres happés par les flèches des archers, s'écrasant plus loin au sol. La bataille tournerait rapidement au carnage, alors qu'ils transféreraient les survivants vers le chariot-cage renfermant déjà de nombreux paysans captifs. Du moins, tel aurait été le résultat, alors qu'après une farouche résistance des forces Impériales, la cavalerie arriva.

    Sous les hérissements des chevaux, l'expertise des fantassins du Serpent les firent réagir immédiatement et tendre les lances sur le point le plus fort pour contenir la ruée, dans des ordres clairs, et réactif. Néanmoins, dans l'inattendu, Reldan créa le chaos en permettant à Arnornn de diriger la cavalerie s'écrasant sur un flanc de la formation du Serpent là où ils étaient fragiles, créant un point d'ouvrir pour rallier les autres fantassins Impériaux. Ainsi, la tournure de l'affrontement prit un tout autre sens, et le vacarme de la bataille n'en devient que plus tonitruant. Les armes étaient confrontés, dans les divers actes de bravoures, pour se protéger les un des autres, et affronter un ennemi aussi fort et entraînés qu'eux. Ce n'était plus des gobelins piaillant et ricanant. Ce n'était pas des adversaires faibles, contrôlés par des combattants bien plus entraîné. Les épées contrant les scutums, et les hurlements de guerre mêlés à ceux des blessés, tous trouvèrent leurs objectifs pour diversifier leurs affrontements et les effets sur le cours et le résultat de ce combat déchaîné. Désormais, il était temps de se battre, pour sauver les villageois, et leurs camarades tombés dans l'embuscade. Ce fut la première véritable bataille pour Champsrepos.

    Ishtyh et Shafaye étaient au sud, les agents tentant de saboter la prise de la catapulte Impériale. Le résultat furent minimum, au vu de l'acharnement de ses protecteurs, repoussant les tentatives des deux agents, jusqu'à les mettre en danger. C'est toutefois avec une catapulte abîmée, qu'ils s'échappèrent finalement, peut-être pas utilisable avant longtemps. Tyzérias et Reldan eurent lutés pour sauver les villageois de la caravane. Après bien des difficultés à les rattrapés, ils eurent à subir un combat déchaîné pour briser les protecteurs, pendant que le Sergent s'enfuyait devant l'acharnement des impériaux. Les villageois furent sortit, à l'instant où le chariot prit feu à cause du sabotage des Brétons. Trois des villageois ne s'en sortirent pas, sur la quinzaine sauvés, dévorés vif par les flammes, gravant dans l'esprit de Tyzérias, la marque de la plus grande atrocité capable de l'Ordre du Serpent. Le Sergent Sand, aux côtés de Roland Draconis et de la Praetorian, brisèrent l'ennemi en les forçant à la retraite. Les forces Impériales furent diminués, autant que celles de l'Ordre, et à la mort du Chevalier Olion, le conflit cessa. Une victoire coûteuse, et moralement très rude à porter. Alors que les Impériaux purent rentrer au campement, prévoir un nouveau conflit, dans la morosité de l'instant, après le départ de Tyzérias, laissant l’amertume dans le cœur des Impériaux. Mais aussi une colère. Une immense colère, contre le Seigneur Sebastian Lark, et ce qu'ils ont fait."
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    16/10/2017
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    "Le 16 Morndas de Soufflegivre, depuis le sanglant combat de la caravane impériale, une sombre ambiance avait accompagné les Légionnaires blessés gémissant et la dispute de la tente de commandement. L'aube fut une nouvelle fois ennuyeuse, alors que tous essayaient de faire perdre à leurs tympans l’écho des plaintes des blessés. Sorti de la boue et des piaillements Gobelins, et les voilà déjà au devant de la brise mortuaire et des embuscades mortelles. Après les dernières violences, la Cohorte resta à penser ses blessures, tandis que les troupes les plus fraîches s'occupaient des patrouilles pour s'assurer que les villageois de Champsrepos n'étaient pas encore fait captif par les ennemis de cette contrée. Mais alors que le calme assurait un état stable à cette journée, une missive arriva pour le camp Impérial. Une demande à l'aide, provenant d'un bûcheron local ayant vu un enfant se faire enlevé vers l'intérieur du Bois de la Grenouille. Épuisé mais pas important, un petit groupe de la IXème Légion fit mouvement vers le nord, malgré les dernières malchances, pour rejoindre l'endroit dans la crainte de retrouver des rôdeurs du Serpent continuant leurs méfaits en cachettes.

    Ce fut une route rapide, mais pas des plus simples ni tranquille. Le vent soufflait avec hardeur à la même mesure que le soleil se glissait à travers les montagnes de Hauteroche pour disparaître dans une nuit naissante. Trente-sept minutes de marches, le temps de contourner le fleuve offrant une eau scène aux Impériaux, mais leurs pas trouvèrent l'orée du Bois aux Grenouilles. Un bûcheron les attendait, l'air un peu ahurit, et agita la main vers eux pour leurs donner les détails de ce qu'il s'est passé, bien que particulièrement évasif. Passant outre son aspect d'*** du commun, ils entrèrent dans le Bois, et purent déjà profiter de la vue. L'endroit ne ressemblait en rien au Bois d'Horkan, qui était typique de la nature du territoire. Là, tout semblait plus profond, noueux, mais enchanteur. Des flaques nombreuses et des étangs, parsemés de grenouilles errantes et bruyantes. Toutefois, ils ne purent apprécier le spectacle bien longtemps, en comprenant que le passage se fermait derrière eux sous un amas de lianes bloquant la sortie. Le Bucheron les railla, annonçant qu'il serait grassement payé pour les avoirs conduit vers le Bois maudit ayant fait périr une dizaine de personnes. Coincés, ils ne purent alors que s'aventurer dans cet endroit bien plus sinistre qu'il n'y paraissait.

    Arrivés dans un coin isolé, une lueur bleuté les attira sur une légère colline autours des flaques et des racines. Dessus, s'y tenait une fleur magnifique et irréelle, autours de laquelle trois socles, dont une brisée, l'entourait. Le mystère fut résolu après plusieurs temps de difficultés et de compréhensions : Trois sphères de la même couleur que la fleur, se trouvaient dans les arbres étranges environnants. L'un exigeait de répondre à son énigme en trempant ses racines d'eau :Après avoir rechercher quel était la source de Tout. Dra'Kalhen et Victus eurent réussi à résoudre l'énigme de l'arbre mordant, dont il s'agissait de comprendre quel était la voie la plus préférable, entre l'esprit et le cœur, avant de parvenir à choisir les deux. Et finalement, ce à Lenors, de briser les liens des racines pourrissantes autours de l'arbre malade, se ratatinant au sol en dégageant une puanteur infecte et un amas d'insectes rampants et fuyants la zone d'impact. Toutes les sphères furent rassemblées, malgré tout, et installée dans leurs socles. Cela semblait achevé, si la fleur bleu n'avait pas éclaté, ses pétales virevoltant dans tout les côtés, pendant que du socle brisé, sortant une immondice étrange. Dont la présence même commençait à corrompre la terre environnante.

    La panique s'empara des Impériaux, glissant sur un sol couvert de racines s'agitant dans tout les sens. Après un instant à penser qu'il serait mieux de détruire l'entité, les plaintes comme un vieux bois craquant, ressemblant à l'agonie d'un vieillard à la voix brisée, changea les plans des Impériaux : Ce n'était pas un instant digne d'un massacre, car cela aurait pu avoir des conséquences dramatiques. Ils firent finalement ce que peu auraient pu prendre le temps de faire : Réunissant les pétales de la Fleur brisé, l’écho du maléfice incompréhension s'estompa, et la Chose devient Arbre, un bel Arbre au feuillage rouge, à l'emplacement de la fleur, régnant sur cette partie du bois comme un enchantement égaré. Après la rencontre de la Wyresse libérée, Delphia, les troupes Impériales quittèrent rapidement les lieux pour se reposer, et ne pas tomber sur un danger supplémentaire, même si les questions étaient maintenant nombreuses. Qui, quand, quoi, où, et surtout, Pourquoi le Bucheron mercenaire a été retrouvé mort, de profonds sillons le long du torse, et cette expression effrayée à l'orée de la forêt ?"
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    17/10/2017
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    "Dans la soirée du 17 Tirdas de Soufflegivre, les Impériaux eurent une nouvelle épreuve de force contre une adversité tenace. Les dernières interrogations quant à ce qu'il s'est passé dans le Bois de la grenouille soulevait encore des troubles dans ceux qui avaient vécu cela. Ainsi que dans les rumeurs sur le Légionnaire Victus revenu torse nue de cette affaire de tentative de meurtre tout à fait originale. Le campement vivait l'un de ses jours communs, et espérant bien que cela perdure quelques jours supplémentaires avant d'être renvoyés combattre avec acharnement. Mais les conversations bruyantes des tacticiens et officiers Impériaux ne présageait rien de bon. Au petit matin, les éclaireurs et patrouilleurs revinrent avec des informations clairs : La ferme des Burrins aurait le droit à une petite visite de la part des forces de l'Ordre du Serpent dont ils connaissent l'existence. Sous les ordres du Seigneur Briton, celui ayant ordonné l'attaque du convoi Impérial pendant la capture des villageois. La cible de la haine de nombreux légionnaires pour ses atrocités. Et une nouvelle fois, quelque chose de mauvais se tramait à la ferme la plus proche. Il fallait intervenir en vitesse.

    Les troupes Impériales, vingt-cinq combattants, firent marchent vers la Ferme des Burrins. Elle n'était vraiment pas loin du campement principale, à une trentaine de minute d'une marche tranquille. Celle ci, jointe aux chants des Impériaux le long du voyage, qui se savaient partir aux combats. Les Sergents Sand, Ikrain et Dracinius, tandis que la Praetorian marchait en tête avec ses troupes rapprochées. La boue glissantes leurs longs de leurs boues, martelant un sol humidifiés par les pluies d'automnes, Soufflegivre portant bien son nom alors que les gouttelettes froides d'une légère pluie glissait le long de leurs armures, portés par ce vent vicieux. Achevant ce long chemin, ils découvrirent la situation avec effroi. Les forces de l'Ordre du Serpent étaient déjà installés dans la Ferme des Burrins, patrouillant pour rechercher ceux qui auraient pu se cacher ici et là, et agglutinant ses occupants au centre, devant une estrade où se tenait un vieux nordique borgne, qui agitait les bras. Ses discours étaient rempli de colère, et de haines, envers qui ne remplissait pas son devoir d'honneur pour Hauteroche. Dénonçant la Convention, et ses adhérant. Et ce, il chantait de tels appels à la colère devant un billot de bois installé, où le Légionnaire Tyzériah se faisait lentement traîné.

    Un vent d'agacement et d’indignation balaya le mental des Impériaux, sans trahir leurs disciplines, ils se mirent en position sans prendre le temps d'envoyer des agents ou des éclaireurs agir. Il n'y avait strictement plus le temps. Les troupes d'Ikrain se dispersèrent assaillir les patrouilles, tandis que Dracinius contournait la ferme pour le revers. Mais la Praetorian, Reldan, Arnornn, Dra'Kalhan, Marius et Victus, en compagnie des autres Légionnaires de troupes chargèrent avec brutalité en avant. Ils se confrontèrent aux fantassins brétons dans un champs de boues, avant de parvenir à destination. Le combat fut acharné, et aux périls de leurs vies après de nombreuses actions, ils brisèrent un morceau de la barricade d'acier et de guerriers Brétons, pour sauver la vie du nordique dont le bourreau cherchait déjà à préparer la décapitation devant la foule. La marque d'une telle exécution était capitale pour le message porté aux gens communs de Champsrepos sur le destin de ceux qui viendraient à se soulevé contre eux. Toutefois, cela n'arriva pas, suite aux différentes actions, ce que Arnornn Sand qui délivra le Nordique qui avait de lui même parvenir à briser ses liens. Et la bataille n'en fut que plus déchaînée.

    Alors que les conflits se tassaient ici et là, sous les interventions importantes des Impériaux, le retrait des troupes du Serpent devenait inévitable, après la victoire dans la boue du champs de potirons. Mais l'horreur frappa, en constatant ce qu'ils essayaient le plus possible d'apporter avec eux. Les enfants, et des nourrissons dans des caisses, étaient traînés vers une caravane isolée plus loin. Après les différents conflits pour la reprise de la Ferme, les Impériaux s'usèrent à empêcher la fuite des enfants, en laissant malgré eux une sortie pour les survivants du Serpent qui s'extirpèrent aisément des combats à causes de cette ouverture. Mais aucuns des enfants de la ferme ne fut emporté, ou aucun visible tout du moins. S'occupant des blessés, et patrouillant déjà pour sécurisé l'endroit, de nombreuses questions se posèrent, alors que des documents furent retrouvé. L'Ordre du Serpent s'essaie à récupérer de nombreux enfants sans que la raison ne soit être que « Ils sont les élus pour un avenir meilleurs pour Champsrepos. » Mais des détails restaient secrets, et il devait se tramer quelque choses derrière de tels agissements. Bien que pour l'instant, l'objectif restait clair : Le Seigneur Briton se devait de payer pour ses crimes."
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    18/10/2017
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    "Le 18 Middas de Soufflegivre, l'épuisement se faisait sentir. Deux conflits sanglants en l'espace de peu de temps avait étaient déchaîné entre les impériaux et l'ordre du serpent protecteur. Il ne s'agissait plus d'abattre des pilleurs gobelins ricanants et faiblards. Mais de véritables militaires, entraînés, équipés de fer et d'acier, et souvent presque aussi disciplinés que les Légionnaires. Les pertes s'accumulèrent, ainsi que les blessés, mais un souffle de répit pu s'étendre avant les prochaines opérations d'envergures. La ferme des Burrins étant devenu un avant-poste renforcé par une vingtaine de Légionnaire, il s'agissait maintenant de rester aux aguets, et cette nervosité rendait plus difficile le repos réparateur. Mais comme si ce début de guerre ne suffisait pas, Champsrepos n'en était pas à sa seule intrigue qu'est la guerre, mais toujours et encore la vieille histoire de l'assassinat de messager ayant essayer de provoquer un massacre d'une garde Aldmeri isolée pour la protection de l'ambassadeur du Domaine, Cirmo. Et désormais, les rumeurs tendaient à dire que certains coups de pressions et enlèvement avaient été constatés à la caravane Khajiit qui n'avait pourtant rien demander à personne.

    Peu envieux de provoquer un soucis diplomatique avec les Khajiit, les Impériaux partirent avec une petite troupe des personnalités habituelles de l'élite de la IIIème Cohorte. Il n'était pas question de déplacé une troupe de guerre pour enquêter, et il s'agissait de récolté des informations sans paraître venir en conquérant agressif. Ainsi, ils firent marche une vingtaine de minutes vers le sud pour descendre jusqu'à la route du nerveux, et découvrir ce coin isolé devenant un lieu de vie pour les Betmer d'Elsweyr. Et cela ne manquait pas de vitalité, à l'image de la race, les nombreux Khajiit étaient en pleine activités, de nombreuses manières. Certains vendaient et troquaient en ne cessant d'envoyer des éloges autant à leurs produits qu'aux acheteurs en devenir, et d'autres se préparaient à quelques rixes contre des pièces d'or ou quoi que ce soit d'autres. Quelques visiteurs curieux s'y étaient mêlé, mais l'endroit ne semble pas si morose de première vue, bien que l'on ne puisse vraiment en juger par la nature espiègle et démonstrative de ceux ci. Ils voilaient leurs défauts, pour ne montrer que bonheur. Mais les regards traduisaient de la nervosité, en ce jour sans pluie et tranquille, comme un Soleil chaleureux se montrant en plein automne. Mais il n'était pas vraiment le moment de se distraire, et tous partirent à leurs occupations pour découvrir ce qui avait été la cause des rumeurs.

    Mhelk suivait la piste de la nourrice Brétonne qui s'occupait des enfants, informant que le pauvre Ja'Khajiit disparut était surnommé « Nez bleu », à cause du colorant bleu mit sur sa truffe en plongeant celle ci dedans, sans que ça ne veuille partir pour l'instant. D'après les différents renseignements découvert par Dra'Kalhen à son tour, il aurait disparut auprès d'une patrouille Impériale passant non loin d'ici, récupérant une carte permettant de les retrouvés. Arnornn et Roland observaient quant à eux l'affrontement de Tyzérias contre Do'Sijji, un Cathay massif qui fut toutefois vaincu par les efforts du nordique après un combat acharné. De nombreux événement s’enchaînèrent, et Marius se retrouva à poursuivre un Altmer dans les habits du Domaine Aldmeri. Celui ci fut plaqué par Tyzérias, bien qu'il fut rendu compte qu'il était Dremus. L'Elfe à tout faire de l'ambassadeur Cirmo venu pour la même raison que les Impériaux. Découvrir ce qu'il se passait, et comprendre ce pourquoi les rumeurs parlaient d'un possible conflit entres les deux factions. Dans les faits, tous avaient à faire, et tandis que Do'Sijji, Roland et Arnornn calmaient la foule de la Caravane après l'agitation causé par la course poursuite, tous partirent à leurs occupations.

    Dra'Kalhen et Tyzérias partirent à l'enquête suivant la piste de la patrouille Impériale. Ils retrouvèrent toutefois celle ci, les deux éclaireurs assassinés autours d'un feu de camp, où se trouve un gribouillis du Ja'Khajiit le montrant lui en train de s'amuser avec les deux Légionnaires, qui avaient sûrement été prit d'affection pour lui. Avant que les responsables n'apparaissent. Des mercenaires, venu se débarrasser des corps, furent rapidement vaincu, alors que fut récupérés la carte d'où il devait se rendre pour la récompense finale. Tandis que Mhelk, Vendimus et Marius suivirent Dremus vers la piste du Cathay, découvrant le marchand Khajiit qui avait discuté plus tôt avec Marius, en train de marmonner à côté d'une pierre. Prévoyant d'agir et de l'encercler, ils furent toutefois chassé, au lieu d'être chasseurs. Dremus fut kidnappé... Tandis que les Impériaux durent faire face aux trois membres du Thalmor apparaissant pour les éliminés. Après un farouche combat, ils s'en sortirent, découvrant que le Khajiit était un consommateur de Skoomah qui était sous chantage. Les questions ne cessèrent d’apparaître : Étaient-ils maîtres, ou faisant parti de la cabale cherchant à nuire à la diplomatie ? Qu'allaient-ils vraiment de Dremus désormais ? Ils ne trouveraient récompense, que quand la planque serait découverte grâce à la carte."
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    19/10/2017
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    "Dans la journée du 19 Turdas de Soufflegivre, les forces Impériales furent au repos. Plusieurs Khajiit se traînaient dans le campement Impérial, parfois simplement curieux, depuis les soucis à la caravane réglé d'une mystérieuse manière. Aucun échos de l'impact du Thalmor et des complots n'avaient été annoncés de la part de la IXème Légion, et ainsi, il n'y eut pas de suite ni de conflits aggravés. Le repos était en conséquence, et il fut accentué par les infusions Khajiiti qui eurent franc succès auprès des Légionnaires découvrant autre chose que la bière parfois miteuse et l'Hydromel bon marcher. Les conversations et les entraînements furent moindres, et une sorte de calme s'installa lentement. Néanmoins troublé, par l'apparition d'une personne des plus étranges. Une petite fille, aux yeux de la couleur des mers, et d'une chevelure rousse comme un feu doux, l'innocence gravé sur ses traits, vagabondait dans le campement sans avoir été visiblement remarqué par la garde des portes du campement. Après quelques heures de conversations avec les Légionnaires intrigués, elle fut conviée devant la Praetorian et plusieurs Légionnaires. La conversation fut dans un sens, vu que la petite n'était visiblement pas en capacité d 'exprimé clairement, si ce n'est en montrant son dessin, désignant la côte de Franchehorizon.

    Ainsi, parti la petite troupe intrigué par le destin de ce « Barry », le personnage illustré avec les traits enfantins du gribouillis de la petite. Marchant à travers des routes parfois boueuses, rien ne fut rendu agréable à cause de la pluie tombante et des éclairs fendant les cieux quelques brefs instants en éclairant la sombre journée causée par les amas de nuages lourds errants au dessus de leurs têtes. Ce qui ne fit rien pour améliorer l'humeur, le long de la route pour un voyage déjà abstrait. Le dessin d'une petite fille n'avait été que la raison de la patrouille, et pour la Praetorian, cela représentait une intrigue offrant potentiellement une raison de gambader sur un canasson et sortir un peu des stratégies et des réflexions militaires sur l'état du conflit. Et après l'heure et la vingtaine de minutes offertes pour finir la route, ils finirent au bout de la route, devant l'étendue de l'eau menant vers la Baie d'Illiac, par la rive de Franchehorizon. Le spectacle était agréable, celui du crépuscule apparaissant, alors que la tempête remontait et apportait la pluie vers le nord, en Fendretour, abandonnant la pluie pour l'éclat du soleil. Se reflétant sur l'étrange stèle visible au centre du groupe. Celle ci était couverte d'une mousse, qui ne parvenait pas à être soutirer même en grattant, avec le plus intriguant derrière. Un coffre, couvert de trois griffes de pierres.

    Barry apparut pour parler aux Impériaux, discutant des trois épreuves à menés pour ouvrir les trois griffes. Évoquant l'ancienneté de la chose, et les cadavres accumulés des pauvres ignorants voulant traverser les épreuves sans être préparés. Bien qu'effrayer et peu convaincu, l'étrange Bosmer parla d'une épreuve de Force, d'Adresse et d'Intelligence que devront menés les camarades de l'Empire pour brisé le sort, et libérer le coffre qui n'avait de cesse d'attirer la convoitise et l'avidité. Gorash, Marius, Victus et Tyzérias acceptèrent l'épreuve de force, et virent face aux flots en attendant que vienne la dualité. Dra'Kalhen et Nyli Shinji s'installèrent à côté du bois blanc d'un bouleau en attendant quel seraient leurs défis. Et Reldan accompagné de Vendimus, se mirent en place en pour l'épreuve de l'intellect et des énigmes. Ceci fait, Barry s'approcha du coffre avec un air inquiet, peu envieux de laisser de nouvelles personnes êtres massacrés. Et alors qu'il appuya sa main contre la dites caisses, qu'une grande lueur bleuté anormale et irréelle apparue, comme un orbe brillant de milles éclats, pour déclarer que les épreuves pouvaient alors débutés. Reldan et Vendimus ne furent que confrontés à des énigmes. Pendant que les quatre guerriers furent balayés par une vague, et Nyli ainsi que Dra'Kalhen furent encerclés par des lames éthérés. Les épreuves débutèrent.

    Devant les vagues, un combat acharné se déroulant contre six énormes vasards pouvant abattre à leurs gré plusieurs pêcheurs, ainsi qu'un mastodonte chitineux marchant avec ses rejetons. Nombreux furent les coups dur, pour s'en sortir, alors que les bêtes étaient massacrés aux prix de plusieurs blessures au vu de la taille des bêtes. Tyzérias s'accrocha à la bête, et ce n'est qu'à l'aide de Gorash et la violence de son marteau. Victus et Marius luttant contre les autres en jouant de combats en équipes pour évité les blessures. Mais le combat âpre eut le résulté escompté, alors que gisaient les créatures puantes sur le sol ensablé. C'est alors que les énigmes furent achevés, à la fin des affrontements, tandis que Nyli et Dra'Kalhen sortirent de l'étrange trou dans le sol les ayant aspirés. Les épreuves furent remportés en difficultés, mais bien achevées, ouvrant les trois griffes de pierres dans des protestations des anciens mécanismes, pour finalement libérer le coffre. La stèle fut libérer de la mousse, découvrant le nom du défunt : « Barry », dont le crâne était à l'intérieur. Son esprit avait visiblement disparut à la fin du maléfice, alors que le coffre était rempli aussi d'une note sur sa poésie, à côté d'une très étrange clé. Les Impériaux décidèrent d’amener le coffre ainsi que tout les éléments pour faire des recherches approfondit, et comprendre qu'elle est la véritable nature de la mort de Barry ainsi que de la « Clé des vagues »."
  • Coqualier
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    20/10/2017
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    "Le 20 Fredas de Soufflegivre, la journée débuta tranquillement, alors que les entraînements reprirent pour remettre en forme les blessés légers, et les recrues ayant pour objectif de remplacer les légionnaires tombés au combat. Il n'y eut pas beaucoup d'échos de l'histoire de Barry ni même de rumeurs sur la Clé des vagues, car ce qui intéressait vraiment les troupes restait plutôt l'étrange jeune fille rousse qui errait maintenant dans le campement en se baladant d'un groupe à l'autre. Sans jamais dire un mot, mais rendant un peu d'humanité aux soldats ne cessant de se battre pour des causes obscures. Les environs de Champsrepos restaient tranquilles, d'un ennuie morose alors que les troupes restaient toujours à la recherche de l'entrée de la cache où devrait être enfermé le pauvre Ja'Khajiit, « Nez-bleu ». Mais ce ne fut pas une de ses histoires qui attira les impériaux vers l’extérieur. Mais un menace envoyé par la Wyresse Delphia, connue au bois de la grenouille, les reconduisait désormais dans le bois des longues-foulées. Là où, à l'orée de celle ci, ils enquêtèrent sur le messager assassiné. Et c'est ainsi que en pleine journée, une troupe Impériale quitta son campement pour partir vers le nord.

    Une vingtaine de minutes suffit, même à pied, pour arrivé aux abords du bois. Celui ci semblait différent de la première fois où ils vinrent l'approcher pour enquêter. Jadis, il avait quelque chose de plus simple, comme si ce n'était qu'une des nombreuses forêts de Hauteroche à l'image de toutes les autres. Maintenant, elle semblait bien différente, comme si quelque chose rendait plus sombre les passages entres les arbres, et les broussailles plus menaçante. Après un instant d'hésitation, les Impériaux firent marchent, et affrontèrent les mouches et moustiques tournoyant autours d'eux. Écartant branchages et herbes molles, ils trouvèrent la raison de l'appel de la Wyresse, dans une scène agitant l'estomac avec violence. Des cadavres, nombreux et puant, éparpillés par terre. Une dizaine d'hommes simples, furent massacrés, leurs corps arrachés par ce qui n'aurait pu être une force humaine. En parlant avec quelques craintes avec le Wyresse, ils inspectèrent un corps dont une luciole sorti d'une des plaies. Alors que de nombreuses autres, apparaissaient plus loin, de là d'où ils venaient. Et au vu du visage de Delphia, et de la silhouette étrange et monstrueuse, d'une femme boisée, ils eurent petit à petit temps de comprendre qu'ils devaient se mettre à fuir maintenant.

    Courant en suivant la Wyresse la guidant habillement vers ce qu'elle appelait un « Sanctuaire des racines » de l'Arbre-Rouge, ils eurent à affronter les loups dont les regards luisaient d'un vert étrange, essayant de les rattrapés. Il n'était pas question d’arrêté pour combattre, au vue des nuées d'insectes les poursuivant, et de la silhouette de la Mère Spriggan, surnommée par Delphia, la Dame du Clair-Massild. Luttant contre les bêtes qui n'eurent de cesse de les harcelés jusqu'à être éloignés de différentes façons, la sortie était proche, et commençait lentement à se rétracter pour dresser un mur naturel sous le commandement de celle qui voulait mettre la main sur les Impériaux fuyant. Bien que gêné et affaiblit par leurs déboires avec les loups, Lenors permit de fragilisé et ralentir l'approche avec la givre de sa magie, tandis que Tyzérias et Gorash s'écrasaient dans la masse pour faire une ouverture. Tout le monde s'engouffrant dedans, chutant au sol les uns sur les autres. Écrasés, certains, mais vivant et hors de danger immédiat. Alors que Delphia se rua vers le sanctuaire, qu'il était temps de protéger, pendant que sa transe avec l'Arbre-Rouge débutait. Mais au delà de la pureté d'une Dame du Clair-Massild, la rendant déjà effrayante. Il y avait un mal plus insidieux qui allait se libérer désormais que le passage vers l'Arbre-Rouge s'ouvrait avec la connexion de la Wyresse.

    Comme si plusieurs arbres s'étaient mit à pourrir en même temps, d'étranges femmes noueuses faites des écorces couvertes d'une sève poisseux et de moisissures dégoûtantes, se mirent lentement en place pour fondre vers l'autel ou se tenait la Wyresse, aidée d'Elecius et de Lenors pendant le rite. En ligne, dans une formation serré, Vendimus, Tyzérias, Dra'Kalhen, Gorash et Marius se tenaient prêts à recevoir la charge. Mais à l'instant du combat, pendant que tous cherchaient leurs adversaires, Tyzérias quitta la formation pour affronter son ennemie. Les Spriggan, dont l'objectif premier restait de passer outre la formation et d'atteindre ceux accomplissant le rituel. Le chaos de la bataille débuta alors, en même temps que se présentaient les échos grondant de la Voix de l'Arbre à travers la Wyresse. Et un combat acharné pour tenir, et sauver ceux qui derrière étaient grandement menacés. Reprenant des formes, la Ligne Impériale se reprit lentement, malgré plusieurs désaccords, jusqu'à ce que l'ennemi cède par la bénédiction acceptée à ceux qui se livrèrent au rituel. Libérés du combat acharnés, il n'y avait plus qu'à attendre que Delphia achève les préparatif pour la rencontre avec l'Arbre-Rouge, laissant les Impériaux rentrer après ce cheminement et ce combat difficile, les cœurs agacés, et le moral bas. Malgré tout, il restait encore tant de chose à accomplir, sous entendant de nouvelles atrocités à surmontés."
    Edited by Coqualier on 20 octobre 2017 11:09
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