Maintenances pour la semaine du 25 novembre :
• [TERMINÉ] Xbox : Mégaserveurs NA et EU pour maintenance : 27 novembre, 12h00 – 15h00 heure de Paris.
• [TERMINÉ] PlayStation® : Mégaserveurs NA et EU pour maintenance : 27 novembre, 12h00 – 15h00 heure de Paris.

[FR/RP Strict] Penitus Vigilare

Coqualier
Coqualier
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"Il faut des armées pour défendre un peuple. Il faut un peuple pour défendre son avenir. Et dans l'avenir, naissent les champions qui défenderont tout ce pourquoi il vaut la peine de croire que nous méritons d'être en vie."
- "Vendimus" Gloria Valérius.
Commandante du Penitus Vigilare.
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La Fondation du Penitus Vigilare fut à l'initiative des supérieurs de la IXème Légion Impériale, et de quelques alliés proches quand le dernier conflit en Cyrodiil stagna tant qu'une défaite par le manque de rationnement fut déclarée. Reculant avec dégoût d'une ligne de front contre un vieux fort acquit par des déserteurs des Alliances réunis en bandes de pillards des champs de batailles, ayant repoussé les Légionnaires et garder les prisonniers civils hors de leurs griffes. Avec une équipe prête et volontaire, ils auraient pu mené l'enquête, parvenir à trouver une faille, et libérer les prisonniers en trouvant des brèches dans les défenses adversaires. Mais ils n'avaient pas sous la main ce genre de personnalité, ils n'avaient plus d'agents, d'éclaireurs spécialisés, uniquement des officiers et des soldats vaillants. Mais là où la Force n'est pas necessaire, il faut des personnes prêtes à agir en tant qu'assemblée pour ouvrir le chemin des armées, pour ouvrir les passages les plus corrects vers l'avenir pour les alliés, les citoyens et les villageois.

Des missions diplomatiques n'engageant plus des chefs de batailles, de la politique menée par des champions plutôt que par des militaires actifs. Si ce fut étonnant au vue de son avenir grâce à son Père, que certains auraient pu juger de "trop facile", "Vendimus" Gloria Valérius laissa son rang de Praetor Impérial au Centurion Menaro, sous les ordres direct du Légat Graccius. Prenant les devants face aux officiers Impériaux, elle gardait sa représentation de la Légion Impériale, au sein du Penitus Vigilare, en tant que Première Chevalier-Vigilant, il était temps de préparer un organisme interne qui pourrait subvenir aux besoins de la cause Impériale sans avoir besoin de faire venir des militaires en force, et qui pourraient rallier des futurs agents et alliés pour la cause de la Colovie, et de son influence et acceptation auprès des autres peuplades. Ils avaient débuté avec l'avenir devant eux, grâce à Varen Aquilarios, ils ont désormais tout à reconstitué devant l'une des plus grande catastrophe de l'inter-règne. Cette période sans sens pour les Cyrods, cette période de haine, et de mépris.

Le rôle des Vigilants sera complexe, et mixte. De toutes les peuplades de ce vaste monde, auront l'offre de devenir un agent de l'Empire à travers le Penitus Vigilare pour s'occuper des affaires des nombreuses bourgades et problèmatiques. Usant des anciennes gloires de la IXème Légion de par ses responsables et son emblème, ils gardent dès lors un début interessant mais qui ne détermine pas tout : Le Penitus Vigilare n'est rien, une organisation inconnue que personne ne peut vraiment comprendre, voir pour certains toléré, en pensant qu'il ne s'agit que d'une nouveautée impériale inquiétante. Tant que Clivia Tharn sera impératrice, et le Trône d'Or-Blanc sans dirigeant, aucunes des activités impériales ne pourraient débuté sans souspons, et craintes de ceux qui ne savent plus vers qui compter. Les rumeurs circulant déjà traversent la Colovie, s'interrogeant sur une nature corruptrice de l'initiative ou un espoir en devenir pour leurs commerces, leurs familles, leurs sécurités. Ils parlent de futur combattants frappant dans la lumière, ou frappant les petites frappes dans l'obscurité pour leur soutirer de les pièces d'or, ou pire encore. Certains auraient aperçu toutefois la lame en argent d'un des Vigilants. Et les rumeurs les plus lourdes trainèrent encore, supposant que quand un Vigilant viens, il faudra rentrer les enfants dans les chaumières, et fermer les volets la nuit.

C'est donc en Colovie, au sud de celle ic dans un camp de guerre de la IXème Légion que furent les prémices de la naissance du Penitus Vigilare, alors qu'ils se préparèrent à mener leur première enquête, avec leurs premiers agents. Il était temps de découvrir si cette initiative serait porteuse de ses fruits aussi prometteur qu'ils attendent, ou si ils seront couvert de mucus, et dégoulinant de vers ignobles.

Mais cela, seul l'avenir le dira.
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[HRP]


Le Penitus Vigilare ouvre ses portes ! Cette nouvelle guilde est une continuité des aventures de la IXème Légion dans un nouveau domaine de pratique, il ne s'agit plus de jouer le rôle d'une Légion militarisé, mais d'une organisation Impériale en interne qui fera naitre un groupe de divers natures sans hierarchie réelle et spécifique : Chacun agit à sa manière, mais avec ses compagnons, et pour l'ensemble de son aventure. Il s'agit de nombreuses aventures, avec certainement des possibles batailles qui apparaissent parfois avec la participation du Penitus Vigilare, mais l'objectif n'est plus de créer un groupe de rôliste constitué par des personnages-joueurs. Ici, il s'agira plus de jouer des personnages avec des responsabilités que des personnes simples et humbles. Il ne s'agira plus d'une guilde aux ambitions d'être grande, mais surtout d'être stable et de bien s'entendre avec ceux qui la rejoignent. De ce fait :

- Il n'y aura pas de compromis dans le recrutement : Vous ne rejoindrez pas à moitié le Penitus, en acceptant à moitié ses règles internes. Vous êtes parmi nous, un membre actif, un camarade pour développer nos aventures.
- Nous jouons ensemble pour évolué, dans une atmosphère qui nous accompagne : Du Dark-Fantasy, Sobre, sombre. Nous ne prendrons pas les invocatrices de Daedra de 16 ans ou les chevaucheurs d'atronach de foudre. Vos personnages devront être SIMPLE.
- Il n'y à pas de recherche de RP conflit, les problèmes sont suffisamment bien gérer et générer par les MJ pour en chercher avec des autres joueurs pour des confrontations. La coopération avant tout, nous préférons le RP narratif tranquille que les conflits d'émotes ou mix-PvP.
- Nous sommes ouverts aux RP diplomatique et politique avec qui de droit. Et qui en à envie !

- Nos personnages auront maints aventures, voyages et quêtes. Jouer à nos côtés, c'est accepter les histoires qui les suivent. Et devenir soit même un participant à son évolution bien entendu !
- Le Penitus Vigilare deviendra ce qu'il devient dans les trames des MJ, selon les choix et les actes des joueurs. Mais il ne deviendra jamais une entité qui s'impose aux autres rôlistes. Si vous ne désirez pas le considérer, ni l'influence de ses actes, nous ne forçons rien tant que personne ne nous impose rien.

- Si vous désirez nous rejoindre, n'hésitez pas ! Mais votre personnage devra accepter de devenir un agent Impérial de la Colovie sessesionniste – Et refuser l'Empire des Tharn. Jouant dans un contexte "Neutre mais très tendu". Vous aurez à porter une tenue sobre, aux couleurs forcement rouges avec du gris acier, ou du brun cuir lambda. Rien d’extravagant.
- Jouez un héros humble, mais jouez un héros : Vous pourrez agir avec héroïsme, mais il faudra que ce soit avec cohérence et n'oubliez pas, que vos actions auront toujours plus d'impact quand vous les accomplissez avec vos camarades. Un héro ne réussi pas seul, il réussit avec les siens.

- Les animations seront narratives, un MJ prépare une intrigue, et la fait suivre en évolution selon les actions de chacun. Ce sera donc de vos choix et de vos résolutions que l'avenir de nos objectifs et du déroulement se poursuivront. Emote constructive, discussion censée, seront les clés plus brillantes que le simple fait de faire "/e lui donne un coup d'épée, bonne mère."

- Pour ceux appréciant jouer une faction interne au Penitus Vigilare, avec un code d'Uniforme strict et un union de valeurs : Les Chevaliers Impériaux sont menés en même temps que le Penitus, à l'intérieur. Tout est décrit dans le lien, pour devenir Chevalier-Vigilant.

Si vous avez des questions, n'hésitez pas à venir me MP sur discord, ou en jeu sous @Coqualier ! Nous réutilisons le forum de la IXème (amélioré) pour cette nouvelle Guilde.

Prière de ne pas poster à la suite de ce message, pour pouvoir y mettre çi dessous uniquement les posts de guildes sur les résumés d'animations qui suivent. Merci d'avance, et venez plutôt me rencontrer en MP en jeu, sur forum, ou sur discord via Coqualier#6442.
A bientôt ! ;)
  • Coqualier
    Coqualier
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    20/03/2018
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    "Le 20 Tirdas de Semailles, la première mission du Penitus Vigilare pouvait commencer. Les quelques premiers compagnons réuni sous la bannière de l'Empire furent déjà convié à participer à leur première objectif : Découvrir ce qu'il se passe sous coupe des "Sang-bleu" qui firent parler d'eux il y à un mois de ça. Depuis lors, deux caravanes de plus avaient disparut ainsi qu'une troupe entière de Légionnaire de la IXème Légion envoyés dans les ruines pour découvrir ce qu'il se passait, des vieilles ruines d'un domaine noble écrasé pendant l'insurrection de Leovic, et qui était depuis quelques temps la cible de la Légion Impériale pour en savoir plus. Désormais, ils n'avaient pas besoin de sacrifier on ne sait combien de fantassins vaillants devant des complots et des intrigues. Le Praetor Menaro convient avec le Chevalier-Commandant Valérius que le Penitus Vigilare serait responsable de la découverte des secrets de la vieille ruine, et cela débuterait par un long voyage dans la forêt proche. C'était une course contre le temps, car les actualités d'Elsweyr n'étaient pas fameuse, mais les ressources perdues ainsi que l'honneur d'être souillé sans pouvoir se défendre se ferait plutôt grave.

    Ainsi, les Vigilants Vendimus, Uys et Talork gro-Torkan firent mouvement en compagnie des aspirants Fior et Dort sous l'Hist en direction de la forêt. Une vingtaine de minute furent nécessaire en quittant le campement pour atteindre la forêt, et ce fut alors la longue marche à travers les bois. Trois heures furent calme, douce et paisible, sous un vent tranquille et le chant des oiseaux. Le soleil déclinant lentement vers son crépuscule, alors que la fraicheur revenait elle aussi. Bien que dans le sud de Colovie, l'Hiver y fut clément, et le printemps chaleureux. Le long de la route de terre entres les arbres, se tenait un homme âgé dans des habits miteux, avec un arc ancien entres les mains et le regard morne. Prenant le temps de converser avec ce qui était en vérité un humble chasseur en ce bois, il raconta sa piètre situation aux Vigilants en les mettant en garde : Son fils avait été happé par une meute de Lycan rôdant dans la forêt, ayant fait fuir tout les autres chasseurs. Ce fut dès lors, le début d'une longue traque à travers la forêt, luttant contre de nombreux pièges, et poursuivant des pistes dans des lieux isolés et à la végétation irritante. Après avoir déjoué plusieurs problèmes, ce fut l'inattendu le plus totale qu'ils découvrirent quand ils entendirent le bruit d'un cri d'une femme en souffrance.

    Suivant Uys parcourant la forêt depuis les branches, en indiquant la scène. Trois ridicules brigands habillés en costume de Loup-garou tétanisaient une pauvre femme partie à la cueillette depuis un village lointain. Malgré les avertissements des Vigilants, ils firent pêchés d'arrogances, ce qui ne fut pas avec de bon résultat pour leurs survies. Les deux premiers brigands furent massacrés rapidement, dès les premières passes d'armes, et le dernier parvient à blessé Talrok, avant d'être écrasé à son tour. Négociant sa survie par des informations, il confia le rôle d'un certains "Lonrode" dans cette affaire, ainsi que son campement égaré plus loin, où il contraindrait les villageois locaux à devenir membre de sa "famille." Sans plus d'informations utiles, il fut témoin de la Justice Impériale : Pour ses crimes, les Vigilants firent son exécution, avant de poursuivre dans les bois, laissant la jeune femme aux mains de Fior qui partirent retrouver le village le plus proche. Les questions se succédèrent, sans trouver réponses, les heures défilèrent, en s’égarant dans la forêt, perdant la route, les chemins et les traces, leur destination finale modifiée pour atteindre des brigands locaux et leurs douteux plans. Écrasant le Guetteur en l'épargnant contre ses informations, le laissant partir boiteux après que Talrok lui confia son élixir précieux de guérison, ils étaient désormais à l'orée de leur destination inattendue.

    Le campement était vaste, et y errait des quinzaines des personnes habillés en loup-garou, même si cela ressemblait à des parodies ridicules ayant fait l'usage de bien trop de poils pour des costumes de la sorte. Celui qui avait préparer ça n'était pas seulement extravagant, il avait les moyens surtout. Talrok et Vendimus firent front, les deux Chevaliers-Vigilants face à la foule grondante, et encore plus quand une herbe fut brûlée au milieu du campement, rendant bien plus "sauvage" les victimes. Débordés de plus en plus par les pauvres fous, l'Orque arracha un masque d'un enfant, qui constata qu'elle n'était pas ce que les drogues l'avait fait penser depuis tout ce temps. Uys avait déniché Lonrode, et l'empêcha de brûlé une partie de ses notes, même si elle l'envoya brûlé à sa place. Harcelée sans cesse par l'un de ses gardes, elle fut finalement soutenue par Vendimus, libérée des civils dont les chevaliers avaient retirer les masques, avant de venir abattre le dernier brigand qui voulait achevé la Bosmer. Quelques dizaines de minutes après, pendant que tous reprenaient leurs esprits, une Patrouille Impériale apparue, en compagnie d'un homme boiteux. Le Guetteur parmi les brigands avait gentillement mit de côté son appartenance pour son ancien groupe, avant de faire venir les Légionnaires pour soutenir les citoyens. Le campement fut investit, et renforcé, devenant un campement Impérial pour la préparation des opérations : Il restait beaucoup à faire, avant de faire chuter les ruines – Affaiblir l'adversité pour soutenir la Légion, enquêter sur les environs, et découvrir un antidote sur les drogues des plantes locales utilisés par Lonerod. Ils comptaient bien parvenir à leurs fin, pour la Gloire du jeune Penitus Vigilare."
  • Coqualier
    Coqualier
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    22/03/2018
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    "Le 22 Turdas de Semailles, le Penitus Vigilare était donc installé dans le campement conquit des griffes des brigands usés par Lonrode pour enlever des citoyens des villages environnants. Des Légionnaires erraient entres les tentes, conversant de la situation et des affreuses nuits à venir dans un lieu aussi inquiétant. Ce n'est pas la forêt en elle même qui les rendait nerveux, c'était l'idée de penser aux meurtriers pouvant s'occuper de leurs vies, tout comme la troupe disparue depuis deux semaines maintenant. La présence des Vigilants avait comme un effet mitigé sur les fantassins : Ils étaient bien connu des troupes de la Légion Impériale, mais l'aspect de leurs responsabilités leurs échappait encore. Assassins ou héros, tâchés du sang des alliés abandonnés et des ennemis, ou portant les blessés pour les secourir. Les rumeurs allaient de bon train sur la présence du Penitus Vigilare. Et seuls eux prouveront ce qu'ils valent vraiment. Les Vigilants furent réuni au crépuscule tombant, autours du feu de camps, pour décider de ce qu'ils devaient désormais accomplir pour parvenir à écraser l'adversité avec les troupes présentes. Il fallait sécurisé la position Impériale dans la forêt, inspecter les passages vers les ruines, ou découvrir tout ce qui pouvait concerner les herbes servant de drogue à Lonrode. Si il y avait eu quelque chose de certains, lors de la première mission, c'était que le brigand stupide n'avait pas agit seul. Des esprits bien plus viciés c'était chargé de lui mettre les bons instruments entres les mains.

    Le Chevalier-Vigilant Khavyn, ainsi que les Vigilants Lenors et Dra'Kalhen, accompagnèrent le Chevalier-Commandant Vendimus dans une tâche qu'ils eurent choisit ensemble : Si les objectifs militaires semblaient cohérent et avec des attentes d'interventions rapides et efficaces, l'intrigue la plus inquiétante pour tous apparaissaient en la présence de cette histoire de drogue laissant une personne sombrer dans des envies primaires et sauvages des plus obscures et monstrueuses. Les civils avaient été contaminés, mais qu'adviendrait-il si des Légionnaires en masse étaient touchés par cette folie instinctive ? Ils avaient découvert que Lonrode avait pour responsabilité l'enlèvement d'un alchimiste dans un village proche, celui de Fonroy. Si il n'était plus suffisamment en vie pour le faire, peut-être cela pourrait retomber sur un autre groupe d'engagé par ceux qui habitent les ruines. Ainsi, les Vigilants se sont mit en route en quittant la dense forêt, laissant au Sergent Stanislas la responsabilité du campement – Même si cela constitue un acte irresponsable en soin. Une heure de trajet fut nécessaire, pour parvenir jusqu'à Fonroy et commencer à découvrir l'ambiance morose des environs. Comme la plus part des villes de la Colovie, celle ci transpirait le manque et la tristesse, ainsi que la crainte d'être tôt ou tard victime de la grande guerre au cœur de l'Empire, autours de la citée Impériale. Tout donnait l'impression que la fin était proche. Vendimus et Lenors partirent dans la taverne, tandis que Dra'Kalhen et Khavyn eurent une conversation avec la milice locale.

    La taverne était morose, une vague odeur de nourriture plânait, mais là où il y avait un léger brouhaha commun aux lieux de vies, tout s'estompa quand les Impériaux entrèrent. Une certaine anxiété gagna les cœurs, face à ceux ci, et ils purent converser avec le tenancier. C'est quand la désignation "Penitus Vigilare" fut annoncée, que deux des personnes de la taverne s'échappèrent plus ou moins rapidement. Un Rougegarde sorti par la fenêtre, et un Nibenay tranquillement par la porte. Lenors choisit d'essayer de retrouver le Rougegarde, le retrouvant dans un poulailler dans une histoire sans queue ni tête avec une histoire de vol de poule légitime. Cela aurait été plus simple, si quelqu'un n'avait pas été de brûlé le poulailler, avec le Rougegarde dedans. De l'autre côté, les miliciens guidèrent les recherche de Dra'Kalhen et Khavyn vers une tente où s’exerçaient deux acrobates Bosmer œuvrant en jouant de nombreuses démonstrations d'habilités. Ceux ci avaient fait une halte pour traité la maladie de l'époux, et ils en étaient à leur dernier traitement que le Bosmer était pressé d'appliquer malgré l'étrange situation dans lequel il était. Mais il ne s'agissait plus du même traitement, il avait été empoisonné par la drogue qui avait désormais un nom : Offert par Lance-le-poids, un étrange Argonien ayant rencontrer Khavyn devant la tente, il expliqua les effets et la complexité de l'Archarnée Blanche, herbe sans teinte utilisable pour les potions de vigueurs à très petit dose, et rendant complètement fou en abusant de celle ci. Il était temps de rencontrer l'alchimiste, après que le Bosmer fut secouru par l'apprenti apothicaire Argonien, et que les Vigilants furent réuni.

    Le cabanon de Rutorvius Lalto était un coin enchanteur, tout transpirait d'un côté irréelle qui donnait l'impression que la nature de nombreux lieux avait décidé de prendre ses aspects les plus merveilleux pour donner des petites couches de ce réalisme merveilleux. Des gousses, des plantes, des herbes rares, des légumes, des fruits, et bien d'autres aspects de la nature décorant autant les environs que la façade de la cabane. Avant qu'il n'ouvre la porte, Dra'Kalhen découvrit ceux qui attendaient dans l'ombre. Ceux qui avaient brûlé le poulailler, étaient menés par le Nibenay ayant quitter la taverne, réclamant désormais que lui soit remit l'alchimiste au nom du Seigneur de la noblesse Colovienne, Andio Adorius. Refusant de fait de leur remettre la personne, les Vigilants se confrontèrent brutalement aux mercenaires et légionnaires, dans ce qui fut une courte mais intense bataille : Ils n'avaient pas été de poids, ni de nombre, pour abattre des forces impériales entrainées et vétéran de nombreuses batailles. Le Nibenay fut captif, et les Vigilants recrutèrent en tant qu'alchimiste de la troupe, l'Argonien Lance-le-poids qui serait déjà d'une grande aide pour préparer les remèdes aux drogues utilisés par l'ennemi. Ce fut une longue soirée d'enquête, de soucis, de poursuite et d'un combat sanglant, mais désormais les Impériaux avaient de quoi empêcher l'arme toxique de leurs adversaires de les rendre fou. Et ça changerait peut-être la balance pour les batailles à venir."
    Edited by Coqualier on 27 mars 2018 1:49
  • Coqualier
    Coqualier
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    25/03/2018
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    "Le 25 Sundas de Semailles, les quelques jours de repos et de patrouilles des Impériaux furent profitable pour préparer aux conflits à venir. Quelque soient les quelques missions restantes, l'invasion de la Ruine était proche, et les drogues ennemies ne pourront plus leur être d'un grand secours si ce n'est pour paralysé un instant les forces Impériales avant de leurs administrer les soins nécessaires. La capacité en était grandement réduite, et ils prirent alors pour objectif de briser le moral interne des ruines où leurs adversaires aux services des Sang-bleu logeaient tranquillement en envoyant leurs forces détournés les caravanes des villages environnant. Chaque jours passés sans agir, mettait en péril les potentiels captifs, même si l'idée était apparut qu'ils avaient peut-être été réduit à des stades très avancés de folie à cause des expériences sur les herbes des brigands. Quoi qu'il en soit, ils passeraient tous par le glaive, ou le pilori, pour leurs crimes. Le rôle du Penitus était clair : Il serait le fer de lance pour briser les ravitaillements cheminant dans le bois plus au nord, pour briser le moral des occupants. Quittant le camp de guerre, ils furent suivit par deux escouades de Légionnaires de la Légion, dirigés par le Sergent Stanislas. Cela ressemblait à ce qu'ils fument autrefois. Cela ressemblait à un départ en bataille. Sous les dernières lueurs d'une journée accueillante, c'est lentement vers le déclin du soleil, que la marche des forces impériales se fit dans la forêt perdue de Colovie.

    Les forces du Penitus furent constitués des Vigilants Uys et Iris, ainsi que des Chevaliers-Vigilants Caius Herminius, Caus Bonus et Reldan Cyress sous le commandement direct du Chevalier-Commandant Vendimus. Une force de frappe estimable, mais qui devrait faire preuve de malice pour ne pas être submergé par l'adversité : En avant-ligne, ils avaient toutes leurs chances de mal fini, malgré les forces de la IXème Légion derrière eux. Deux heures de marches à travers la nature sauvage furent nécessaires pour atteindre l'objectif voulu, découvert par les éclaireurs : Une route dévorée par la nature sauvage, mais encore praticable, une caravane en préparation ayant été découverte, de l'acier sur les roues de bois pour parvenir à avancer à travers les intempéries de la dites routes. C'était là, que le Penitus se mit en position d'embuscade, réfléchissant à la meilleure manière de parvenir à leurs fins. Ils avaient pour objectif le contrôle de la dite caravane, pour récupérer les ressources, car en ce temps de chaos pour Cyrodiil, il n'y avait aucunes réserves inutiles. Nourritures, armes, ressources, tout devenait précieux aux regards des forces militaires ou hors-la-loi devant survivre aux problèmes apporté par la Guerre des Alliances. Après avoir couvert les parties reluisantes de leurs armures de terres, installés dans la profonde végétation, le bruit du sifflet provoquant le son d'une chouette alerta le Sergent de la troupe des caravaniers : Il s'agissait d'une force de Légionnaires Impériaux, pas des mercenaires, ou autres voyageurs engagés, ils auraient à combattre d'autres de leurs pairs.

    L'ordre du Sergent fut interrompu quand la flèche d'Uys lança les hostilités, cognant contre l'épaulière du Sergent, un instant avant l'intervention des Chevaliers-Vigilants, suivit d'Iris. Reldan et la Nordique luttèrent contre l'officier en charge, tandis que Vendimus et Herminius luttèrent pour atteindre et arrêté la caravane. La Bosmer restant dans les arbres, sur les branches, passant d'un point à l'autre pour assurer une couverture efficace qui ouvrit plusieurs fois la voie à ses camarades. Ce moment de pression fut intense, car les caravaniers étaient trois fois plus nombreux que les membres du Penitus, mais prit de court face à des adversaires surpassant leurs capacités et leurs expériences, ils furent un instant submergé. Toutefois, un nombre suffisant de combattant serait toujours un risque énorme, et seule l'arrivée des escouades de Stanislas empêcha une tournure macabre à l'affrontement pour les membres du Penitus. Tous parvinrent plus ou moins à leurs objectifs, subissant plusieurs coups dur et blessures en se donnant cœurs et âmes à leurs affrontements pour la prise de cette maudite caravane. Dans l'horreur des combats, les douleurs les plus graves ne furent toutefois pas physique pour certains, Caius ayant abattu le cocher dans la fureur du combat. Un pauvre Bréton contraint de faire son œuvre, recevant un glaive dans le ventre sans qu'il n'ait à se poser de question, seulement dans l'intention de briser la tentative de fuite de la caravane, lui laissant dès l’adrénaline rechuter, l'horrible sentiment d'avoir commit un crime de guerre. Lentement, la pression rechuta, dès la reddition du Sergent qui fit sonner l'arrêt de ses forces plutôt que de poursuivre un massacre inconsidéré.

    Ce qui malheureusement n'était pas la fin des problèmes des forces Impériales. Les caisses étaient piégés, alors que la situation s'apaisait petit à petit, les Vigilants ouvrirent celles ci en délivrant involontairement un puissant nuage du même poison utilisé par Lonerode pour rendre fou les siens. Ce qui aurait pu être limité sans avec les masques de loup trafiqué, l'intensité du poison n'était clairement pas la même : Bien plus présente, et dangereuse, si bien que malgré l'intervention rapide des survivants pour offrir le contre-poison concocté par Lance-le-poids, deux Légionnaires de la Légion, et un légionnaire des caravaniers, trouvèrent la mort. L'un ne supporta pas la pression de la drogue dans son corps, et un autre s'égorgea lui même involontairement dans un faux mouvement trop violent. Le dernier fut retrouvé étranglé par l'un de ses camarades, si fort qu'il avait déjà perdu la vie avant d'atteindre le campement pour être soigné. Les forces Impériales venaient de tomber dans un piège grossier : Le Sergent attesta qu'il n'était en rien conscient des affaires des Sang-bleu, ce n'était qu'un pion, manipulé avec dédain par une main fantôme. Tandis que le Penitus et les forces en présente rentraient, les éclaireurs envoyés plus tard par le Chevalier-commandant confirmèrent les doutes de Reldan : L'éclat de lumière au nord n'était pas la présence de renfort ennemi. Il s'agissait bien de la véritable caravane de ravitaillement qui prenait une route alternative secrète, laissant leurs adversaires tomber dans ce piège grossier. Ainsi, fut reconnu la première défaite du Penitus, mais l'échec de cette escarmouche, n'entrainait pas encore la défaite des Impériaux face aux occupants des ruines du nord."
    Edited by Coqualier on 27 mars 2018 1:49
  • Coqualier
    Coqualier
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    26/03/2018
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    "Le 26 Morndas de Semailles, les forces Impériales avaient pour objectif de découvrir ce qu'il était advenu des troupes envoyés en patrouille vers une vieille tour non loin des ruines, dont les rumeurs parlaient d'un passage vers les souterrains pouvant mener à une sortie à l'intérieur du domaine des forces adversaires, pour que le Penitus puisse intervenir avec force directement au cœur de l'action. L'espoir de parvenir à avoir une intervention interne pour ouvrir les accès était censé permettre aux forces de la IXème Légion de survivre bien plus aisément à l'intensité de la phase de sièges devant les hauts-murs. Des vies étaient en jeu, celles de leurs pairs, de leurs camarades ainsi que l'avenir du combat qui allait se déchainé pour la prise des ruines et la défaite des forces adversaires. Ce fut une force du Penitus qui fit mouvement : Le Mage Endhoryl, accompagna les Chevaliers-Vigilants Vendimus, Caüs Bonus, Khavyn et Ingvar. La puissante petite troupe avança à travers les forêts jusqu'à la lisière de celle ci, à une heure de route de là, quittant les problèmes de déplacements pour arriver jusqu'à la vieille tour brisée par on ne sait quoi. Il n'y avait pas de rats, pas de vermines, uniquement des restes de bois et de tonneaux. Avant même la porte ouverte, la pression monta lentement, une peur instinctive étrange qui se grava à l'intérieur des troupes Impériales, ils venaient à peine d'ouvrir la trappe, et étaient déjà inquiets quant à la suite : Même avec personne dans les environs, il avaient toutefois l'impression que tout le monde se trouvait ici. L'inquiétude, la paranoïa, le stress. Il était certains pour les experts, que de savoir que le lieu était visiblement hanté.

    L'exploration du souterrain fut simple, de prime abord, ils fouillèrent la route vers la gauche, explorant les environs avec inquiétudes en s'interrogeant sur ce pouvait bien se trouver ici. La première grande salle les accueillirent, leur regard attiré avant tout par les trois silhouettes au niveau du feu de camp, qui n'étaient que des ombres gravés au sol sans corps, simulant leurs silhouettes sans qu'il n'y ait rien. Malgré l'ambiance de plus en plus détestable, la pression montant chez Bonus et Vendimus quand Ingvar se mit à jouer avec une main coupée en ayant fourni des écrits à l'Altmer. Découvrant plusieurs informations, une histoire d'amour d'un sorcier Dunmer en voyage, pour une colovienne, quand Khavyn fut surpris à voir changer de forme la silhouette de la femme sur une peinture, devenant l'aspect même de la malchance, un spectre affreux. La pression monta d'un bond, confirmant la situation des lieux, et c'est en faisant chuté la cage que cela déclencha la suite des évènements : Le bruit fut si intense, que cela réveilla le gardien, un certains "Ursan" d'après le grimoire, et des hurlements humains furent entendu vers les geôles du coin. Mais une étrange aura verdâtre apparue aussi, de l'autre côté, et la décision des forces Impériales furent de poursuivre la lueur, en ignorant le terrible geôlier. La pression étaient présentes, et les morceaux du puzzle lentement tombaient, mais le jeu n'était pas aussi simple, et ils savaient qu'ils auraient à faire des choix difficiles sans savoir comment évoluerait la situation. Surtout quand avec drâme, Ingvar planta le tableau maudit, libérant un hurlement, et du sang glissant à travers la toile.

    La route mena les troupes dans un lieu à l'aspect féérique, une sorte de salle éclairée par un trou dans le plafond laissant percevoir les rayonnements du soleil déclinant. Le lieu était couverts de fleurs jaunes magnifiques, reluisantes légèrement sous les lueurs de l'extérieur, sublimant les lieux avec une mélancolie admirable, le tout œuvrant en un véritable tableau au milieu de la pièce en rayonnant par terre sur un sol pure, une fleurs plus grande que les autres, d'une vitalité magnifique. Endhoryl approcha de la dites fleur, ressentant le froid apparaitre le long de son bras, quelques gouttes de sang tombant du plafond le long des herbes. Relevant la tête, tous purent voir le spectre de la colovienne au dessus, le visage tordu par la douleur et la colère en ayant une main sur le trou dans sa poitrine, saignante d'un ectoplasme étrange. Elle avait l'air brisée, mentalement surtout, comme si quelque chose en elle avait été fracassé par sa psychés poignardée à l'image du couteau frappant à travers la toile par Ingvar. Le mage ralentit le spectre quand il se décida à fondre sur les agents du Penitus, hurlant de foncer en avant pour poursuivre en ce lieu, Ingvar eut encore le sang tournant dans la violence profonde en chargeant vers le spectre pour le frapper. La situation fut encore plus chaotique, Khavyn bondissant pour s'écraser contre le chevalier sanguinaire, les deux s'écroulant au sol pour le libérer. Ils furent libérés par les griffes noires convoqués par le mage, crissant et craquant contre la silhouette spectrale, ne pouvant la retenir définitivement. Les forces Impériales se ruèrent pour partir ensemble, courant à travers les dédales en foulant la poussière et les débris de bois, surpris brusquement par la lumière solaire d'une sortie. Tombant sur le Dunmer du journal découvert.

    Il était installé non loin de sa tente, déséspéré, un grand rituel digne des pouvoirs de Morrowind préparant une tentative de résurrection du corps préservé de sa bien-aimée. Son histoire fut raconté, pendant la dispute avec les Impériaux, quant à sa douleur quand il ne parvient pas à trouver une gemme d'âme noire pour créer un portail, quand il découvrit à son retour, sa dulcinée massacrée par des brigands, et quand il ne parvint pas à achever son sort efficacement. Effrayé par les révélations des Impériaux sur l'état de l'esprit de la Colovienne, il fit venir celle ci pour constater avec effrois son état. Tout ses efforts étaient ruinés, tout ses espoirs de la faire intégré son corps qu'il avait tout fait pour préservé des intempéries. Il offrit la paix à celle ci, maintenant qu'elle avait subit la disgrâce et la douleur, jurant de se venger de qui avait provoquer cette perte affreuse. Disparaissant en chevauchant la foudre, convoquant l'être qu'il n'avait pas réussi à maitrisé : Urvan, le gardien évoqué dans les écrits, était un Atronach de chair ayant massacré brigands et la patrouille Impériale abandonnée par le choix du Penitus. Tout, était un effroyable échec : Les éclaireurs fut retrouvés morts, l'accès jamais découvert et les seules aides pour y parvenir, étaient devenu des ennemis. Et ils furent blessés, tous plus ou moins par la violence du combat contre l'Atronach. Manquant de discernement, et surtout par la haine, la mission fut échouée. Laissant un grave sentiment de frustration dans le cœurs des agents du Penitus Vigilare, et une colère profond envers l'un des leurs, ce qui n'évoquait rien de bon pour la bataille des ruines qui allait éclaté."
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    27/03/2018
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    "Le 27 Tirdas de Semailles, il était temps d'en finir avec les dites ruines ayant résisté depuis plusieurs semaines maintenant. Les forces impériales dans la forêt n'étaient pas vraiment au meilleur de leurs morales, depuis les différents échecs des Vigilants du Penitus, une amer impression de ne pas avoir de bonne nouvelle était présente, encore plus détestable était le sentiment qu'ils partaient se battre sans support. Les agents impériaux ne pourraient rentrer à l'intérieur des ruines directement pour briser leurs formations, et les mercenaires étaient nourri et équipé par les ravitaillements d'usages. Au moins, ils ne perdraient pas des leurs à causes de la drogue des herbes, grâce à la seule présence de l'Argonien ayant été récupéré à Fonroy. Sous le son du cor de guerre sifflant cet appel au combat, les troupes se levèrent pour se préparer à partir au combat. Le Sergent Stanislas observait les forces, sa cape claquante tranquillement, mais sa présence fut ellispé par les Chevaliers-Vigilants partant au combat : La jeune Ark'Hanna, Caius Herminius, Ingvar et le Chevalier-Commandant Valérius, suivie de Dra'Kalhen, partaient exécuté les dangereuses manœuvres pour soutenir une avancée difficile. Les observant, avec crainte et respect, les humbles Légionnaires murmurèrent sur leurs passages les récits et échos sans queues ni têtes, mais la vérité, ils allaient la subir en plein sur le front de guerre. La baliste légère fut trainée à travers les bois, le long de la route empruntée sous les sons des tambours de guerre, le drapeau de la IXème Légion flamboyant dansant en l'air. Durant trois longues heures de marches, les Impériaux marchèrent vers ce qu'ils jugeraient être une future victoire.

    Les ruines s'étendaient face à eux, brisés par le temps, et recouverts d'herbes folles coupés à certains endroits pour y installer des levées de bois dur, accompagnés de nombreux pieux. Tout était fait pour tenir, et visiblement renforcé en vue de cette approche, attendue par les mercenaires du coin. Pendant la conversation entres les Vigilants, écoutée par le Sergent Stanislas, les archers adversaires se mettaient en position, trop loin pour leur tirer dessus. Trop loin. Logiquement. La salve fonça bien trop haut, et s'écrasa dans les rangs impériaux, deux Légionnaires furent tués brusquement, dans l'inattendu, débutant le charnier du champs de batailles. Les Vigilants se ruèrent sur la façade Est des remparts, tandis que les Légionnaires progressaient dans un véritable enfer de traits, levant leurs grands pavois pour se défendre au moins des traits percutant l'acier. Ce serait une avancée impitoyable, sous les traits adversaires qui parviendrait tôt ou tard à abattre les défenseurs et les artilleurs, et ce serait le rôle du Penitus d'empêcher que le pire n'advienne. Devant les barricades de bois sur les flancs des ruines, après un instant chaotique difficile, cherchant une solution, et empêchant Vendimus d'être gravement brûlée jusqu'à ce qu'elle acheva l'acquisition de la concentration nécessaire pour envoyer son sort : La propulsion brutale balançant l'air en avant, et se fracassa brusquement en emportant des morceaux de bois dans toutes les directions. L'onde provoqua un bruit sifflant, Ark'Hanna projetée par terre sous le souffle, malheureusement, mais l'accès avait l'air d'être ouvert. Sous le chaos de la scène, les Impériaux se ruèrent à l'intérieur rapidement pour se joindre au chaos des combats, et ils seraient les premiers au cœur de l'ennemi.

    Dra'Kalhen écrasa l'un des guetteurs les ayant harcelé, l'assommant brusquement, tandis que Caius vint affronter l'autre adversaire, jouant de ses lames pour s'en débarrasser. Le sang apparut brusquement en quelques jets sanglants écœurants, ainsi que les bruitages des épées et des armures entrechoqués. Ce n'était pas comme l'embuscade dans un bois perdu, l'ampleur y était bien différente, bien plus affreuse, et plusieurs flammes dansaient maintenant dans les barricades de bois. Six mercenaires se ruèrent vers les Vigilants pour tenter d'empêcher la prise de la brèche, la jeune Bosmer dépassée par les évènements, effrayée par l'intensité et la violence des batailles, et ayant l'horreur de subir la mort d'un adversaire de sa lame : Une épreuve où tout les combattants passent un jour. L'acharnement du combat cessa brusquement quand un tir de baliste mal placé fracassant un pan de ruine quand le trait s'y écrasa, de l'autre côté, les pierres furent projetés, une s'écrasant lourdement contre l'opposant de Caius, ce qui l'envoya lourdement par terre dans un grand bruit de métal. Les adversaires furent achevés, ou assommés, et deux choix s'offrirent aux Vigilants qui choisirent instinctivement selon leurs dispositions : Vendimus et Dra'Kalhen se retrouvèrent derrière les remparts principaux, face à face avec le Mage qui avait permit les traits à longues-distances en usant de ses sortilèges, et invoquant le pouvoir de la foudre sur les forces Impériales, tandis que Caius se ruait rapidement vers le dignitaire Impérial local qui conversait avec ses gardes du corps. Pour lui, il était temps de partir, mais les ruines ne devaient pas chuter. Il aurait pu poursuivre sa conversation, si Caius ne l'avait pas subitement projeté par terre, avec une violence inouïe.

    L'affrontement pour briser l'emprise du Mage sur le champs de bataille fut âpre, les deux combattants le protégeant ne furent pas de taille, malgré le sort de froid qui engourdissait grandement la Khajiit qui vit la lame de son bourreau être interrompue par la décapitation subite de son porteur par l'épée de Vendimus. Toutes durent luttèrent de manière coordonnée, et le Chevalier-Commandant allait relevé sa camarade, un instant avant de recevoir un trait de givre en plein l'épaulière, propulsée par terre lourdement. Le mage dévia de même les sels de feu projeté par Dra'Kalhen, les barricades derrière brûlant de plus belle. Ce qui aurait pu être une preuve de force, et de contre-offensive, si il ne reçu par une partie de la force d'un trait de baliste, l'éparpillant lourdement. Les barricades étaient ouvertes, et la IXème Légion partit à la rencontre des fantassins des Sang-bleu. Il était temps de partir, pour Vendimus et Dra'Kalhen, qui se sortirent de là avant de finir au milieu de la confrontation, malgré leurs blessures. La Khajiit retrouva Ark'Hanna étalée au sol, ayant retenu un lancier pour permettre à Caius de poursuivre le Dignitaire. Celle ci avait perdue la plus part de ses forces, et vit la manœuvre de Dra'Kalhen brisant les deux bras de son opposant, peu de temps avant de sombrer dans l'inconscience. Vendimus parti soutenir Caius dans le dernier combat, face aux gardes du corps du Dignitaire Impérial, et c'est uni qu'ils mirent à mort le massif Orque qui défiait encore ses opposants. La fouille du Dignitaire fut rapide, et forte heureusement tout en conservant les documents trouvés sur celui ci, le morceau de cordelette fut tirée pour découvrir peut-être, une poche secrète. Mais le jeune noble grassouillet avait été trompé, c'était pour le faire taire qu'il portait ça, pas pour le sauver, et les sels de feu éclatèrent au milieu de son torse en projetant Caius en arrière. Son corps dévasté rejoignit alors le reste des dépouilles du front, tandis que la bannière de la Légion Impériale claquait tranquillement dans un vent paisible sous l'écoute des chants de victoires, et des plaintes des blessés. Ce fut une victoire, qu'ils purent enfin arraché à l'adversité, et ils transportèrent les blessés, comptant Ark'Hanna qui découvrit l'atrocité et la violence d'une bataille, encore plus pour les Chevaliers-Vigilants. Et maintenant qu'ils avaient l'emplacement possible des Sang-Bleu, tout serait encore pire les jours à venir."
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    28/03/2018
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    "Le 28 Middas de Semailles, il était temps de rentrer au camp de guerre Javius avec les informations sur les Sang-bleu. Au vue du travail qu'ils auraient à fournir, deux à trois jours seraient nécessaires pour les agents du Sicarius de retrouver les pistes laissés par les messages du Dignitaire calciné découvert dans les ruines. L'agréable sentiment d'avoir triomphé malgré les sacrifices gagnait lentement, même si pour certains, il s'agissait encore d'un certains fardeau d'avoir vécu tout ça, et les défaites qui ont malheureusement provoqués les pertes chez les Légionnaires pendant la bataille. Il était temps de rentrer, enfin, quitter les tentes boueuses dans une forêt profonde inquiétante où les nuits devenaient parfois paranoïaque, retrouvant avec un peu de malchance quelques brigands aux têtes de loups isolés et perdu. Premiers pour le départ, le Penitus Vigilare devrait vérifier que la route formée par les Légionnaires était utilisable et sécurisée. Après ce qu'il s'est passé, le Sergent Stanislas craignait un coup mesquin de leurs ennemis, et les Vigilants seraient les plus à même d'y survivre, même si cela incluait de prendre les coups. Ainsi, les Vigilants Ark'Hanna, Caius Herminius, Endhoril, Dra'Kalhen et Khavyn firent route en cheminant la matinée à travers la grande forêt, sans savoir ce qui pouvait bien les attendre : Brigands, loups, ou quoi que ce soit qui aurait pu rendre cet accès dangereux ? Mais tout n'est pas toujours violence, et bataille, et c'est ainsi qu'ils découvriraient une fois de plus que le glaive n'est pas toujours l'arme du preux. Et tout débuta avec une étrange rencontre, avec un éclaireur Impérial l'air benêt observa un amas de racine et de liane bouchant le chemin.

    Ce n'était pas naturel, ou du moins, la nature avait décidé de reprendre ses droits et de couper le passage en l'interdisant à quiconque, qu'ils soient hommes ou bêtes. Arriver il y à peu, d'après l'éclaireur, craignant pour la vie de ses camarades embarqués dedans, le flot de racines ressemblait à une flaque débordant ayant surgit de nulles part, et les Vigilants suivirent l'éclaireur vers le campement de guet impérial proche, d'où cette folie avait visiblement commencer. L'endroit était dévasté, et certains tentes mordues par les ronces, mais une partie du camp n'avait rien, comme si à un lieu spécifique, tout s'était mit à apparaitre comme on aurait fait tomber le goulot d'une bouteille. Une Nordique ronchonnait, l'une des combattante de Arnornn ayant rejoint la Légion, grognant sur la disparition d'un certains "Emilien", et Caius parvient à retrouver un des Légionnaires sous les ronces, avec des efforts conjoint, il fut libéré de sa captivité, effrayé. Pendant que Endhoryl suivait la piste, il conversa avec les autres, et lentement les pièces du puzzle tombaient aussi aisément dans le lot que si ils étaient annoncés par une voix céleste : Le Bréton avait fait une grosse erreur, et il fallait le retrouver. Rassurant le pauvre colovien ayant subit tout ça, en découvrant les indices, ce fut notamment celui du seau à côté du casque du Colovien effrayé, qui mit la puce à l'oreille à Endhoril, car en le soulevant, une goutte tomba au sol, laissant naitre une magnifique fleur rouge là où elle chuta. La voie indiquée par la Nordique, pour retrouver l''éclaireur disparut, les guidaient vers le cœur de la forêt, et après avoir achever leurs conversations, ils prirent lentement la route à travers celle ci pour découvrir ce qu'il avait bien pu se passer.

    La route ne portait pas naturellement des marques à suivre, il fallait faire usage de talent et de réflexion pour pouvoir trouver le bon passage. Les autres Légionnaires ne pouvaient pas soutenir les vigilants dans cette tâche, cet Emilien était censé être responsable de l'eau et n'avait pas trouver cela malin de noter quelque part son approche ou l'emplacement de sa source, mais il avait des raisons personnelles qui justifait sa démarche. Dommage que cela la justifiait bien mal. Errant à travers les bois, le premier réflexe des Impériaux fut d'écouté le bruit de l'eau qu'ils avaient parfois entendu, comme le vent souffle dans vos oreilles, il était toutefois identique, et jamais ils ne retrouvèrent une source car le son était toujours unis et jamais plus proche. La recherche des traces du Légionnaire du réapprovisionnement les firent avancés vers une bonne direction, quelques buissons maltraités par son passage à la recherche d'une route stable, ou bien de marques pour identifier son retour dans les lieux les plus broussailleux, ce fut toutefois plus difficile de poursuivre quand il ne restait aucunes traces. Mais ils se souvinrent de l'effet de la goutte dans le seau, laissant naitre une fleur, et celles ci étaient présentes en ce lieu, d'une façons fort peu naturelle, dessinant une véritable route. Suivant la piste, ce fut devant une cavité rocheuse qu'ils achevèrent leurs cheminements, devant deux apparitions étranges, faites d'eau et de glace, aux formes étranges de Khajiit éthérés. Celles ci étaient visiblement agressive, répondant à un ordre direct : Personne ne passe. Et plutôt que de faire usage d'une violence hors-norme pour abattre les obstacles, ils furent preuve d'une avisée diplomatie, l’écho de la présence locale en devait être étonnée, et après avoir communier avec sa présence par le bol de l'offrande, l'accès vers un vieux sanctuaire fut ouvert sous leurs yeux, les gardiens leur ouvrant le passage.

    Le lieu était magnifique, un de ses sanctuaires sauvages perdu de Colovie, aux antiques croyances. Des pierres taillés oubliés depuis longtemps jonchés par des herbes folles là où la nature avait reprit ses droits, mais on pouvait encore voir les magnifiques gravures souvent d'une simplicité étonnante, très agréable à observer, le lieu avait un aspect méditatif réfléchi. Cependant, l'harmonie des lieux était brisée par Emilien, le jeune Légionnaire braillait de peur en étant attaché par des racines contre une paroi rocheuse, agitant les jambes. Dra'Kalhen s'installant sur l'autel, convoquant qui maitrisait les lieux, et celle ci lui vint, sa présence majestueuse éblouissant les présents d'une aura incroyable. Celle d'une femme au teint pâle, peu vêtue de quelques robes de soie dansant dans les airs, comme ses cheveux bleuté, comme si tout était dans l'eau, vaguant paisiblement dans les airs comme dans la mer. La Néréide observait d'un air inquisiteur les Impériaux, en relevant doucement son problème dans une ambiance tendue justifiée : Emilien était venu plusieurs fois prendre de ses eaux sacrés, en ignorant les avertissements mystiques, soit trop mauvais, soit trop stupide, soit trop ivre pour les prendre en considération. Et la haine avait corrompu son cœur en rendant cette entité jadis si douce, bien plus violente, laissant un choix aux Vigilants : Accepter de partager cet instant de fureur, pour l'apaiser. Ou le voir s'incarner devant eux, pour le détruire par l'épée. Après un bref instant de conversation, plutôt que de passer quoi que ce soit par l'épée, les Vigilants firent le rituel en évoquant leurs propres serments pour les guidés, installés sur l'autel, chacun d’entre eux glissant leurs mains dans l'eau pour partager cet instant de difficulté se gravant dans leurs psychés. La colère fut partagée, et autant de fois réduite, autant de fois combattue pour la faire disparaitre. Ils avaient triompher, sans combattre ni tuer, et ce fut pour eux une belle victoire. Emilien eut pour punition de nettoyer totalement le temple, et une source d'eau pure et réelle apparue non loin de là. Ce lieu, qui jadis était une perle de vieille histoire et croyance pour les villages locaux, le redeviendrait peut-être avec le temps. Mais ça, c'est une autre histoire."
    Edited by Coqualier on 29 mars 2018 4:53
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    01/04/2018
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    "Le 01 Sundas de Ondepluie, les forces Impériales se préparaient à l'embuscade de la sortie du village de Garanm pour récupérer les prisonniers des raids des loyalistes ayant conquit ce village. Après une réflexion avisée des tacticiens du Penitus, il à été suggérer que le sauvetage des civils serait bien plus sûr si il était effectué en position de faiblesse, malgré l'attente de l'assaut. Lentement, les préparatifs étaient de rigueur, après un repos bien mérité pour ceux ayant subit l'assaut des ruines et les problèmes différents dans le bois isolé. Ce n'était que quelques jours de tranquillité, qui auraient pu être savoureux et agréable si les rapports n'étaient pas aussi mauvais concernant les préparatifs militaires. Plutôt que de recevoir les habituels rapports sur l'efficacité de la Légion Impériale ayant mit tout en condition pour parfaire les mouvements et les opérations à réussir, il y avait eu à la place une timide note d'un subordonner ayant relaté un manque de sérieux notable au sein des forces de la 8ème Cohorte, sous les ordres du Centurion Aldekaine. De la paraisse, des entrainements inconnus, et des prières en surnombre ainsi que des manques d'exercices de manœuvres nécessaires. Cela était trop, et le Penitus ne désirait strictement pas voir leurs plans être remit en cause par de l'inaction décevante. Ainsi, sous les ordres du Chevalier-Commandant Valérius, un groupe fut monté pour aller découvrir ce qui justifiait l’oisiveté des membres de la 8ème Cohorte.

    Les Chevaliers-Vigilants Marius et Orriv, ainsi que les Vigilants Endhoril et Hesea firent leur apparition devant les grandes portes de bois de ce côté du campement de guerre Javius, sous le regard de deux sentinelles épuisées. Les deux étaient éreintés, n'ayant pas été relevés depuis quatre heure de *** sur les changements quotidiens, et ce fut le début de l'investigation pour les Agents impériaux. Hesea conversa avec les sentinelles et le Sergent Rudus, un brave Colovien humble et sympathique bien qu'un peu grossier sur les bords, l'informant de l'envoie proche de son escouade avec le prêcheur vers le terrain d'entrainement de la forêt. Endhoril et Orriv discutèrent rapidement avec le méprisable sergent Sofarmus ayant coupé rapidement court à la conversation. Orriv rejoint Marius qui discutait, ou du moins, s'insultaient avec le Sergent Kalia, une nordique ayant rejoint les rangs avec la venue d'Arnornn auprès des forces impériales. Lentement, la conversation faillit partir aux armes, et ils n'eurent pas d'autres informations si ce n'est que Kalia revendiquait que le prêcheur ne donnait pas suffisamment de force dans ses prières, et qu'elles étaient surement bien trop nombreuses. Endhoril conversait avec l'intendant Orque du coin, ayant eu une conversation avec un Khajiit du nom de Do'Odra cherchant sa caisse de sucre, venant d'une caravane Khajiit proche nommée les "Fières-pattes" dont il provenait. Toutefois, ce fut interrompu quand il fut retrouvé pour une tâche importante : Suivre l'escouade de Rudus partant avec l'un des Sergents et le prêcheur vers la Forêt. Ainsi, ce fut le début d'une courte filature les menant vers la forêt, et le début des problèmes.

    Les deux gardes, des légionnaires d'honneurs dans leurs tenues servant généralement de gardes pour le Centurion de leurs cohortes, les laissaient rentrer sans aucuns soucis. Visiblement pour eux, il s'agissait vraiment d'un entrainement, ce qui fut rapidement démentit par la situation à l'intérieur. Le prêcheur était installé sur une estrade, devant une statue de bois d'un puissant Aigle incarnant l'être qu'il allait incarner dans ses propos remplis de dévotion. Les sept légionnaires de Rudus étaient encerclés par une dizaine d'autres, portant des longues lances, et des capes jaunes, installés sur une épaulière finissant en gantelet enrobant tout leurs bras droits. Des armures elfiques, et le prêtre était clairement là pour soudoyer les légionnaires en vertu d'Auri-el et du Domaine Aldmeri. Les promesses furent nombreuses pour leurs assurer un avenir magnifique sous le phare que serait Alinor pour Tamriel entière, lentement, ils ne cessèrent de recevoir des bénédictions, et ceux qui n'étaient pas enclin à accepter seraient purgés de la Cohorte pour pouvoir la laisser pure dans ses intentions. Ce fut le mot de trop, et Marius fit son apparition, suivit de tout les autres vigilants. Le face à face fut verbale, tandis que les dix légionnaires montèrent une puissante ligne de combat pendant les divers arguments relâchés d'un camp vers l'autre. Mais ils ne vinrent pas se battre, quand ils furent touchés par les sorts de charmes et d'apaisements des mages impériaux, Orriv mit en lumière un des crimes gravissimes de leur soi-disant guide : La simple idée de faire une purge auprès de leurs camarades. Endhoril paralysa le prêtre pour le faire taire, en créant une sphère de lumière qui l'aveugla, mais ne pensez pas recevoir la foudre en retour, envoyé s'étaler par terre privé de sa magicka. Le masque tomba, et le Sergent perdit son illusion : l'Altmer du Thalmor rayonnait d'agacement quant à la situation et son proche échec.

    Plusieurs des Légionnaires ouvrirent les yeux, tandis que certains s'accrochaient à des promesses des grandeurs avec le plus d'acharnement possible. Un combat difficile éclata, car les Vigilants ne pouvaient pas savoir qui ils devaient épargner, et qui ils devaient affronter, au final, tous mériteraient de recevoir quelques coups non-létaux, et les chevaliers fondirent frapper les combattants pour essayer d'arrêter le conflit en ayant assommer les bons, quitte à devoir frapper quelques alliés au passage. Endhoril et Hesae quant à eux, démontraient un tableau des plus curieux : Deux Altmer dans les rangs impériaux, face à un membre du Thalmor qui les couvraient d'insultes pour cette traitrise, parfaitement convaincu qu'ils devaient être ralliés quitte à être tués. Le combat fut achevé rapidement, sous l'expertise de ses adversaires, et il fut mit hors d'état sans être pour autant exécutes. Ils le voulaient vivant, et lentement, la situation reprit forme. Les loyaux sujets impériaux prirent soin de retirer les plaques elfiques des captifs et des repentit, y mêlant le prêtre aux robes souillés d'urines, et le Haut-efle soigné et attaché. Ils eurent toutefois la sinistre malchance de subir l’exécution des gardes du Centurion de ses soins. Aldekaine, accompagné de Sofarmus, et d'un Khajiit aux airs puissants, observaient les Vigilants et les Légionnaires libérés, avec dédain. Une vague conversation eue lieu, avant leurs disparitions, mais il était certain que le Centurion avait trahit les rangs pour le Domaine Aldmeri, et qu'il serait l'un des premiers détracteurs de la venue de la Légion en Rawl'Miss. Alors qu'ils ont encore à finir l'affaire des Sang-bleu pour partir dans ce trou perdu en Elsweyr, les Vigilants purent confirmés qu'ils ont déjà des ennemis voulant corrompre à même le cœur de leurs troupes."
    Edited by Coqualier on 2 avril 2018 10:03
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    03/04/2018
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    "Le 03 Tirdas de Ondepluie, les forces impériales étaient désormais prête pour l'embuscade. D'après les rapports des éclaireurs, la 8ème cohorte aura finalement pu installer deux escouades de légionnaires, six archers, et quatre cavaliers sur la grand route de l'Est menant vers la citée Impériale. Les éclaireurs étaient certains du départ de la prochaine caravane, mais ils ignoraient tout des informations supplémentaires, il n'y avait qu'une date. C'était maigre, certains s'interrogeaient sur la nécessité d'une intervention en tel situation, mais la réalité était cruelle : Sans agir, par crainte de problèmes supplémentaires, ils condamneraient simplement les villageois de Garanm aux rituels maudits de la Citée Impériale, du moins ce qu'il en reste. A cette époque, difficile de savoir ce qu'il en était vraiment du Trône d'Or-blanc et de l'avenir de l'Empire depuis la chute des différentes hautes-entités de la Tour jusqu'aux égouts en ruine. Mais tant que certains penseront qu'il y à toujours un honneur à suivre l'Impératrice, quelque soit ses choix, alors les conflits entres coloviens, entres nibenay, entre frères et sœurs poursuivraient. C'est ainsi que certains civils restaient encore menacés par les ambitions de certains êtres portés par la folie et l'avidité. Ainsi, les Vigilants se dirigèrent vers les forces impériales de la IXème Légion les attendant sur place. Les Chevaliers-Vigilants Valérius, Marius et Orriv, ainsi que les Vigilants Hesae et Methendil chevauchèrent ensemble vers le lieu, en ignorant qu'ils allaient recevoir une leçon gravée par l'acier sur les chairs donnant une tournure nouvelle à la situation : Le conflit était plus important qu'il n'y parait.

    Une heure à chevauché, sous une pluie printanière laissant une douce fraicheur et une humidité peu agréable mais pas aussi froide qu'en hiver. La chaleur devrait encore attendre, laissant les myriades de gouttes glisser le long des cuirasses et des tenues Impériales, certains devant mettre des foulards autours de leurs visages pour ne pas éternuer sans cesse et dévoilé leurs positions aux premiers venu. L'ensemble de l'idée était de se faire discret, même si ce n'était pas toujours aisé à faire quand on prépare une vingtaine de Légionnaires en armure à une intervention rapide et musclée. Les Vigilants achevèrent leurs routes dans les étendues de Cyrodiil, quittant les champs boueux, les routes peu entretenue et les étendues de prairies paisibles agités par l'agression de la pluie. Les éclaireurs les attendaient, commençant à leur donner les informations sur la présence ennemie et l'approche de la caravane en préparation. La nervosité gagnait les cœurs des présents, et les Vigilants firent de leurs mieux pour conserver adresse et courage, ce dont tous auraient nécessairement besoin pour parvenir à accomplir leur mission. L'objectif était simple, mais la mise en place pour une embuscade parfaite pouvait être plus compliqué. Tel était le plan : Les chevaliers et la première ligne de Légionnaire sortirait en avant, provoquant les défenseurs de la caravane en bloquant l'accès et attendant une charge. Les archers se tenant prêt à décocher dès que ça ne menacerait plus les civils, et l'autre ligne devrait les prendre par derrière, soutenu par Methendil dans les arbres. Tout semblait être prêt à fonctionner, et ils se mirent lentement en place.

    La caravane approchait doucement, un Sergent en tête portant une armure sombre, un casque en forme de crâne avec un panache rouge retombant sur le côté à cause de la pluie. La vingtaine de Légionnaire hargneux et prêt à en découdre à leurs côtés et dans les cages, une vingtaine de prisonniers conversant tranquillement, certains jouant aux dès ou autres. Le calme était plat, et tous étaient particulièrement concentrés sur la mission : L'objectif était d'arrêté cette caravane, et par les dieux ils le feraient, mais peut-être était-ce cette raison qui les aveugla de la situation catastrophique dans lequel ils tomberaient. L'engagement débuta par l'envoie des javelots de Marius, se fracassant contre les lignes de Légionnaires, dont deux s'écroulèrent, massacré. En retour, ils formèrent une ligne sans chercher à répondre à la provocation, et le temps se figea pendant un instant le temps que le Sergent aille récupérer un prisonnier pour lui mettre un glaive à la gorge en menaçant leurs adversaires d'un massacre si ils ne coopèrent pas. Celui ci reçu le poison de Methendil, et relâcha sa prise, paralysé. Ce qui fit progresser Marius, et l’étau se resserra avec la présence de Hesae et des autres Légionnaires à l'arrière. Rapidement, les Loyalistes se rendirent avant un massacre terrible de leurs rangs, et les Vigilants libérèrent les prisonniers, venant à leurs rencontres en s'assurant que la situation était devenue stable. Methendil prit la main de celui ayant été trainé par le sergent, et sa vue se teinta de rouge. Quand il sentit le glaive lui transpercer la hanche, et tous purent se rendre compte qu'ils venaient de provoquer leur plus terrible erreur, et le massacre débuta.

    Les prisonniers sortirent des surins, et se mirent à taillader les Légionnaires rebelles, et même Marius reçu un très mauvais coup. Les loyalistes reprirent leurs armes, et un combat à deux contre un débuta dans un vacarme de hurlement et de massacres. Très vites, les assaillants tombèrent, et tous furent débordés, la situation devenant de plus en plus affreuse en voyant une trainée de fumée apparaitre dans les cieux, quand un des éclaireurs en arrière-garde effectua le signal vers le village de Garanm pour l'envoie de la cavalerie lourde. Une vingtaine de Cavalier arriverait dans une dizaine de minutes, pour assister un combat déjà perdu d'avance par les rebelles subissant de plus en plus de pertes. Les vigilants se sortant de là, Vendimus et Hesae usèrent de leurs magies par la foudre et le feu pour permettre le repli des survivants et des blessés graves, ce qui n'était pas tant de combattants que ça. L'échappée fut couteuse et difficile, laissant un champs de bataille couvert de cadavres au milieu du piège habile de leurs adversaires : Ils avaient créer un leurre, pour déplacer les prisonniers bien plus loin, sur la même route, en s'assurant qu'ils attaqueraient en premier un convoi rempli de faux-prisonniers étant des légionnaires entrainés et équipés. Récupérant les montures au loin, Vendimus, Orriv et Hesae n'ayant pas reçu de blessures incapacitantes, durent libérés leurs chevaux pour partir dans les hauteurs rocheuses et ainsi échappés aux cavaliers impériaux en ruée. Les survivants purent s'échappés, Marius gravement blessé et inconscient, et Methendil souffrant le martyr, mais ils avaient échappés à tout ça. Les trois Vigilantes elles, errèrent pendant trois heures dans les hauteurs, avant de retrouver le chemin du camp de guerre Javius. Ce fut une rude défaite pour tous, mais surtout : un enseignement. Leurs adversaires auront toujours des coups en traitre prévu dans leurs dos. Eux aussi, devront en faire de même."
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