[Personnage RP]Ayalin Kaplang, princesse du désert

Shigekokaedesan
Shigekokaedesan
Soul Shriven
Nom : Ayalin Kaplang (Al-Kaplaan)
Royaume : Lenclume
Date de Naissance : 2E560 16ème jour de Sombreciel (28 ans)
Signe de Naissance : L'Atronach
Race : Rougegarde
Obédience : Famille Kaplang
Alignement : Chaotique-bon
Politique : Couronnes de par son père, mais également Aïeux de par la famille de sa mère. Ayalin n'a jamais réussi à choisir vraiment une allégeance. Elle est cependant assez favorable à l'alliance de Daguefilante, même si attachée aux anciennes traditions du désert.
Spécialité Primaire : Sorcière/guerrière arcanique
Spécialité Secondaire : Musicienne
Phobie(s) : Les créatures daedriques dans leur ensemble.
Signe(s) distinctif(s) : Tatouages rougeâtres autour des yeux, symbole tribal typique des représentants des Kaplang.
Plats préférés : La tourte aux légumes, les betteraves au chèvre, les pommes gratinées à l'eidar (en gros, tout ce qui contient du fromage) et éventuellement un peu de sanglineur rôti les jours de fête.
Hobbie(s) : La lecture et les études de l'histoire et de la magie, mais de son éducation de princesse, Ayalin a aussi gardé une passion pour la harpe et la flûte. Et évidemment, elle aime frapper des poteaux avec son épée.
Personnalité : Ayalin est d'alignement chaotique-bon, c'est une personne individualiste, mais souvent encline à aider autrui. Par ailleurs, elle ne supporte ni la lâcheté, ni l'injustice (sans doute à cause de la manière dont elle a été rejetée par ses pairs) et si la plupart du temps, elle est capable de se plier aux lois, il lui est arrivé de faire évader un innocent de prison ou de forcer le bureau d'un notable soupçonné de corruption pour apporter les preuves de ses méfaits à qui de droit.
Son ascendance noble lui a conféré une éducation raffinée et impeccable. Son phrasé est élégant et ses remarques souvent perspicaces. Elle cultive également un certain sens de la répartie et un humour piquant. Grâce à son père, elle est rompue aux intrigues politiques et peut se montrer redoutable négociatrice.
Elle peut paraître parfois méfiante et rude au premier abord avec les étrangers, mais ceux qui gagnent sa confiance ne le regrettent jamais. Comme la plupart des Rougegarde, elle est courageuse et obstinée, ne reculant devant rien quand il faut aider un ami, mais elle est aussi et surtout suspicieuse, orgueilleuse, rancunière, fataliste et farouchement indépendante. Ces deux derniers traits de caractère ont été renforcés par ses deuils récents et si la jeune femme peut se montrer charmeuse et agréable une fois la glace brisée, elle ne se livre pas facilement. Phobique de l'engagement, elle est éperdument amoureuse de Malékith Obscura, même si elle cherche à le nier. Il faut dire que sa nature suspicieuse la pousse à se méfier de l'ascendance demi-drémora de celui-ci, d'autant plus qu'il a lui-même du mal à exprimer ses émotions. De plus, sa crainte de perdre à nouveau un être cher l'empêche de considérer ce nouvel amour qui s'offre à elle comme une chance de trouver le bonheur.
Ayalin prie les dieux yokudans et évoque le plus souvent Tu'wacca et Léki dans ses prières, Tu'whacca étant à la fois le dieu de la mort, mais également... celui des mages.

Biographie: L'intrépide fille cadette de la famille Kaplang, Ayalin, a fait le désespoir de sa famille lorsqu'elle a choisi d'étudier la magie au lieu de se consacrer à la voie de l'épée comme une honnête Rougegarde. Décision mue par la nécessité de se débarrasser du daedra qui lui colle aux basques depuis qu'elle a été forcée de faire un pacte pour sauver sa vie, alors qu'elle n'avait que neuf ans.
Ayalin grandit donc méprisée par son père et une grande partie des citoyens de Sentinelle, qui sont persuadés que la jeune fille a le mauvais oeil. Elle reste cependant proche de sa mère, et surtout de Muhamar, son frère aîné, qui la chérit sans réserve.
Elle était persuadée d'une appartenance totale de sa famille aux Aïeux, jusqu'au jour où Azalim Kaplang a révélé qu'il avait été adopté et que son ascendance faisait de lui non seulement un Couronne, mais surtout un descendant des lignées royales yokudanes. Par la suite, elle apprend qu'il profite de sa position avantageuse à Sentinelle pour intriguer de manière à renverser Fahara'Jad pour unir Lenclume sous une seule bannière. La guerre des Trois Bannières n'arrange guère la situation, Fahara'Jad étant enclin au retour d'un empire, ce que souhaitent au départ également Ayalin et sa mère.
Ayalin vient tout juste de célébrer ses dix-neuf ans lorsqu'un terrible événement advient : son frère Muhamar est tué dans ce qui semble être une attaque de bandits contre les Al-Zephar, une famille noble de Sentinelle avec laquelle il entretenait des liens d'amitié. Mais la vérité est bien plus terrible ; il s'est retrouvé à être un dommage collatéral dans une manoeuvre d'Azalim Kaplang avec d'autres Couronnes pour faire assassiner les Al-Zephar, devenus dangereux pour lui.
Ne pouvant prouver l'implication de son cher géniteur dans ce complot infâme, Ayalin, le coeur plein de rage et de tristesse, décide finalement de s'exiler après une dispute violente avec sa mère qui lui dit de partir, redoutant que la malveillance de Muhamar ne coûte aussi la vie à sa fille. Ayalin répond alors à l'offre de Vaelin Mandreth, un magicien dunmer voulant étudier la malédiction qui la lie à son daedra, et part donc à Vvardenfell pour étudier à la guilde des mages de la région, tandis que sa mère, redoutant que son époux finisse par se débarrasser d'elle, part vivre cloîtrée dans leur résidence secondaire de Stros M'Kaï.
A Vivec, la jeune femme doit faire face aux préjugés et au mépris des elfes noirs, mais son travail à la guilde des mages se révéle excellent. Elle rend plusieurs fois service aux habitants de la région en les aidant à chasser des daedras malveillants. Un jour, à Suran, elle rencontre Aïdanar Sirus, un dunmer apprenti du célèbre juge écarlate. Ensemble, ils vivent une grande aventure, Ayalin appréciant particulièrement le côté idéaliste d'Aïdanar. Leur amour est rapidement une évidence.
Mais la tragédie revient alors frapper Ayalin ; Aïdanar est tué par des bandits. Elle le venge, mais cette fois, son coeur, déjà mis à rude épreuve par la mort de son frère ainsi que la perte de plusieurs compagnons, devient une véritable forteresse infranchissable. Ayalin va alors sur ses vingt-deux ans.
Les six années qui suivent sont alors rythmées par diverses aventures qui l'entraînent dans différentes régions de Tamriel, la guilde des mages lui demandant régulièrement de récupérer des artefacts daedriques dangereux ou d'enquêter sur des cultistes. Elle vit au jour le jour, bien décidée à tout oublier du passé douloureux à Sentinelle, ainsi que son amour perdu. Néanmoins, la jeune femme s'est jurée de ne plus jamais aimer personne et on lui connaît, à partir de là, que quelques aventures sulfureuses ne durant jamais plus de quelques jours. Ses quelques amis proches observent cette évolution de sa personnalité avec une certaine inquiétude, redoutant que jamais plus, le coeur blessé de la farouche Rougegarde ne la laisse connaître le bonheur.
Mais cependant, alors qu'elle arrive sur ses vingt-huit ans, Ayalin ne tarde pas à apprendre que le passé ne peut être fuit éternellement.
Un de ses amis de Sentinelle finit en effet par lui envoyer une lettre afin de lui apprendre qu'Azalim Kaplang, rongé par l'ambition et l'avidité, n'a plus aucune limite. Voilà qu'il a récemment été approché par la Cour écailleuse, qui lui a promis un trône s'il favorise son expansion à travers le désert d'Alik'r. Comprenant la véritable dangerosité de son père, ses six années à la guilde des mages lui ayant enseigné combien il est dangereux de sous-estimer ce genre d'alliance, Ayalin comprend qu'elle n'a plus le choix : il va falloir arrêter de fuir et affronter cet être maléfique auquel elle doit la naissance...

Mon nom est Ayalin Kaplang. Je suis une descendante de la lignée des Na Totambu Al-Kaplaan.
J'ai vécu d'abord à Stros M'Kaï, puis un temps à Belkarth avant que mon père ne prenne la route vers la capitale afin de siéger au conseil royal. J'ai subi l'entraînement martial, comme chaque garçon et chaque fille du désert. J'ai été élevée par de sages guerriers, qui m'ont transmis la philosophie des miens, l'importance des traditions, de la droiture, de l'honneur.
Mais un jour, toutes mes convictions ont été piétinées.
Mon père, Azalim Kaplang, appâté par l'ambition, a décidé d'intriguer avec d'autres membres de la faction des couronnes pour affaiblir le roi Fahara'Jad et rétablir l'indépendance de Lenclume, voulant lui éviter de passer à l'Empire.
Et mon frère aîné a fait partie des victimes collatérales de sa folie.
C'est là que j'ai compris qu'à partir du moment où l'on renonçait à la vie dans le désert et que l'on s'élevait dans les hautes strates de la société, l'honneur et la droiture ne sont rien de plus que des mots qui sonnent de plus en plus creux. Mon père a sali la mémoire de nos ancêtres, l'honneur de ma famille et il a trahi toutes nos valeurs une à une.
Plus récemment, il a été jusqu'à soutenir les manigances du culte de la Cour écailleuse de Raidelorn.
Et je suis désormais la seule à pouvoir l'arrêter.
Mais il me faudra à la fois nager entre les rouages de la redoutable politique de la cour de Sentinelle et survivre aux manigances d'êtres daedriques dont la puissance surpasse l'entendement.
Les ennemis seront partout...


Une partie de l'intrigue a été jouée notamment avec les membres de la guilde des contes perdus, mais n'hésitez pas à me contacter si vous avez envie de croiser cette Rougegarde hors du commun lors de l'une de vos aventures :D
PVE et rôliste.
Personnages : Ayalin, princesse Rougegarde et sorcière
Clervie, Nécromancienne vampire
Aerona, maormer gardienne
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