À la forteresse de Morkul, la vie suivait son cours. Les forgerons battaient le fer et œuvraient à la pérennité d'Orsinium, sous l'égide inspirante du Roi Bazrag.

Mais alors que l'aube se lèvait en cette douce matinée d'âtrefeu, des rumeurs concernant la venue d'agents pouvant appartenir au Cercle des Dagues interpellèrent le clan orsimer. D'aucuns prétendirent se sentir épiés, et que leur sentiment soit véridique ou non, une brétonne s'immisça bel et bien dans la longère du chef de clan, sous le regard intrigué des villageois.




"Elle vient quémander une énième contribution pour la Guerre !" s'exclama l'assistante de l'épouse-forgeronne.

"Ne dis pas de bêtises, Bargra, et va chercher Gardokhun. Je crois bien que son répit touche à son terme" lui répondit sa tutrice, grommelant entre ses crocs.

Parée d'atours militaires, l'arrivante à la noble allure toucha quelques mots au chef de la forteresse. Nul besoin de faux semblants pour les deux interlocuteurs, qui savaient tout deux de quoi il en retournait : un déserteur logeait parmi le clan, et il était temps pour lui de faire face aux conséquences de sa défection.

Une fois convié, l'orque aux traits atypiques se présenta dans la longère, et s'entretint avec le supposé agent. L'on entendit d'abord de grands beuglements de protestation venant de Gardokhun, puis vint une conversation plus mesurée. Quels qu'aient pu être les propos tenus entre les deux protagonistes, ceux-ci finirent par faire mouche et apaisèrent le tempérament de l'orque. Un accord fut conclut, et tous deux s'inclinèrent en gage de respect.




Et tandis que Gardokhun raccompagnait la vieille femme à son destrier, les rumeurs allaient bon train dans la forteresse. Quel genre d'accord leur congénère farfelu avait-il bien pu passer pour ne pas repartir avec des fers ? Les plus alertes d'entre-eux évoquèrent le Haut-Castel, château lointain de la cité-état de Camorn, et un ordre chevaleresque nouveau.
Mais en ce deux loredas d'âtrefeu, seul le Chevalier-Dragon détenait la clé du nouveau chemin qu'il arpenterait.

Propriété immuable des Belgarde depuis des siècles, les archives de la construction des lieux furent à jamais perdues avec la destruction des propriétés de la maison déchue. Seule la Bastille du Pieu fut épargnée par cette purge, de part sa position stratégique. Voisine à la garnison de Bangkoraï et au sanctuaire d'Arlimahera, son accès sinueux rend toute invasion stérile, faisant d'elle un lieu idéal pour renforcer les troupes de la garnison en cas d'assaut.



D'architecture impériale, la Bastille ne sert pas moins les intérêts brétons depuis son inauguration. Les seuls éléments historiques avérés traitent de l'inspiration que Saint Kaladas -architecte de la chapelle de Leyawiin- eut sur la création des lieux. De fait, sa statue se dresse aujourd'hui encore au cœur du lieu de culte, et sert de lieu de recueillement pour les chevaliers souhaitant honorer tant les Huits que l'héritage de Pélinal Blancserpent, révéré par les Belgarde pour ses prouesses légendaires.




Sujette à bien des disputes de riches marchands brétons souhaitant acquérir les lieux une fois les félons propriétaires évincés, les enchères s'enlisèrent des années durant, cristallisant les tensions entre les intéressés. C'est finalement la maison Lantier qui emporta la vente, en misant une somme astronomique sur le fort au détriment de sa fortune personnelle, écrasant largement toute concurrence.




D'aucuns attestèrent de la folie d'Arthur, et prêtèrent son achat à du sentimentalisme déplacé. Mais pour le Chevalier-Commandant, l'acquisition de la Bastille du Pieu valait plus que tout l'or au monde. Car quoi de plus à propos pour les chevaliers du Sacre de Belgarde que de perpétuer la mission première de la maison du même nom ? C'est au cœur des vestiges de la Maison Belgarde qu'Arthur œuvrerait pour la rédemption de cette famille, en protégeant inlassablement Hauteroche face à tout envahisseur.




Aujourd'hui, la Bastille du Pieu accueille principalement les chevaliers du Sacre de Belgarde, mais aussi tout pèlerin souhaitant rendre hommage aux Patrons des lieux, Akatosh et Pélinal. Remplissant toujours son office de fort de guerre, les chevaliers s'y réunissent pour élaborer leurs stratégies militaires, se ressourcer et croiser le fer.

Le château donne accès à une caserne, des chambres individuelles, des lieux de soins ainsi qu'à des salons de jeu. Afin d'accueillir les dignitaires orques et rougegardes, les quartiers attenants à la table ronde sont à leur disposition, et exposent de remarquables ouvrages mettant en valeur leurs cultures guerrières.

Véritable symbole du potentiel guerrier des chevaliers du Sacre de Belgarde, la Bastille du Pieu est à l'image de ses occupants : inflexible, grandiose, et éternelle.

Hier, nous avons conquis l'Arène de l'Étoile du Dragon en vétéran, actant notre première sortie HL en guilde !

Prochaine sortie au rendez-vous, la Prison de la Rose Noire.






Depuis deux semaines, les membres de l'ordre chevaleresques se rassemblent pour oublier les troubles de la Guerre des Étendards le temps d'un soir. Après être passés à Fendretour, Bangkoraï et Alik'r, ce sont les régions de Glénumbrie et d'Havre-Tempête qui attendent les chevaliers.

Ces derniers jours, le Haut-Castel accueille bon nombre de recrues, venant prêter serment pour s'engager auprès du Sacre de Belgarde. Ces futurs chevaliers seront également formés par un nouvel instructeur récemment engagé, répondant au nom de Gul Crocs-de-Fer.












Les chevaliers du Sacre de Belgarde apprécient ce temps de répit entre deux expéditions, ce qui ne les empêche pas de déployer tout leur savoir-faire pour rafler les plus beaux poissons : la compétition est rude pour être le premier à rassembler tous les poissons !

Bonjour !

Le Sacre de Belgarde recherche un joueur pour compléter sa première équipe, visant à terminer les méta-succès des donjons additionnels.

Nous cherchons un joueur avec un certain bagage sur le jeu, ayant déjà un personnage optimisé (équipement/compétences), une bonne maîtrise de sa classe et de son rôle.

Voici les prérequis nécessaires pour rejoindre l'équipe :

• Être CP 1200 minimum ;
• Avoir au moins un équipement optimisé à jour, de qualité légendaire, et si possible des configurations spécifiques (AoE/boss) ;
• Bien maîtriser sa classe et son rôle, posséder l'ensemble des sorts et lignes de compétences essentielles à sa fonction (psijique/indomptables/laisse d'argent...) ;
• Avoir complété l'Arène de Maelström et/ou le Creux du Vateshran en vétéran ;
• Pour les DPS, avoir minimum 85K sur mannequin d'épreuve.
• Pour les soigneurs et tank, un minimum d'expérience est appréciée. Savoir gérer les synergies, rassembler les packs, gérer les améliorations et malus...
• Avoir des extensions à jour pour tracer ses performances (Combat Metrics, S'rendarr...) ;
  
• Se disponibiliser deux soirs par semaine (jours variables, 2 heures par soirée minimum).

Intéressé par ce projet ? N'hésitez pas à me contacter en jeu (@Erhas) ou sur discord en rejoignant celui de la guilde.

S'il est courant pour tout chevalier de disposer ça et là de quelques antagonistes bien sentis, il est peu commun pour les aspirants d'être confrontés si tôt à une némésis, et de surcroît de nature daedrique. Pourtant, l'aspirant Gardokun affronta bel et bien un Valkynaz déchu au détour de son ultime épreuve.

Ayant fui de sa cellule pour se diriger vers les Terres Mortes, l'orque fut contraint de se précipiter dans la faille pour poursuivre cet adversaire redoutable, et l'affronter avant qu'il ne puisse assouvir ses lugubres machinations vengeresses. Une lutte impitoyable se joua alors au coeur des Terres Mortes, sous le regard oppressant de l'îdole du maître des lieux. Et tandis que le chevalier-commandant assura les arrières de Gardokhun, celui-ci déploya toute l'étendue de ses pouvoirs pour venir à bout du drémora répondant au nom de Dohyrath. Une fois défait et en possession de son nymique, il ne suffit plus qu'au chevalier-dragon d'achever son ancien prisonnier pour le bannir dans les méandres d'Oblivion






La défaite d'un tel ennemi valu presque au valeureux duo un séjour prolongé en ces terres désolées, alors que différents colosses commençaient à s'amasser autour du lieu du duel. C'est avec justesse qu'ils parvinrent à remprunter la faille vers Tamriel, les ramenant tout droit au Châtelet d'Azur, où des compères maintenant le portail assurant leur retour en lieu sûr.

Bien que rudoyé par un duel qui aurait pu coûter lui coûter la vie, Gardokhun pourrait enfin souffler, et embrasser pleinement la nouvelle voie qui lui tend les bras.








En ce début de mois de Sombreciel, la venue d'une ancienne éclaireuse du Domaine Aldmeri a fait beaucoup parler dans l'enceinte du Haut-Castel. Suscitant tantôt la méfiance, tantôt l'empathie, l'avenir de la jeune Shaheeri au sein du Sacre de Belgarde soulève des interrogations. Cette jeune khajiit, formée dès le plus jeune âge aux arts de la guerre, nourrit une aversion certaine pour son ancien commandement, dont les agissements l'ont fatalement poussés à quitter les rangs du Domaine.

Serait-elle toujours sous les ordres des Yeux de la Reine, ou bien s'avèrera-t-elle être une alliée précieuse par les informations qu'elle détient sur l'ennemi ? Si cette question demeure à ce jour sans réponse, Shaheeri est pour autant accueillie avec dignité et considération, étant sous la tutelle d'Udanil, gouvernante de la maison Lantier.

L'uniforme de l'aspirant du Sacre de Belgarde (1), quelques exemples d'armures du Chevalier-Commandant.

Alors que le commerce à Camlorn peine à se poursuivre, une affaire importante accapara l'attention des chevaliers du Sacre de Belgarde. À Chorrol, le conseil de la ville a enfin pu rassembler suffisamment de fonds pour entamer la restauration de l'abbaye de Zénithar. Et suite à la proximité de la ville Cyrodiilienne avec les forces de l'Alliance de Daguefilante sur place, ceux-ci consentirent à laisser la faction du lion s'insérer dans les négociations commerciales, visant à décrocher un contrat avec la ville afin de les fournir en matières premières.

Ainsi, les diplomates du Sacre de Belgarde furent dépêchés auprès des différents partenaires de Bangkoraï, afin de créer un réseau de matières premières, fournissant la ville en gisements de minerais et en bois. En concurrence directe avec Ignas Onelio, dignitaire originaire d'Élinhir, celui-ci ainsi que d'autres antagonistes mineurs se dépêchèrent auprès des plus grands fournisseurs locaux, pour s'attirer les bonnes grâces du conseil de Chorrol par de plus alléchantes offres.

C'est là que la jeune Ariella Helane rentra en jeu, avec pour mission d'user de ses dons diplomatiques pour convaincre les différents partis de l'Alliance de collaborer avec un village impérial. Epaulée par le Sieur Vendicia Doran, ils entamèrent une longue escapade en ville, dans l'optique de rencontrer chaque fournisseur et de décrocher leur bénédiction.





Le premier interlocuteur de l'aspirante sur la voie de l'Harmonie ne fut autre qu'un autre chevalier, le Sieur Derric Bontranc. Fils de Rodrick Gontrand, décédé lors de l'assassinat du Roi Eamond par la Septième Légion, son fils n'est plus que l'ombre de lui-même depuis. Noyant son chagrin à l'auberge d'Abondance, Ariella dut user de ruse pour persuader le chevalier enivré de la bonne utilité de ce contrat, qui servirait avant tout à consolider les relations diplomatiques de l'Alliance de Daguefilante - et de surcroît au détriment d'autres concurrents impériaux.

Peu à même de faire preuve de raison, le Sieur finit par céder face aux talents d'écoute et de persuasions de l'impériale, déterminée à retourner la situation à son avantage, malgré l'aversion sans fin du Sieur Derric envers le peuple dont elle est elle-même issue. Fatalement, Ariella parvint à décrocher un contrat bénéfique pour la collaboration avec Chorrol, permettant de les fournir en matières premières.

Hélas, leur second interlocuteur, bien que plus sobre, n'était en rien plus ouvert à l'idée. Le Conseiller Rama, de la Gloire d'Hallin, s'opposa fermement à tout accord visant à allouer des ressources aux impériaux. À Abondance, nul ne peut nier les souffrances du peuple rougegarde face à l'oppression des légionnaires et de leur souveraine, Clivia Tharn. Malgré cet état de fait, Ariella n'en démordit pas, et put convaincre Rama des bénéfices d'une telle collaboration. Par la grâce de Stendarr et avec la promesse de lendemains meilleurs pour l'Alliance, Rama céda et donna son aval à l'instauration de l'accord.






Enfin, il ne restait plus qu'à convaincre Salva Fultius, à la tête d'une société en charge de transports en terrains dangereux. Raidelorn comme Cyrodiil n'étant guère exempts de dangers - loin de là- il fut primordial d'assurer un transit sûr et rapide jusqu'à Chorrol. Néanmoins, la meneuse de la compagnie de protection se montra réticente à l'idée d'assister les chevaliers du Sacre de Belgarde. Outre sa neutralité dans le conflit, celle-ci fit montre de réticences à l'idée de collaborer avec des orques vénérant Malacath.

Il fut donc impératif pour Ariella d'assister sur le caractère civilisé de leurs alliés, vénérant tous les Huit et le culte de Trinimac. Une fois rassurée sur l'intégrité de leurs proches, Salva Fultius consentit à protéger les convois de l'Alliance de Daguefilante, permettant ainsi de réunir tous les éléments à une négociation favorable avec Chorrol.

Reste maintenant à savoir si leur offre est la plus intéressante parmi les différents concurrents. Mais en ce qui concerne l'aspirante Ariella, la soirée fut un succès retentissant, et ses qualités ne manquèrent pas d'être notées par le Sieur Vendicia, si prompt à relever chaque détail des échanges sur son calpin.

Cette initiative illustre le talent diplomatique de l'Alliance, et sa capacité à convaincre les provinces impériales du bien-fondé de leur cause, et de l'impérieuse nécessité de rejoindre la seule faction se prévalant d'un héritage à Réman légitime.

Ce début de Soirétoile ne manque pas d'être animé, au sein des différents châteaux du Sacre de Belgarde. Malgré la diminution drastique de l'accueil des diplomates et commerçants au Haut-Castel, les aspirants et chevaliers de l'ordre redoublent d'efforts en vue de se préparer à la traque aux cultistes daedriques infâmes qui sévissent sur le territoire de Hauteroche.

Et quoi de plus à propos que l'adoubement d'une prêtresse de Stendarr pour contrecarrer cette engeance impie ? La Dame Jeanne, aspirante sur la voie de la Guerre, s'est illustrée tout au long de ses épreuves et a été adoubée par le Chevalier-Commandant. Sous le regard bienveillant de ses confrères, Jeanne a reçu la bénédiction d'Akatosh et a été intronisée au sein du Sacre de Belgarde en tant que chevalier, comme l'atteste son armure et son châle revêtant tant les symboles de Stendarr que d'Akatosh.[





Récemment, les aspirants Ergast et Florant, respectivement sur la voie de la Guerre et de la Divination, ont entrepris leur pèlerinage aux côtés d'Arthur Lantier. Ceux-ci ont parcouru Hauteroche pour s'enquérir des origines du Sacre de Belgarde, et des événements ayant forgé son nom dans l'histoire. Parcourant ainsi des lieux emblématiques de l'histoire brétonne, le duo a eu l'occasion à travers ce voyage initiatique de s'approprier l'ordre, la famille dont elle tient ses origines, et surtout ses ambitions à venir et l'importance de leur cause.

Exercice particulièrement délicat pour le jeune Fidéroy, confronté directement à des tragédies difficiles à accepter, intrinsèquement liées à la maison éponyme à l'ordre chevaleresque. Toutefois, les deux aspirants s'en tirèrent à merveille, et sortirent de cette expérience lyrique renforcés, et personnellement investis de la cause qui est désormais la leur.











Malgré le filtrage rigoureux effectué par la garde du Haut-Castel, une jeune recrue a été escortée par la garde pour s'immiscer dans la place de commerce de l'ordre. Mérédith At-Tura, une jeune métisse issue d'un couple rougegarde et bréton, a pu faire part de son voeu de rejoindre le Sacre de Belgarde.

La jeune forgeronne au caractère bien trempé à su faire valoir sa revendication, forte de ses connaissances artisanales développées à Croissalant, par le biais d'un mentor bréton renommé dans ce noble métier. Une fois questionnée par les aspirants présents ce soir, Mérédith a pu prêter son serment auprès du Chevalier-Commandant, ravi de compter dans ses rangs un jeune talent supplémentaire.

Bien que Cyrodiil soit en proie constante au chaos, les rapports concernant une troupe d'élite de Voileronce interpella le chevalier-commandant, décidant d'investiguer au nord-ouest de la région aux côtés des aspirants Mérédith et Colin. Décimant peu à peu les forces de l'Alliance de Daguefilante dans une longue guerre d'usure, les bosmer surnommés "Lutins Maléficieurs" parvinrent à abattre le Commandant Trogur, et ainsi mettre en péril différentes positions majeures pour la faction au lion.

Leurs prouesses sont dues à une capacité hors-norme, leur permettant de réapparaître à leur guise à une localisation passée. Cette aptitude leur valut ce surnom, qui leur permis d'évincer peu à peu leurs opposants, désespérant face à leurs vaines tentatives d'assaut. Le Lieutenant Charles, mage de guerre ayant pris la tête du bastion, s'agrégea aux aspirants Mérédith et Colin afin de pénétrer au cœur du territoire ennemi, afin d'enquêter sur la source de ce pouvoir jusqu'alors inconnue.






Tandis que le chevalier-commandant prit les rênes des troupes épuisées au fort, le trio s'enfonça sur le territoire du Domaine, guidés par le lieutenant. Celui-ci parvint à retrouver la trace de l'antre des Lutins, grâce au dernier rapport de ses éclaireurs, et à l'empreinte magique singulière laissée par les réminiscences des bosmers.

Les guerriers de l'Alliance s'enfoncèrent sans mal dans la base ennemie, jusqu'à ce qu'ils tombent sur la source du pouvoir : un minerai aux propriétés atypiques, gorgé de magie et à l'aspect changeant. Translucide et semblable à du verre, Mérédith dut entamer une extraction sensible de la veine afin de l'étudier, ce qui alerta immédiatement les Voileronces. Ceux-ci se révélèrent au groupe, forçant Colin à tenir la position tandis que le Lieutenant Charles préparait leur évasion par portail.










La tâche fut rude pour Colin, poussé dans ses retranchements face à des ennemis qui n'eurent de cesse de réapparaître malgré leur élimination. La survie du groupe n'est due qu'à l'effifience de l'aspirante Mérédith à extraire le minerai en dépit du carnage se déroulant à quelques pas, orchestré par Colin et l'assistance ponctuelle du mage de guerre.

Une fois le matériau délicat sécurisé, le trio parvint à battre en retraite pour se retrouver au bastion, où les Lutins Maléficieurs avaient été temporairement repoussés. Une victoire salvatrice dans cette succession de batailles, où les troupes de l'Alliance ne subissaient que d'âpres défaites au fil des semaines, épuisés par ces ennemis à priori immortels. La veine fut laissée au Lieutenant Charles pour être étudiée, tandis que les aspirants du Sacre de Belgarde furent invités pour célébrer cette première avancée majeure.